Il travaille le métal, la stéatite, la pierre, le bois et le verre. Ses œuvres les plus volumineuses sont exposées dans des lieux historiques et des jardins publics.
Avant de s'intéresser à la sculpture en 1980, il travaille dans l'administration des Hauts-de-Seine et devient éducateur de jeunes de 5 à 21 ans[réf.nécessaire]. Puis, parallèlement à sa pratique de la sculpture, il passe des diplômes professionnels de vol libre et enseigne les sports aériens jusqu'en 2006[1].
Après sa retraite d'enseignant des sports aériens[2], il se consacre entièrement à la sculpture[3] et à son enseignement dans les écoles, collèges[4], lycées, centre professionnel et, à la demande, en public[5].
Méthode et philosophie
Le sculpteur donne une deuxième vie à tous types de matériaux récupérés, métal, bois, pierre.
Pour lui la nature a déjà fait une partie du travail, son œil de sculpteur redonne vie à la matière[6],[7]. Il façonne selon les matériaux dans le figuratif, l'animalier[8],[9] ou dans l'abstrait[10]. Le format de ses sculptures va d'un centimètre à trois mètres.
Matériaux utilisés
Le matériau de prédilection du sculpteur est le métal: acier, inox, fer, cuivre. Certaines œuvres atteignent plusieurs mètres[11]. L'artiste sculpte également le bois, la pierre, le sable et le verre. Il peut combiner les matériaux[12].
Diffusion des œuvres
Les statues du sculpteur ont été diffusées internationalement à titre privé et pour des expositions publiques[13],[14].
2016 Artmajeur, Galerie d'Art en ligne / Ateliers Agora, «Alain Nouraud dit Nuro», sur Ateliers Agora via Artmajeur Galerie d'Art en ligne (consulté le )
Pascal Cléro, «Le Salon Arts Atlantic revient cette année avec France Bleu La Rochelle – France Bleu», France Bleu, , P1 Alain Nouraud initiera les petits et grands à la sculpture (lire en ligne, consulté le )
«Magazine de découverte de l’estuaire de la Gironde», Univers de l'estuaire, (lire en ligne):
«Quant à l’inspiration, «la nature a déjà fait une partie du boulot. Mon œil de sculpteur voit des formes inspirées par l’Estuaire, animaux marins, échassiers, et j’accentue le trait pour qu’elles apparaissent à tous. Comme disent les enfants, tout le monde de l’Estuaire est caché dans l’arbre»»
Gérard Estève, «Un duo d'artistes pour une exposition qui invite au voyage», LaProvence.com, (lire en ligne, consulté le ):
«Il puise son inspiration dans les matériaux qu'il façonne, revisitant les univers animalier et humain. Il crée ainsi un bestiaire unique plein d'humour, de tendresse et de caractère qui ne laisse personne indifférent. Alain Nouraud a également participé à de nombreux symposiums nationaux et internationaux.»
Auguin, «La petite cassotte», calameo.com, , P35 Avec une imagination créative foisonnante, Alain Nouraud ne se prend pas au sérieux. (lire en ligne, consulté le )
«Alain NOURAUD Sculpteur sur métal», sur www.metiers-art.com (consulté le ) : «De la sculpture en bois monumentale à la sculpture métallique, de la fonderie à la réalisation de petites broches en pierre, du tournage au mariage des matières, chacune de ses pièces est unique et dégage une réelle émotion. Alain Nouraud a également participé à de nombreux symposiums nationaux et internationaux.»
Annie Brossard, «Une expo lumineuse», sur SudOuest.fr (consulté le ) : «L'invité Alain Nouraud, sculpteur autodidacte depuis plus de vingt ans, a parsemé ses œuvres aux quatre coins du monde, de l'île des Embiez aux îles du Pacifique, en passant par Dublin, Berlin»
Paries Dominique, «La passion des chevaux», sur SudOuest.fr (consulté le ) : «De la rencontre entre Pascal Guimard et ce couple, est né le concept de cette exposition réservée à des artistes professionnels et bâtie pour être itinérante. Après le haras de Saintes, «Arts & Haras» investira, le Salon du cheval à Paris (du 3 au 11 décembre) puis, en 2012, les haras nationaux de Saint-Lô (Manche), Villeneuve-sur-Lot (Lot-et-Garonne) et du Pin (0rne).»
Denise Roz, «Une œuvre d'art dans les jardins», sur sudouest.fr (consulté le ) : «C'est une œuvre nouvelle et métallique que le sculpteur Alain Nouraud vient de réaliser, au cours de sa résidence d'artiste dans les jardins du phare. Depuis plusieurs années déjà, le sculpteur implante ses œuvres en bois flotté sur le site remarquable du phare saint-georgeais, dorénavant classé monument historique.»
Catherine Le Meur, «Un nouvel habitant à Saint-Trojan-les-Bains», L'écho du mimosa, , P17 Samedi 1er juin, près du port, un Hippocampe a investi le bassin de chasse près du port, sculpture monumentale en acier soudé, de près de quatre mètres de haut. Cette œuvre a été réalisée par l’artiste Nuro à la demande du conseil municipal pour un montant de 5000 euros. (lire en ligne)