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personnalité politique suisse (UDC/BE) De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Erich Hess, né le à Dürrenroth (originaire du même lieu), est une personnalité politique suisse, membre de l'Union démocratique du centre (UDC).
Erich Hess | |
Portrait officiel, 2023. | |
Fonctions | |
---|---|
Conseiller national | |
En fonction depuis le | |
Législature | 50e, 51e et 52e |
Groupe politique | UDC (V) |
Commission | CdG CPS (depuis 2019) |
Député au Grand Conseil du canton de Berne | |
– | |
Législature | 2018-2022 |
– | |
Législature | 2010-2014, 2014-2018 |
Député au Conseil de ville de Berne | |
– | |
Législature | 2004-2007, 2007-2010 |
En fonction depuis le | |
Législature | 2013-2016, 2016-2019, 2019-2022 |
Biographie | |
Date de naissance | |
Nationalité | suisse |
Parti politique | UDC |
Profession | Camionneur |
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Député du canton de Berne au Conseil national depuis , il est réputé être l'élu le plus à droite du Conseil national.
Erich Hess naît le à Dürrenroth, dans le canton de Berne, commune dont il également originaire[1].
Il est camionneur de profession depuis son adolescence[2] et sergent à l'armée[1]. Il est par ailleurs actif dans l'immobilier[2] et copropriétaire d'un restaurant à Bümpliz[3].
Il est un des responsables de la rédaction de BernAktuell[4], journal d'opinion bimensuel suisse basé à Berne, fondé en 1989, avec une ligne d'information régionaliste à dominante politico-sociale de tendance conservatrice[réf. nécessaire].
Secouriste et vice-président de la section des Samaritains Bern-Biel-Thun[5], il est également membre du Bund der Steuerzahler (Fédération des contribuables)[5] et de Pro Libertate[5].
Il réside à Niederbottigen, un hameau de la périphérie de Berne[2]. Il n'a aucun lien de parenté avec le conseiller national Lorenz Hess[6].
Erich Hess rejoint l'UDC à l'âge de 16 ans, en raison de la question européenne[2].
Il est membre du Conseil de ville (législatif) de Berne de 2005 à [7] et à nouveau depuis 2013[8]. Il y crée une polémique en 2017 en dénonçant le fait qu'on voyait dans un lieu alternatif de la ville « principalement des nègres en train de dealer ». Cette déclaration donne lieu à une plainte des Jeunes Verts, qui débouche toutefois sur un non-lieu[2]. Deux ans plus tard, la gauche l'écarte de la présidence du conseil, le jugeant indigne de la fonction[3].
Il siège au Grand Conseil du canton de Berne du au , puis à nouveau du au [9]. Il obtient le meilleur score de son parti lors de sa seconde élection[2].
Il est président de la jeunesse de son parti du au [10],[11],[12], après y avoir occupé la fonction de trésorier. Il est également l'un des membres du comité directeur de l'UDC de son canton ainsi que du comité directeur central au niveau national. En 2008, les Jeunes UDC le proposent comme candidat au Conseil fédéral[13]. Il est à l'origine[3], en tant que président des Jeunes UDC, de l'initiative populaire cantonale bernoise « Pas de naturalisation de criminels et de bénéficiaires de l'aide sociale », acceptée le 24 novembre 2013 par le peuple[14].
Il est élu député au Conseil national comme représentant du canton de Berne en 2015[15] et réélu en 2019[16] et 2023 (quatrième mieux élu du canton)[17].
Au parlement fédéral, il siège au sein de la Commission de gestion (CdG) et, depuis , au sein de la Commission de la politique de sécurité (CPS)[1].
Il est réputé être l'élu le plus à droite du Conseil national[18],[3],[2]. Son mentor politique est Thomas Fuchs[3].
Hess est par ailleurs membre de l'Action pour une Suisse indépendante et neutre[19].
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