Charles Urvoy de Closmadeuc, maintenu noble d'ancienne extraction en Bretagne, le .
Achille Urvoy de Closmadeuc, capitaine d'infanterie, fit les campagnes de Boulogne, d'Espagne et de la grande armée de 1809 à 1814, chevalier de la Légion d'honneur, maire de Lamballe.
Victor Désiré Jean Urvoy de Closmadeuc, page du roi à 12 ans en 1780, émigré à l'armée des princes en 1792, chef des chouans lors de l'expédition de Quiberon de 1795, chef de division dans l'armée royale du Morbihan, puis chef d'une légion d'Ille-et-Vilaine durant les Cent-Jours.
Victor Urvoy de Closmadeuc, général de brigade, commandeur de la Légion d'honneur, fit les Campagnes de Russie (1812), d'Allemagne (1813), de France (1814), de Belgique (1815 et 1832), et d'Espagne (1823), pendant lesquelles il reçut de nombreuses blessures et eut six chevaux tués sous lui.
Branche de Saint-Bedan
La branche de Saint-Bedan s'est implantée à Nantes à la fin du XVIIIesiècle.[réf.nécessaire]
La branche de Portzamparc s'est implantée au lieu-dit Porz-an-Parc (porte du champ), à Plounévez-Moëdec (Côtes-d'Armor), puis à Brest (Finistère) à la fin du XVIIIesiècle, où elle a donné de nombreux officiers de marine.[réf.nécessaire]
Louis Jean Baptiste Urvoy, seigneur de Portzamparc, garde du corps du roi, capitaine de cavalerie et lieutenant de la maréchaussée de Bretagne, membre de l'ordre de la noblesse aux États de Bretagne à Rennes en 1736 et à Vannes en 1740, mort en 1757 aux Invalides, "le corps couvert de blessures".
Louis-Alexandre Urvoy de Portzamparc, lieutenant au régiment de Berry-infanterie, membre de l'ordre de la noblesse aux États de Bretagne de 1758.
Louis Hippolyte Marie Urvoy de Portzamparc, lieutenant des vaisseaux du roi, émigra en janvier 1792 dans l'armée des princes, prit part à l'expédition de Quiberon en 1795, grièvement blessé à l'attaque du Fort de Penthièvre, fusillé dans la cour des cordelières d'Auray qui lui servait de prison, ses blessures ne lui permettant pas de suivre ses compagnons d'armes au champ des Martyrs[4].