Remove ads
film américain de Harold Becker, sorti en 1998 De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Code Mercury ou Mercure à la hausse au Québec (Mercury Rising) est un film américain réalisé par Harold Becker, sorti en 1998.
Titre québécois | Mercure à la hausse |
---|---|
Titre original | Mercury Rising |
Réalisation | Harold Becker |
Scénario |
Lawrence Konner (en) Mark Rosenthal (en) |
Musique | John Barry |
Acteurs principaux | |
Sociétés de production |
Imagine Films Entertainment Universal Pictures |
Pays de production | États-Unis |
Genre | Policier |
Durée | 110 minutes |
Sortie | 1998 |
Pour plus de détails, voir Fiche technique et Distribution.
Art Jeffries, agent du FBI est relégué à des tâches subalternes à la suite d'une altercation avec un supérieur dont le manque de professionnalisme a provoqué un carnage lors d'une prise d'otages.
Un jour, on fait cependant appel à lui pour protéger Simon, un autiste de 9 ans dont les parents ont été assassinés après le déchiffrage par l'enfant d'un nouveau code secret de la NSA réputé inviolable : le code « Mercury ».
L’aptitude exceptionnelle de Simon rend ce nouveau code trop vulnérable, surtout si des services secrets ennemis capturaient l'enfant pour utiliser son savoir. Le responsable du projet, Nick Kudrow, ordonne donc l’élimination immédiate de Simon, sous couvert de menace pour la sécurité nationale. C’est compter sans Jeffries.
Pourchassé par des tueurs à gages, Jeffries se rend compte rapidement qu’il ne peut faire confiance à personne et surtout pas à la police. Heureusement, il a gardé quelques relations utiles et la rencontre d'une jeune femme va l'aider à faire face aux tueurs impitoyables lancés par Kudrow à ses trousses, à déjouer le complot et à révéler la vérité au grand jour.
Le film est mal reçu par la critique à sa sortie en salles, obtenant un taux d'approbation de 21 % sur le site Rotten Tomatoes, sur la base de 57 critiques collectées et une note de 4,4⁄10[2], tout en notant dans son consensus qu'il « met l'action à fond, mais ne parvient jamais à trouver une impulsion dramatique pour garder les téléspectateurs – ou Bruce Willis – engagés dans son histoire larmoyant »[2]. Sur le site Metacritic, le long-métrage obtient un score moyen de 37⁄100, basé sur 25 critiques collectées et une mention « avis généralement négatifs »[3].
Il est également un échec commercial[4], rapportant que près de 32 983 332 $ de recettes aux États-Unis[5]. Lors de son démarrage américain pour son premier week-end à l'affiche où il est diffusé dans 2 386 salles, Code Mercury s'est contenté d'une troisième place avec plus de 10 100 000 $ engrangées au box-office américain, dominé par Perdus dans l'espace, sorti le même jour et qui sera également un flop[4],[6]. Malgré une augmentation de 13 salles le week-end suivant, le film connaît une forte chute avec 5 500 000 $ de recettes, soit une baisse de 46 % par rapport à son démarrage, pour un total approchant les 19 000 000 $ depuis sa sortie[6]. Le bouche-à-oreille défavorable et le démarrage en deçà des attentes ont conduit à l'échec au box-office du film. Pour Universal Pictures, qui a produit Code Mercury, il s'agit du deuxième flop d'envergure après Primary Colors, sorti deux semaines plus tôt, entraînant la démission forcée de quatre dirigeants du studio[4].
Toutefois, il s'est relativement bien comporté au box-office international avec 60 172 000 $[6], portant le total à 93 155 332 $ dans le monde[7]. Ce résultat en demi-teinte ne permet pas à Universal de faire des profits, qui obtiendrait qu'environ 51,2 millions de dollars une fois que les cinémas prendraient leur pourcentage du brut, ce qui laisserait une partie des dépenses mondiales P&A dans le rouge et le budget intact par les recettes des salles[4].
En France, Code Mercury occupe la cinquième place du box-office durant deux semaines consécutives dès sa sortie avec un cumul de 339 099 entrées, dont un démarrage à 238 948 entrées[7]. Son exploitation en salles se finit avec 491 840 entrées[7].
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Every time you click a link to Wikipedia, Wiktionary or Wikiquote in your browser's search results, it will show the modern Wikiwand interface.
Wikiwand extension is a five stars, simple, with minimum permission required to keep your browsing private, safe and transparent.