La famille Berlier de Vauplane est une famille subsistante d'ancienne bourgeoisie française, originaire de Barcelonnette, en Provence. Famille de juristes connue depuis la fin du XVesiècle, elle a formé plusieurs branches dont seule subsiste la branche de Vauplane. Elle compte parmi ses membres des avocats, des hommes politiques dont des maires de Draguignan et de Tourtour, des officiers et des magistrats.
Le patronyme Berlier s'est aussi écrit jusqu'à la fin du XVIesiècleBerlieri ou Berliery[3]. Plusieurs individus de cette famille sont dénommés comme tels dans les registres paroissiaux de Tourtour ou dans les minutes notariales de Tourtour.
Bien que les armes des Berlier représente un bélier, il faut chercher ailleurs le sens du mot. L’animal «bélier» en provençal est désigné par le mot aret, étymologiquement éloigné de Berlier, plus proche de l’italien ariete (bélier) et du latin aries (bélier) que du français[4].
Le Trésor du Felibrige[5] rapproche ce nom de «berlo», éclat de bois, mais aussi de la berle (nom identique en provençal), qui, selon Dauzat et Rostaing[6], a donné de nombreux noms de lieux. Dans le Recueil des mots de la basse latinité de Maigne d’Arny[7], «Berla» peut indiquer en langage agricole, dans certaines provinces gauloises, «un grand troupeau de moutons» et «berliera», la bélière, à savoir un anneau de cuir auquel est suspendue la cloche, la clarine du bétail.
Le rattachement à la terre la berlière en Provence est aussi explication de l'origine du nom. Toutefois, le rattachement de cette famille avec les Villeneuve et la branche Villeneuve La Berlière est à écarter, malgré le lien avec les troubles pendant les guerres de religion[8],[9].
Le choix du bélier comme signe représentatif du patronyme peut s’expliquer tout autant par le nom d’un lieu (bergerie) ou d’une terre (berlière) ou d’une activité (berger) que par les symboles que représente l’animal. Ce qui explique pourquoi certaines villes ont comme armoiries un bélier (comme Quimper en Bretagne), et que d’autres familles que les Berlier retiennent le bélier comme signe distinctif. On peut ainsi citer les familles Blégiers (Comtat-Venaissin), La Boissonade (Rouergue), ou encore les Roblelin d’Ogny (Bourgogne)[10].
La famille Berlier est une famille provençale connue à partir de la fin du XVesiècle, originaire de Barcelonnette (Alpes-de-Haute-Provence). Balthazard Berlier (1489-1560), le premier ancêtre connu[11], était juge-mage[12]. Au siècle suivant un membre de cette famille s'établit à Tourtour, puis à Draguignan (Var) au XVIesiècle, où plusieurs de ses descendants furent consuls ou maires de ces deux localités[13]. Elle se caractérise par sa présence dans la judicature et plus généralement les métiers d'avocat, magistrat, notaire ou juriste de façon ininterrompue depuis le début du XVI° siècle.
Le nom de la seigneurie de Vauplane est venu à la suite du mariage de Marc-Antoine Berlier avec Marguerite d'Arnoux de Vauplane[16] et d'une convention passée en 1773 entre celui-ci et sa belle-mère Anne-Thérèse Circlot, veuve de Guillaume d'Arnoux[12]. Un décret du ratifie l'usage établi depuis la fin de l'Ancien Régime par la famille Berlier de joindre à son nom celui de Vauplane[8]. Les Berlier de Vauplane s'installent à Marseille au début du XIXesiècle, puis à Paris au milieu du XXesiècle.
