En 1966, avec Peter Whitehead, Sinclair fonde Lorrimer Publishing, qui publie les scénarios originaux de films classiques[4]. Ainsi, quelque 70 scénarios de films ont été publiés, dont ceux de L'Ange bleu et du Troisième Homme.
En 1967, son livre The Better Half: The Emancipation of the American Woman remporte le prix Somerset-Maugham[5].
Pour son livre The Last of the Best (1969), il est assisté de Jacquemine Charrott Lodwidge(en)[6].
Au cours de cette décennie, Sinclair contribue à sauver de la démolition les bâtiments historiques de Narrow Street(en).
Son œuvre la plus récente est son autobiographie, Storytelling: A Sort of Memoir (2018)[7].
Andrew Sinclair s'est marié trois fois:
Sa première épouse est Marianne Alexandre en 1960, avec qui il a un fils, Timon Alexandre Sinclair. Le couple divorce plus tard;
Sa deuxième épouse est Miranda Seymour, fille de George Fitzroy Seymour (branche cadette des marquis de Hertford et duc de Somerset de Thrumpton Hall) et Rosemary Nest Scott-Ellis, fille de Thomas Evelyn Scott-Ellis (1880-1946), le 17 octobre 1972 (mariage dissous le 6 juin 1984). Le couple a un fils, Merlin George Sinclair;
Sa troisième épouse est Sonia Melchett, veuve du président de British Steel Julian Mond. Le mariage a lieu le 25 juillet 1984 et reste sans descendance[2].
Non-fiction
Interdiction: L'ère de l'excès (1962)
La meilleure moitié: L'émancipation de la femme américaine (1965)
(en) Morley, «Wholly Experience: Lorrimer Series Review, "Films and Filming", 1966», Framework: The Journal of Cinema and Media, Drake Stutesman; Wayne State University Press, vol.52, no1, , p.362–3 (DOI10.1353/frm.2011.0000, JSTOR41553490)