Châtres (Dordogne)

commune française du département de la Dordogne De Wikipédia, l'encyclopédie libre

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Châtres est une commune française située dans le département de la Dordogne, en région Nouvelle-Aquitaine.

Faits en bref Administration, Pays ...
Châtres
Châtres (Dordogne)
Le village de Châtres.
Administration
Pays France
Région Nouvelle-Aquitaine
Département Dordogne
Arrondissement Sarlat-la-Canéda
Intercommunalité Communauté de communes Terrassonnais Haut Périgord Noir
Maire
Mandat
Bernadette Merlin
2020-2026
Code postal 24120
Code commune 24116
Démographie
Gentilé Châtriers, Châtrières
Population
municipale
181 hab. (2022 )
Densité 15 hab./km2
Géographie
Coordonnées 45° 11′ 11″ nord, 1° 11′ 54″ est
Altitude Min. 157 m
Max. 334 m
Superficie 12,20 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Hors attraction des villes
Élections
Départementales Canton du Haut-Périgord Noir
Législatives Quatrième circonscription
Localisation
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Châtres
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Châtres
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Châtres
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Châtres
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    Géographie

    Résumé
    Contexte

    Généralités

    Dans l'est du département de la Dordogne, en Périgord central, la commune de Châtres est arrosée par un sous-affluent de la Vézère, le Taravellou.

    Traversé par la route départementale (RD) 63, le petit bourg de Châtres est situé, en distances orthodromiques, dix kilomètres au nord-ouest du centre-ville de Terrasson-Lavilledieu.

    Le territoire communal est également desservi par la RD 62E3.

    Communes limitrophes

    Châtres est limitrophe de six autres communes. Au sud-est le territoire de Beauregard-de-Terrasson est distant d'environ 400 mètres et au nord-est celui de Louignac, en Corrèze, est éloigné d'environ 650 mètres.

    Géologie et relief

    Géologie

    Situé sur la plaque nord du Bassin aquitain et bordé à son extrémité nord-est par une frange du Massif central, le département de la Dordogne présente une grande diversité géologique. Les terrains sont disposés en profondeur en strates régulières, témoins d'une sédimentation sur cette ancienne plate-forme marine. Le département peut ainsi être découpé sur le plan géologique en quatre gradins différenciés selon leur âge géologique. Châtres est dans le gradin extrême nord-est que constitue le dernier contrefort du Massif central, avec des roches cristallines formées à l’ère primaire, antérieurement au Carbonifère[1].

    Les couches affleurantes sur le territoire communal sont constituées de formations superficielles du Quaternaire, de roches sédimentaires datant pour certaines du Cénozoïque, et pour d'autres du Mésozoïque et du Paléozoïque. La formation la plus ancienne, notée tfρ3, est constituée de grès de Thiviers et d'ardoises d'Allassac, des métatufs rhyodacitiques à chlorite et métagrauwackes, séricitoschistes intercalés (Cambrien moyen à supérieur). La formation la plus récente, notée Fy3-z, fait partie des formations superficielles de type alluvions subactuelles à actuelles. Le descriptif de ces couches est détaillé dans les feuilles « no 760 - Juillac » et « no 784 - Terrasson » de la carte géologique au 1/50 000 de la France métropolitaine[2],[3] et leurs notices associées[4],[5].

    Thumb
    Carte géologique de Châtres.
    Davantage d’informations Ère, Période ...
    Ère Période Époque Formations géologiques
    Cénozoïque
    (0 - 66.0)
    Quaternaire
    (0 - 2.58)
    Holocène
    Fy3-z  :Alluvions subactuelles à actuelles indifférenciées : argiles silteuses, argiles sableuses, argiles tourbeuses, sables argileux, sables fins à graviers (Pré-boréal à actuel)
    Pléistocène  non présent
    Néogène
    (2.58 - 23.03)
     non présent
    Paléogène
    (23.03 - 66.0)
    Oligocène
    g1a  :Formation de Boisbreteau moy. et formation de la Garde : sables feldspathiques à graviers et galets passant vers le sommet à des argiles sableuses (Rupélien inf. continental)
    Éocène  non présent
    Paléocène  non présent
    Mésozoïque
    (66.0 - 252.17)
     non présent
    Paléozoïque
    (252.17 - 538.8)
    Permien
    (251.902 - 298.9)
    r2-3  :Grès de Louignac : grès rouges micacés en bancs réguliers parfois schisteux (Saxonien-Thuringien)
    r1c  :Grès de Villac et grès rouges de Brive : grès rouges alternant de manière irrégulière avec des niveaux argileux rouges et micacés avec des lentilles conglomératiques (Autunien)
    r1a  :Grès de Grand Roche ou grès rouges inférieurs : grès rouges, parfois bariolés, parfois blanchâtre et plus ou moins conglomératiques (Autunien inf.)
    Carbonifère
    (298.9 - 358.9)
     non présent
    Dévonien
    (358.9 - 419.2)
    AS1  :UG - Schistes de Génis p.p. et arkoses du moulin de Guimalet p.p. (horst de Châtres) : schistes chloriteux verdâtres (groupe de Génis, Dévonien)
    Silurien
    (419.2 - 443.8)
     non présent
    Ordovicien
    (443.8 - 485.4)
    02χ  :UTP (Unité de Thiviers-Payzac) - Quartzite du puy des Âges et du horst de Châtres : filon de quartzite blanc à muscovite (Ordovicien)
    Cambrien
    (485.4 - 538.8)
    tfρ3  :UTP (Unité de Thiviers-Payzac) - Grès de Thiviers et ardoises d'Allassac : métatufs rhyodacites à chlorite et métagrauwackes, séricitoschistes intercalés (Cambrien moy. à sup.)
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    Relief et paysages

