Du grec ancien ἀκτίς, aktis, «rayon» et de ἱστίον, istion, «voile», à cause des nageoires dorsales rayonnées qui ressemblent à des voiles de bateaux.
Ils sont caractérisés par un squelette interne des membres monobasaux (un seul élément s'attache aux ceintures) et de l'émail vrai sur les dents. Chez le cœlacanthe, la vessie gazeuse forme un poumon dégénéré rempli de graisse. Les nageoires pédonculées sont utilisées comme des échasses, pour le soulever du fond.
Le cladogramme des Actinistia ci-dessous est établi à partir de plusieurs publications[1],[2],[3],[4],[5]:
(en) A. J. Wendruff et M. V. H. Wilson, «A fork-tailed coelacanth, Rebellatrix divaricerca, gen. et sp. nov. (Actinistia, Rebellatricidae, fam. nov.), from the Lower Triassic of Western Canada», Journal of Vertebrate Paleontology, vol.32, no3, , p.499–511 (DOI10.1080/02724634.2012.657317)
(en) Gallo, V., M.S.S. de Carvalho, & H.R.S. Santos, «New occurrence of †Mawsoniidae (Sarcopterygii, Actinistia) in the Morro do Chaves Formation, Lower Cretaceous of the Sergipe-Alagoas Basin, Northeastern Brazil», Boletim do Museu Paraense Emílio Goeldi, vol.5, no2, , p.195–205
(en) Clément, G., «A new coelacanth (Actinistia, Sarcopterygii) from the Jurassic of France, and the question of the closest relative fossil to Latimeria», Journal of Vertebrate Paleontology, vol.25, no3, , p.481–491 (DOI10.1671/0272-4634(2005)025[0481:ancasf]2.0.co;2)