Agrégé de lettres puis docteur ès lettres en 1857, il devient professeur de logique au Lycée et de littérature à l'Ecole préparatoire des sciences et des lettres de Nantes[2].
Appelé à Paris en 1864, il est nommé professeur de rhétorique au Lycée Bonaparte (futur Lycée Condorcet) où il reste pendant treize ans.
Les Troubadours et Pétrarque, thèse présentée à la Faculté des lettres de Paris, Impr. de Cosnier et Lachèse (1857)[4]
Discours prononcé à la distribution solennelle des prix du Lycée de Nantes, le , A. Guéraud (1857)
De Philippide Guillelmi Britonis disputatio. Facultati litterarum parisiensi hanc thesim proponebat, Apud Cosnier et Lachèse (1857)
Nouveau recueil de morceaux choisis, extraits de nos meilleurs auteurs, depuis le XVIIesiècle jusqu'à nos jours. Prosateurs., C. Delagrave (1865)
Étude sur Saint-Evremond (1866)
Discours sur J. J. Rousseau (1868)
Imitations faites en grec depuis le douzième siècle, de nos anciens poèmes de chevalerie, Paris, 1864
Études sur la littérature grecque moderne: Imitations en grec de nos romans de chevalerie depuis le XIIesiècle. Ouvrage couronne en 1864 par l'Académie des Instructions et Belles-Lettres. Paris, 1866–1878.
Étude sur une apocalypse de la Vierge Marie, manuscrits grecs nos 390 et 1631, Impr. de A. Lainé (1871)
Les Français du XVIIesiècle – 1873
Nouvelles Études sur la littérature grecque moderne, Maisonneuve, 1878.
L'Art d'écrire enseigné par les grands maîtres, P. Ollendorff (1879)[5]
Histoire de la littérature française depuis son origine jusqu'à la Renaissance, m1874–1883, 3 Teile
Éducation et morale. Le livre de l'enfant, choix de lectures selon le programme du , Ract et Falquet (1883)
Pierre-Bertrand Mérigon, professeur de grec à l'Université de Paris, 1884
Le Livre de l'adolescent, choix de lectures, conforme aux programmes des écoles primaires du , Paris, C. Delagrave, 1886.
Morceaux choisis des principaux auteurs latins, Garnier frères (1891)
Histoire de la littérature française depuis son origine jusqu'à nos jours, Paris, Alphonse Lemerre, (1875-1896), prix Marcelin Guérin de l’Académie française en 1893