Cette branche comprend de nombreux avocats dont Honoré Berlier (1522-1592), Blaise Berlier (1730-1793), avocat puis juge de paix à Draguignan, maire de Draguignan, guillotiné le 11 décembre 1793 pour conspiration fédéraliste, Polyeucte Berlier de Vauplane (1846-1920), magistrat puis avocat, bâtonnier du barreau de Tours, défenseur de nombreuses congrégations religieuses après la loi de 1880 d'expulsion des congrégations religieuses, défenseur du comte de Sabran de Pontevès devant la Haute Cour de Justice, président du comité royaliste de Tours, commandeur de l’ordre de Saint Grégoire, président de la conférence Olivaint, Henri Berlier de Vauplane (1853-1937), avocat au barreau de Marseille, professeur de droit à la Faculté de droit libre de Marseille, critique musical sous le pseudonyme Eklektik dans Le soleil du Midi, quotidien marseillais, président et fondateur de la Société de Musique de chambre de Marseille, spécialiste de Richard Wagner, chevalier de l'ordre du Libérateur (Venezuela), chevalier de l'ordre du Médjidié (Empire Ottoman), Hubert Berlier de Vauplane, docteur en droit, avocat, membre de l'Académie catholique de France[17].
Elle comprend aussi de nombreux gens d'église dont François Berlier de Vauplane (1883-1939), jésuite, aumônier militaire dans l'infanterie coloniale pendant la guerre de 1914-1918, puis de la 8e division coloniale pendant l'occupation de la Sarre, directeur du lycée privé Saint-Louis de Gonzague à Paris, recteur du Lycée privé Sainte-Geneviève à Versailles de 1937 à 1939, officier de la Légion d'honneur et croix de guerre 1914-1918.
Elle comprend également de nombreux officiers tant sous l'Ancien régime que récemment.
Un de leurs représentants actuels est membre de la Société des Cincinnati et du Jockey Club. Elle est membre de l'association des Vieux noms français subsistants (VNFS)[18].
Des Berlier de Vauplane est issue la branche Berlier-Tourtour qui prend au début du XVIIIesiècle le nom de la seigneurie qu'elle possédait à Tourtour[a],[19] et le rameau cadet de celle-ci ajoute le nom de la terre de La Rémolle à la fin du XVIIIesiècle[14]. Cette branche comprend parmi ses membres Étienne de Berlier-Tourtour (1743-1827), maire de Draguignan (an III et 1813), conseiller général du Var (1800-1807), président du conseil général du Var (1806), lieutenant-colonel, se retire de l'armée au début de la Révolution, chevalier de Saint-Louis. Également François-Augustin de Berlier-Tourtour de La Rémolle (1748-1832), capitaine dans le régiment d'Auxonne pendant la guerre d'indépendance des États-Unis, organisateur de l’Arsenal de Lyon, s'est retiré de la vie militaire comme colonel au début de la Révolution, rejoint Bonaparte comme commandant de l'artillerie à Antibes lors du siège de Toulon (1793), avant d'être écarté pour sympathies monarchistes, chevalier de Saint Louis, maire d'Eygières (1817-1830). Cette branche s'est éteinte avec Félicien de Berlier-Tourtour (1899).
Balthazard Berlier (1489-1560), dont:
Honoré Berlier (1522-1592), avocat à Draguignan, aide le comte de Suze, gouverneur de Provence, en levant une troupe de quatre cents hommes à ses frais, lors des troubles de 1578-1579 qui accompagnèrent en Provence la formation de la Ligue[20],[14]. Selon les auteurs du nobiliaire du département des Bouches-du-Rhône[20], à la suite de cet évènement, celui-ci aurait reçu des lettres d’anoblissement en 1569, confirmées en 1694, sans toutefois que des traces n'en soient gardées[12].
Honoré Berlier (1552-1609)
César Berlier (1590-1670), conseiller-auditeur des comptes[12] à Draguignan, seigneur de Tourtour, auteur des branches de Berlier-Tourtour et de la branche de Toulon ci-dessous
Joseph Berlier (1620-1699), avocat à Draguignan, receveur des vigueries et des tailles.
Jacques Berlier de Vauplane, (1885 - 1914), lieutenant au 7ème régiment de cuirassiers, mort pour la France, officier de la Légion d'honneur, croix de guerre 1914-1918 avec palme.
Hervé Berlier de Vauplane (1893 - 1923), jésuite, mort pour la France, croix de guerre 1914-1918 avec palme.
