Le nom «communauté de communes du Cellois, Cœur du Poitou, Mellois et Val de Boutonne» était provisoire[3],[4]. En août 2017, elle prend officiellement le nom de «communauté de communes Mellois en Poitou»[5].
Le , le syndicat d’assainissement du Mellois fusionne avec la communauté de communes[6].
Située au sud du département des Deux-Sèvres, la communauté de communes Mellois en Poitou regroupe 62 communes et présente une superficie de 1 283,4 km2[15]. Le territoire de l'intercommunalité regroupe la presque totalité du territoire historique du pays mellois et est à caractère rural.
Composition
La communauté de communes est composée des 62 communes suivantes:
Le conseil communautaire de la communauté de communes se compose de 90 conseillers[18], représentant chacune des communes membres et élus pour une durée de six ans.
L"intercommunalité exerce les compétences qui lui ont été transférées par les communes membres, dans les conditions définiées par le code général des collectivités territoriales. Il s'agit[23]:
Réseau de communications électroniques à Très Haut Débit en fibre optique jusqu’aux abonnés, inscrits dans le Schéma Directeur Territorial Numérique des Deux-Sèvres
Petite enfance, enfance, jeunesse
Temps d’Activités Périscolaires et restauration scolaire
Sites, circuits et équipements touristiques
Transports
Bâtiments liés à un service public.
Actions de promotion et de développement territorial: soutien au tissu associatif et participation financière pour les associations ayant un rayonnement communautaire défini dans le cadre du règlement d’intervention ou, le cas échéant, de conventions d’objectifs triennales
Gestion du label «Pays d’art et d’histoire»
Contribution au Service Départemental d’Incendie et de Secours
Afin de financer l'exercice de ses compétences, l'intercommunalité perçoit la fiscalité professionnelle unique[2] (FPU) – qui a succédé à la taxe professionnelle unique (TPU) – et assure une péréquation de ressources entre les communes résidentielles et celles dotées de zones d'activité.
«Le Cellois, exemple parfait de l' " interco " en stand-by: Maire de Celles-sur-Belle depuis 1995, Jean-Marie Roy a accepté de prendre les rênes en janvier 2015 de la communauté cantonale de Celles-sur-Belle, après le retrait surprise de Francis Proust, maire de Thorigné, qui accomplissait son 3e mandat de président.», La Nouvelle République, (lire en ligne, consulté le ).
«Mellois: les mariés partagés sur le baptême: Les conseils municipaux planchent actuellement sur le nom de la nouvelle entité communautaire. Les trois propositions créent déjà la polémique», La Nouvelle République, (lire en ligne, consulté le ).
Isabelle David, «Arrêté préfectoral portant création de la commune nouvelle de Fontivillié», Recueil des actes administratifs des Deux-Sèvres, (lire en ligne)
Isabelle David, «Arrêté préfectoral portant création de la commune nouvelle de Marcillé», Recueil des actes administratifs des Deux-Sèvres, (lire en ligne[PDF])
Isabelle David, «Arrêté préfectoral portant création de la commune nouvelle de Prailles-La Couarde», Recueil des actes administratifs des Deux-Sèvres, (lire en ligne[PDF])
Les densités de population sont calculées automatiquement dans un SIG en utilisant la surface géométrique de la commune, avec un niveau de précision du contour de 5 m tel qu'il ressort de l'export du découpage administratif au niveau communal (contours des communes) issu d'OpenStreetMap, et non la superficie cadastrale définie par l'Insee, qui est une donnée purement administrative. Des différences de classe peuvent ainsi éventuellement apparaître pour les communes qui se situent en limite de franchissement de seuil de classe.
Didier Darrigrand, «Mellois en Poitou: Bertrand Devineau n'est plus président: La démission du président de la communauté de communes Mellois en Poitou a été officialisée ce vendredi soir. Bertrand Devineau jette l'éponge au bout d'un an. Il ne sera même plus simple délégué de sa commune», La Nouvelle République, (lire en ligne, consulté le )«Si celui qui n’est plus président depuis quelques heures, dit vouloir préserver sa santé face à la somme de travail, difficile de ne pas voir dans cette décision un ras-le-bol, après une année de tiraillements constatés à chacun des conseils communautaires».