    Le département de la Dordogne se présente comme un vaste plateau incliné du nord-est (491 m, à la forêt de Vieillecour dans le Nontronnais, à Saint-Pierre-de-Frugie) au sud-ouest (m à Lamothe-Montravel). L'altitude du territoire communal varie quant à elle entre 157 m et 334 m[6],[7].

    Dans le cadre de la Convention européenne du paysage entrée en vigueur en France le , renforcée par la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, de la nature et des paysages, un atlas des paysages de la Dordogne a été élaboré sous maîtrise d’ouvrage de l’État et publié en [8]. Les paysages du département s'organisent en huit unités paysagères[Note 1] et 14 sous-unités[9]. La commune est dans l'unité paysagère des « Marges du bassin de Brive », qui correspond à la marge occidentale du bassin de Brive. Elle se caractérise par une succession d’amples vallées, déblayées dans les grès roses et les argiles rouges. Les altitudes s’échelonnent entre 350 et 150 m[10],[11].

    La superficie cadastrale de la commune publiée par l'Insee, qui sert de référence dans toutes les statistiques, est de 12,20 km2[6],[12],[Note 2]. La superficie géographique, issue de la BD Topo, composante du Référentiel à grande échelle produit par l'IGN, est quant à elle de 12,55 km2[3].

    Hydrographie

    Réseau hydrographique

    La commune est située dans le bassin de la Dordogne au sein du Bassin Adour-Garonne[13]. Elle est drainée par le Taravellou, le ruisseau des Lions, la Forêt, le ruisseau de la Chapelle et par divers petits cours d'eau, qui constituent un réseau hydrographique de 16 km de longueur totale[14],[Carte 1].

    Le Taravellou, d'une longueur totale de 10,51 km, prend sa source dans la commune de Badefols-d'Ans et se jette dans le Cern  dont il est le principal affluent  en rive gauche, à La Bachellerie[15],[16]. Il arrose la commune sur plus de six kilomètres et demi, servant de limite communale sur plus de deux kilomètres et demi, en deux tronçons, face à Badefols-d'Ans et à Saint-Rabier.

    Sur l'ensemble de son cours, soit plus de deux kilomètres, la Forêt, affluent de rive gauche du Taravellou, sert de limite communale au sud, face à Peyrignac.

    Affluent de rive droite du Taravellou, le ruisseau de la Chapelle sert de limite naturelle à l'ouest sur un kilomètre, en limite de Saint-Rabier.

    Le ruisseau des Lions, affluent de rive droite de l'Elle, marque la limite territoriale au nord-est sur plus de deux kilomètres, face à Villac.

    Gestion et qualité des eaux

    Le territoire communal est couvert par le schéma d'aménagement et de gestion des eaux (SAGE) « Vézère-Corrèze ». Ce document de planification, dont le territoire regroupe les bassins versants de la Vézère et de la Corrèze, d'une superficie de 3 730 km2 est en cours d'élaboration. La structure porteuse de l'élaboration et de la mise en œuvre est le conseil départemental de la Corrèze[17]. Il définit sur son territoire les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine, en respect des objectifs de qualité définis dans le troisième SDAGE du Bassin Adour-Garonne qui couvre la période 2022-2027, approuvé le [18].

    La qualité des eaux de baignade et des cours d’eau peut être consultée sur un site dédié géré par les agences de l’eau et l’Agence française pour la biodiversité[Carte 2].

    Climat

    Historiquement, la commune est exposée à un climat océanique aquitain[19]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[20].

    Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 11,8 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 14,8 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 043 mm, avec 12,1 jours de précipitations en janvier et 7,5 jours en juillet[21]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Thenon à 11 km à vol d'oiseau[22], est de 12,9 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 907,1 mm[23],[24]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[25].

    Urbanisme

    Résumé
    Contexte

    Typologie

    Au , Châtres est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[26]. Elle est située hors unité urbaine[27] et hors attraction des villes[28],[29].

    Occupation des sols

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (59,4 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (59,8 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (59,4 %), prairies (25,9 %), zones agricoles hétérogènes (14,7 %)[30]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 3].

    Thumb
    Carte des infrastructures et de l'occupation des sols de la commune en 2018 (CLC).

    Prévention des risques

    Le territoire de la commune de Châtres est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse), feux de forêts, mouvements de terrains et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[31]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[32].