Robert Berlier de Vauplane (1896 - 1917), engagé volontaire, maréchal des logis au 19ème régiment d'artillerie, croix de guerre 1914-1918, mort pour la France.
Marc Grégoire Berlier ( - ), procureur du roi à la sénéchaussée de Brignoles[26].
Blaise Berlier (1631-1697), auteur de la branche de Tourtour, qui suit.
Jean Berlier ( - ), notaire royal à Tourtour en 1531
Gaspard Berlier ( - ), notaire royal à Tourtour[27], 1er consul de Tourtour (1586 - 1587 et 1602 - 1603).
François Esprit Emmanuel Berlier de Vauplane (1771-1860)
Adolphe Berlier de Vauplane (1807-1875)
Polyeucte Berlier de Vauplane (1846-1920)
Henri Berlier de Vauplane (1853-1937)
Père François Berlier de Vauplane, S.J (1883-1939)
Branche Berlier-Tourtour
Contrairement à ce qu'affirmait Gustave Chaix d'Est-Ange, la branche Berlier-Tourtour est une branche cadette de la famille Berlier.
César Berlier (1590 - 1670), conseiller auditeur à la cour des comptes de Draguignan, co-seigneur de Tourtour
Blaise Berlier (1631 – 1697), receveur des tailles à Draguignan, seigneur de Tourtour.
César Berlier (1665 - 1723), prince d'amour à Aix, conseiller du roi à la sénéchaussée de Draguignan[28], seigneur de Tourtour[29].
Étienne-Augustin de Berlier-Tourtour (1705 – 1783), fils du précédent, conseiller du roi à la sénéchaussée de Draguignan[28], seigneur de Tourtour[29].
Adolphe de Berlier-Tourtour (1797 - 1863), fils du précédent, avocat, puis magistrat au tribunal de Draguignan
Félix de Berlier-Tourtour (1829 - 1869), fils du précédent, capitaine d’état-major, aide de camp du général Abadie, médaille de Crimée et chevalier de la Légion d’honneur[32].
Alphonse de Berlier-Tourtour, (1802 - 1860) avocat à Aix
Félicien de Berlier-Tourtour (1837 - 1899)
Adrien de Berlier-Tourtour (1844 - 1894)
Colonel de Berlier-Tourtour (1743-1827), maire de Draguignan, président du conseil général du Var
Félix de Berlier-Tourtour (1829 - 1869), capitaine d'État major
La souche de la famille Berlier a formé par ailleurs une branche mentionnée à Toulon qui fut l'aînée de cette famille provençale. Et une branche à Dijon mais dont le rattachement reste à confirmer.[réf.nécessaire]
Branche Berlier (Toulon)
À la fin du XVIesiècle la branche aînée de la famille Berlier s'installe à Toulon et donne de nombreux chirurgiens de la marine ainsi que des officiers du génie qui ont participé à l'épopée napoléonienne dont notamment François Toussaint Berlier (1767-1849) et Jean-Charles Berlier (1788-1837)[36].
César Berlier (1590 - 1670), co-seigneur de Tourtour.
Joseph Berlier (1620-1699): auteur de la branche Vauplane qui précède.
Balthazar Berlier (1617 - 1701), premier consul de Draguignan.
Antoine Berlier (1675 - 1746)
Grégoire Berlier (1697 - 1742)
Augustin Berlier ( - )
François Toussaint Berlier (1767 - 1849), lieutenant-colonel du génie, a participé à la plupart des campagnes napoléoniennes avec l’armée d’Italie, l’armée du Rhin, la Grande armée, l’armée d’Espagne, officier de la légion d’honneur[37],[38].
Jean-Charles Berlier (1788 - 1837), chef d’escadron au corps royal d’état-major; a participé à de nombreuses campagne napoléoniennes dans l’armée d’Italie, dans l’armée d’Espagne, dans la Grande armée[37], officier de la légion d'honneur[39].
Branche Berlier (Dijon)
Une autre branche est mentionnée comme faisant partie de la famille Berlier originaire de Provence mais le point de jonction avec les autres est à confirmer. Xavier de Montclos pour sa part indique que les Berlier de Dijon sont une branche de cette famille mais il ne donne toutefois pas une indication sur un ancêtre commun[40],[41],[b].
