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La famille Roullet de La Bouillerie est une famille française, originaire des provinces du Maine et de l'Anjou, dont la branche aînée a été titrée baron en 1810 sous le Premier Empire et la branche cadette anoblie en 1816 sous la Seconde Restauration.
| Roullet de La Bouillerie | ||
 Armes de la famille. | ||
| Blasonnement | De gueules au chevron d'argent surmonté d'un croissant du même et accompagné de 3 pommes de pin d'or | |
|---|---|---|
| Période | XVIe siècle - à nos jours | |
| Pays ou province d’origine | Anjou, Maine | |
| Allégeance | .svg){kind=small} France
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| Demeures | Château de la Bouillerie Château de la Barbée Château de la Roche-Hue Château d'Hodebert Château du Breuil Château de la Bonnetière |
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| Charges | Notaire, receveur, huissier audiencier, intéressé dans les fermes du roi, directeur des Aides de La Flèche, trésorier général au bureau des finances de Tours, ministre d'État, ministre, sous-secrétaire d'État, député, secrétaire général du ministère de la maison du roi, caissier général de la liste civile, intendant du trésor de la Couronne, maître des requêtes au Conseil d'État | |
| Fonctions ecclésiastiques | Évêque, coadjuteur du cardinal archevêque de Bordeaux | |
| Récompenses civiles | Ordre national de la Légion d'honneur, ordre de la Couronne de fer, ordre de Saint-Grégoire-le-Grand | |
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Elle compte parmi ses membres des hauts fonctionnaires et hommes politiques, mais également un prélat.
La famille Roullet de La Bouillerie est originaire de la ville de Sablé-sur-Sarthe où elle est citée dès le XVIe siècle[1].
De la seconde moitié du XVIIe siècle à la fin du XVIIIe siècle, elle évolua dans la bourgeoisie intéressée aux affaires de finances[2]. Au cours de ce siècle elle occupa la charge de trésorier général au bureau des finances de Tours, charge de noblesse graduelle[3] (c'est-à-dire à l'issue de deux générations consécutives d'exercice) mais elle ne l'exerça qu'une seule génération ce qui ne lui permit donc pas d'accéder à la noblesse.
La branche aînée a été titrée sous le Premier Empire avec le titre de baron en 1810 et la branche cadette a été anoblie en 1816 sous la Seconde Restauration.[réf. nécessaire]
François Roullet de La Bouillerie est élevé à la dignité de pair de France sous le règne du roi Charles X.[réf. nécessaire]
Elle est membre de l'association d'entraide de la noblesse française, depuis 1936[4].
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Les principales alliances de la famille Roullet de La Bouillerie sont : Colombeau, Le Febvre, Rollée (1696), Foucher du Perrin (1724), Belin de Langlotière (1753), de Foucault, de Lestapis, Etard de Bascardon (1790), de La Porte-Lalanne (1817), de Quatrebarbes (1833), Mathieu de Reichshoffen (1843), Delahante (1856 et 1859), de Grimoüard (1869), Adam (1869), Augier de Crémiers (1873), Le Bret (1878), de Messemé (1884), de Poix (1886), de La Chapelle, Moreau de La Rochette (1891), Bégon de La Rouzière (1899), Le Breton de Vannoise (1909), de La Gorgue de Rosny (1926), Couëtoux du Tertre (1973), de Foucaud (1976), de Freslon de La Freslonnière, Le Moniès de Sagazan.
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