    Risques naturels

    Châtres est exposée au risque de feu de forêt. L’arrêté préfectoral du fixe les conditions de pratique des incinérations et de brûlage dans un objectif de réduire le risque de départs d’incendie. À ce titre, des périodes sont déterminées : interdiction totale du 15 février au 15 mai et du 15 juin au 15 octobre, utilisation réglementée du 16 mai au 14 juin et du 16 octobre au 14 février[33]. En septembre 2020, un plan inter-départemental de protection des forêts contre les incendies (PidPFCI) a été adopté pour la période 2019-2029[34],[35].

    Thumb
    Carte des zones d'aléa retrait-gonflement des sols argileux de Châtres.

    Les mouvements de terrains susceptibles de se produire sur la commune sont des tassements différentiels[36]. Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie[37]. 50,4 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (58,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national métropolitain)[Carte 4]. Depuis le , en application de la loi ÉLAN, différentes contraintes s'imposent aux vendeurs, maîtres d'ouvrages ou constructeurs de biens situés dans une zone classée en aléa moyen ou fort[Note 3],[38].

    La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982, 1983 et 1999, par la sécheresse en 1989 et 2018 et par des mouvements de terrain en 1999[31].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Selon la classification de 2018, la commune de Châtres est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[39].

    Toponymie

    En occitan, la commune porte le nom de En Chastre[40].

    Histoire

    Politique et administration

    Résumé
    Contexte

    Rattachements administratifs

    La commune de Châtres a, dès 1790, été rattachée au canton de la Bachellerie qui dépendait du district de Montignac jusqu'en 1795, date de suppression des districts. Lorsque ce canton est supprimé par la loi du 8 pluviôse an IX () portant sur la « réduction du nombre de justices de paix », la commune est rattachée au canton de Terrasson (devenu canton de Terrasson-la-Villedieu en 1963, puis renommé en canton de Terrasson-Lavilledieu en 1997) dépendant de l'arrondissement de Sarlat (devenu l'arrondissement de Sarlat-la-Canéda en 1965)[6].

    Fin 2003, Châtres intègre la communauté de communes du Terrassonnais. Celle-ci est dissoute au 31 décembre 2013 et remplacée au 1er janvier 2014 par la communauté de communes du Terrassonnais en Périgord noir Thenon Hautefort, renommée communauté de communes Terrassonnais Haut Périgord Noir en .

    Administration municipale

    La population de la commune étant comprise entre 100 et 499 habitants au recensement de 2017, onze conseillers municipaux ont été élus en 2020[41],[42].

    Liste des maires

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    La mairie.
    Davantage d’informations Période, Identité ...
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    Les données manquantes sont à compléter.
             
    avant 1988  ? Jacques Lachaud PS  
             
      2004 Max Thibaut[Note 4]    
    2004
    (réélue en mai 2020)
    En cours Bernadette Merlin SE[43] Prothésiste retraitée
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    Équipements et services publics

    Justice

    Dans le domaine judiciaire, Châtres relève[44] :

    Population et société

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations de référence des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[45]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2005[46].

    En 2022, la commune comptait 181 habitants[Note 5], en évolution de −5,73 % par rapport à 2016 (Dordogne : +0,37 %, France hors Mayotte : +2,11 %).

    Davantage d’informations - ...
    2015 2020 2022 - - - - - -
    190184181------
    Fermer
    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1806 1821 1831 1836 1841 1846 1851
    369373448471481523585600537
    1856 1861 1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896
    525532554586560564514451525
    1901 1906 1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954
    510507514300292312302234232
    1962 1968 1975 1982 1990 1999 2005 2006 2010
    220226187173181161163165184
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[6] puis Insee à partir de 2006[47].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Manifestations culturelles et festivités

    Économie

    Emploi

    En 2015[49], parmi la population communale comprise entre 15 et 64 ans, les actifs représentent 79 personnes, soit 41,6 % de la population municipale. Le nombre de chômeurs (quatorze) a augmenté par rapport à 2010 (onze) et le taux de chômage de cette population active s'établit à 17,7 %.

    Établissements

    Au , la commune compte treize établissements[50], dont six au niveau des commerces, transports ou services, trois dans l'agriculture, la sylviculture ou la pêche, deux relatifs au secteur administratif, à l'enseignement, à la santé ou à l'action sociale, un dans la construction, et un dans l'industrie[51].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

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    L'église Notre-Dame-de-la-Nativité.
    • Château d'Artigeas, ruiné[52].
    • Manoir de Larre, propriété de la famille Labrousse de Beauregard (XIXe siècle)[53].
    • Église Notre-Dame-de-la-Nativité, construite sur le site d'une ancienne chapelle[54].

    Personnalités liées à la commune

    Bernard Labrousse de Beauregard, né en 1735 à Montignac sur Vézère (paroisse de Brénac), chanoine régulier de Chancelade, prieur de Meux en 1774 puis prieur-curé de Champagnolles en 1778 (en Saintonge), député du clergé aux États généraux. Il résida dans le manoir de Larre pendant la Révolution avant de s’exiler en Espagne où il est mort (Villatobas, 1800). Il est l’auteur de poèmes et d’une histoire de la Révolution française retrouvée au Portugal[55],[56].


    Pour approfondir

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    Articles connexes

    Liens externes

    Notes et références

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