Également par Pierre-André-Hercule Berlier (1769-1821), général de brigade (infanterie) sous la Révolution et l’Empire, baron d’Empire, officier de la Légion d'honneur, chevalier de Saint-Louis.
Cette branche aujourd'hui éteinte avec Raymond Berlier (1958) serait aussi liée aux Berlier établis dans le Forez, comme en attesterait un litige successoral[42].
Théophile (1733 - 1794): conseiller du roi, puis garde marteau Chatillon-sur-Seine, guillotiné à Dijon le 20 mai 1794.
Antoine (cadet) (1754 - 1826), avocat, puis notaire à Dijon.
Louis-Guillaume Berlier (1740 - )
Pierre-André-Hercule Berlier (1769-1821), général de brigade (infanterie) sous la Révolution et l’Empire, baron d’Empire, officier de la Légion d'honneur, chevalier de Saint-Louis.
Hercule Berlier (1818 - 1875), colonel de zouaves.
Théophile Berlier (1761-1844) - président de la Convention Nationale et du Conseil des Cinq-Cents, conseiller d'État
Buste du général Hercule Berlier (1769 - 1821), baron d'Empire, officier de la Légion d'honneur et chevalier de Saint-Louis
Écartelé: aux I et IV, d'argent à trois lionceaux de sable; au II, de gueules à une épée d'argent qui est des barons militaires; au III, de gueules à une lance d'argent.
Château Berlier-Tourtour, hameau de Rebouillon à Chateaudouble (Var)
Hubert Berlier de Vauplane rapporte que Xavier de Montclos indique clairement que la branche de Dijon et celle de Tourtour/Draguignan sont liées mais qu'il ne donne pas ses sources. Hubert Berlier de Vauplane ajoute que selon ses propres recherches cet auteur se fonde sur les archives de la bibliothèque Paul Arbaud d'Aix où dans le dossier Berlier il est fait mention de liens entre ces deux branches via les livres de raison et les recherches effectuées par Régis de Gâtimel sur la famille Berlier. Il ajoute encore qu'il est possible aussi que Xavier de Montclos soit allé voir les archives de Draguignan dans le dossier Berlier établi par Frédéric Mireur sur les familles de Draguignan où ce lien est aussi mentionné. De même, du côté Berlier de Dijon, les archives familiales (versées aux archives de Dijon) mentionnent aussi le lien entre ces deux branches. Extraits du livre de Xavier de Montclos: "À la fin du XVIesiècle un Berlier s'installe à Lyon; il est l'auteur des Berlier de Dijon (...)". Les deux éditions du livre de Montclos sont identiques sur ce point. Hubert Berlier de Vauplane rapporte également que les actes d'archives (archives départementales de Dijon, Saint-Étienne, Draguignan) donnent le rattachement comme suit: Balthazard Berlier (1534 -?), fils de Balthazard (1489-1560) et frère de Gaspard (notaire à Tourtour mais pas de date de baptême: les registres paroissiaux ne sont pas tenus avant 1554 à Tourtour) quitte Tourtour pour Lyon où il se marie; d'où notamment Jaques (1588 -?), puis Claude (? -?) à Saint Étienne, d'où Mathieu (1674 - 1700?) à Saint Étienne, d'où Guillaume (1699-1765) à Dijon; d'où Antoine (1731-1777) et Théophile (1733-1794), conseiller du roi à Dijon puis garde marteau à Chatillon-sur-Seine guillotiné à Dijon le 20 mai 1794. Pas d'idées sur les métiers exercés pour les premiers degrés: Guillaume (1699-1765) est mentionné marchand dans son acte de mariage, Antoine (1731-1777) est mentionné selon les actes avocat puis quincailler (il reprend l'activité de son père). Hubert Berlier de Vauplane indique par ailleurs ne pas avoir le détail du dossier à la bibliothèque Paul Arbaud à Aix. Cette origine commune est donc dans l'attente d'une confirmation.
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