En 1981, elle étudie le tibétain, peu à peu elle édite une grammaire tibétaine dont 11 chapitres sont parus chez différents éditeurs[1].
En 1984, elle fonde la maison d’édition le Théâtre Typographique[2](TH.TY), en 1988, Bernard Rival[3] la rejoint pour co-gérer et co-animer le Théâtre Typographique[4].
Le Théâtre typographique a fait de le choix de tirage limité d’œuvres littéraires et poétiques, avec une esthétique typographique et illustrative.
Grammaire tibétaine
ka, ch. 1, Éd. Contrat maint, 2001.
sKu, ch. 2, Éd. de l'Attente, 2002.
Khà, ch. 3, Éd. Contrat maint, 2003.
Khyi, ch. 4, If, no 24, 2004.
g'i, ch. 5, 49 Poètes, un collectif, Flammarion, 2004.
Grog(s), ch. 6, Éd. Contrat maint, 2004.
Nga, ch. 7, Fin, no 24, 2006.
Ngà, ch. 8, Éd. Héros-limite, 2009.
gČig, ch. 9, Éd. Contrat maint, 2011.
bČu, ch. 10, Éric Pesty Éditeur, 2012.
Chou, ch. 11, Koshkonong, no 8, 2015.
Introduction à Chou, L'Ours Blanc, no 10, 2016.
ch. 11.2, «Ulf Stolterfoht fête. DJane Husserl», postface de Ulf Stolterfoht Des objets, trad. Bénédicte Vilgrain, Éric Pesty Éditeur, 2022.
Conte
1984, Le Maître de la pluie ou le Voyage de Tch'e Song, Éd. Ipomée, adapté au théâtre et mis en scène par Sarkis Tcheumlekdjian[5]. lire en ligne
Traductions du tibétain
2005, Les contes du cadavre, (Recueil de 25 à 27 contes composés au VIIe ou VIIIe siècle et recensés vers le XVesiècle) Éd. TH.TY.
1986, La raison de l'oiseau de Tshaṅs-dbyaṅs-rgya-mtsho VI (dalaï lama, 1683-1706), Éd. Fata Morgana.
1984, Où l'on apprend que Cendrillon a tué sa mère; suivi de la marâtre Srin-mo, extrait du cycle dit des " ro sgrung " ou contes du cadavre, Éd. TH.TY.
Traduction de l'anglais
2008, Pertes inespérées, apportées par le vent, de Keith Waldrop, Éd. TH.TY.
Abigail Lang, «L'interprétation des raves Lecture de Bénédicte Vilgrain», Critique, nos735-736, , p.656–668 (ISSN0011-1600, lire en ligne, consulté le )