Il collabore régulièrement avec le compositeur Aurélien Dumont, notamment depuis l'opéra Villa des morts (2007), mais aussi avec Christophe Petchanatz et son groupe Klimperei[2], Misato Mochizuki, Gérard Pesson, NOORG (Loïc Guénin et Eric Brochard), Mathieu Corajod ou Matthias S. Krüger.
Il participe à des lectures publiques et rédige des critiques et notes de lecture pour le Cahier Critique de Poésie édité par le cipM.
Enseignant, il est agrégé de lettres et auteur d'une thèse sur l'œuvre romanesque d'Italo Svevo.
«Die Poesie äussert sich. Dreimal französische Courage: Philippe Beck, Sylvie Kandé und Dominique Quélen», par Tim Trzaskalik et Leo Pinke, Schreibheft, n°88, , pp.133-191
En anthologie:
Yves di Manno et Isabelle Garron, Un nouveau monde, Poésies en France 1960-2010, Flammarion, coll. «Mille&unepages», 2017, pp.1385-1388
Autres:
Dominique Quélen, «Je reviens tout de suite», dans Sandrine Wymann (dir.), Jennifer K. Dick (dir.), Écrire l'art, Mulhouse, Kunsthalle, , 208p. (ISBN979-10-91091-06-0), p.160-167
Pierre Vinclair, Prise de vers, À quoi sert la poésie? La rumeur libre, 2019, "Des projets en prose", p.130-140
Laure Gauthier (dir.), D’un lyrisme l’autre, Musica Falsa, 2022, entretien, p.78-85
Entre autres sur l'album Alice, d'après l'œuvre de Lewis Carroll, traduction des textes D. Quélen, 1 CD, In Poly Sons, 2000. Sur ce groupe et cet album, voir Philippe Robert, «Le Ménage enchanté», in Les Inrockuptibles, n°322, 22-28 janvier 2002, p.46-47.
Cf. Dominique Viart et Bruno Vercier, La Littérature française au présent, éd. Bordas, 2005, p.437, qui évoquent ces proses «labiles mais concentrées»; et pour Gérard Noiret, «Enigmes», in La Quinzaine littéraire, n°851, avril 2003, p.14, l'auteur y «atteint une perfection qui le singularise».