Après 1945, il porte un intérêt particulier sur les problèmes soulevés par l'intégration de sculpture dans des ensembles architecturaux.
En 1937, il a un atelier au no12rue François Guibert à Paris.
Ampiac, cimetière: Croix de cimetière, 1956, en grès, elle comporte deux bas-reliefs en bronze illustrant la Passion du Christ. Ils sont achetés à la suite d'une commande faite à l'artiste la même année et déposés directement par décision d'attribution du . Seul le bas-relief représentant La Piéta est répertorié au registre du Fonds national d'art contemporain[3]. Cette croix est située au milieu du cimetière d'Ampiac, la croisée des branches est ornée de deux bas-reliefs de formes de médaillons circulaires, fixés par des vis. L'avers est orné du buste du Christ, figuré de trois-quarts, la tête ornée de la couronne d'épines. Le revers est orné de la Pietà ou Déploration du Christ mort sur les genoux de sa Mère[4];
Druelle (Aveyron), mairie: Bergère gardant deux bœufs, 1953, haut-relief en bronze, de plan rectangulaire horizontal est fixé contre le bossage de l’élévation principale de la mairie, sous la terrasse y donnant accès. La représentation est une jeune femme vêtue à l'antique, tenant un bâton et se tenant accoudée à une paire de bœufs;
Druelle: Motifs d'une fontaine: groupe de trois masques et bas-relief, 1957, pierre[5], œuvre non localisée[6];
Grammond, cimetière: Piéta et Passion du Christ, 1954 œuvres identiques à celles du cimetière d'Ampiac;
Paris, église Saint-Dominique, tympan extérieur: Saint Dominique, 1946, haut-relief en pierre. Le saint homme est représenté sous les traits de Louis Jouvet qui posa pour l'artiste.