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La 36e Division de Grenadiers à disposition de la SS, en allemand 36. Waffen-Grenadier-Division der SS, est une division de la Waffen-SS durant la Seconde Guerre mondiale, commandée par le SS-Oberführer Oskar Dirlewanger.
36. Waffen-Grenadier-Division der SS | |
Création | |
---|---|
Dissolution | |
Pays | Allemagne |
Branche | Waffen-SS |
Type | Division SS |
Rôle | Bandenbekämpfung |
Effectif | 6 000 à 6 500 |
Fait partie de | 4. Panzerarmee |
Garnison | Lausitz |
Ancienne dénomination | SS-Sturmbrigade "Dirlewanger" |
Surnom | Division Dirlewanger |
Guerres | Seconde Guerre mondiale |
Batailles | Essentiellement des actions anti-partisans |
Commandant historique | Oskar Paul Dirlewanger |
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Cette division de combat n'a en réalité qu'à peine trois mois d’existence, du 20 février 1945, jusqu’à la capitulation du Reich. Elle est issue cependant d'une simple unité spéciale de la SS, crée au mois de mai 1940. elle est successivement montée en puissance en passant de bataillon spécial, à régiment, brigade, et enfin à division de combat.
La mission principale de cette unité, mise à part sous la forme de division, est la lutte contre les partisans, sa création est une demande personnelle du Reichsführer-SS Heinrich Himmler.
La "Dirlewanger", se distingue en effet de toutes les autres unités du Troisième Reich, même des unités Einsatzgruppen. Hormis la réputation d’être une des pires unités SS, avec un bilan d'environ 60 000 victimes, sa vraie particularité est qu'elle est composée en intégralité, de son commandant aux hommes de troupes, par des condamnés ou des prisonniers de camps de concentrations ou de centre de détentions militaires.
Les effectifs maximums, de sa création à son anéantissement, sont estimés entre 6 000 à 6 500 soldats, dont 450 volontaires russes. Le 25 avril 1945, à la reddition de l'unité, seuls 40 hommes étaient encore en état de combattre et 634 prisonniers ont été identifiés par les Soviétiques comme appartenant à la division.
On peut donc admettre que seuls 10 % des effectifs ont survécu à la guerre et que la division était à 93 % allemande.
Les informations concernant la division sont assez restreintes et rares, le journal de marche de l'unité n'ayant jamais été retrouvé, seul un travail d'archives croisées peut faire foi.
L'unité, qui en quelques années est passée du simple groupe de combat au format de division, à connu plusieurs dénominations, officielle et officieuse. Nous pouvons affirmer qu'au moins quatre noms sont inscrits dans les archives d'immatriculation ;
Avant septembre 1943, l'unité est dénommée comme un simple Sonderkommando der Waffen-SS suivie du nom de son commandant d'unité ou de la ville de garnison où elle est stationnée.
Les dénominations suivantes sans aucune valeur officielle, peuvent cependant être admises de fait, car utilisées par les hommes de troupes mais aussi dans certains courriers :
Sondereinheit ‘‘Dirlewanger’’, Wilddiebkommando ‘‘Oranienburg’’, Sonderkommando ‘‘Dirlewanger’’, SS-Sonderbataillon ‘‘Dirlewanger’’.
P.S.:
Le SS-Wach-Batalion “Oranienbourg”, immatriculé en février 1941 et fusionné le 1er septembre de la même année, avec une compagnie de la SS-Truppenübungsplatzes Debica.
Cette information est à prendre avec prudence. L'unité, selon Christian Ingrao, dans son ouvrage “Les chasseurs noirs - La brigade Dirlewanger[4]”, mentionne que :
“Le commando prit également en charge la surveillance des travaux de construction que les bureaux de Globocnik mirent en œuvre le long de la ligne de démarcation germano-soviétique. (...). Les hommes du commando Dirlewanger firent ainsi partie des équipes qui surveillèrent les détenus,...”[4]
La date d'immatriculation concorde avec les événements cités par l'auteur, mais le lieu de garnison diffère ; Ingrao écrit que la garde des chantiers s’effectue à Lublin, mais les archives d'immatriculation mentionnent que l'unité est affectée à cette période à Dębica. Ce détail est suffisant pour qu'il subsiste un doute concernant le fait que cette unité soit celle de Dirlewanger.
Oskar Dirlewanger est envoyé fin mai 1940 à Oranienbourg pour prendre en charge l'instruction militaire de 80 prisonniers condamnés pour délits cynégétiques. Transférés de toute l'Allemagne, les prisonniers avaient été rassemblés, isolés et mis à disposition de l'un des régiments de la SS-Verfügungstruppe. Leur âge moyen est alors trente ans. À l'issue de l'instruction qui dura deux mois, 55 prisonniers braconniers furent retenus pour intégrer le commando. Les critères de sélection étaient uniquement physiques[5].
La particularité de cette unité, et cela quelle que soit sa forme (régiment, brigade ou division), est qu'elle est composée à la quasi-totalité de son effectif par des prisonniers ou condamnés. La troupe se compose de prisonniers issus de divers camps de concentration, et les cadres sont eux sous mesures disciplinaire de la Waffen-SS ou de la Wehrmacht et en « mise à l'épreuve » ou en maison d’arrêt militaire. L'unité se démarque aussi par le type de condamnation de son personnel : braconnage, droit commun, détenus politiques, détenus disciplinaires, meurtriers et même sur la fin de la guerre des détenus communistes ennemis du parti.[réf. nécessaire]
Le commandant de l'unité, Oskar Dirlewanger lui-même est un ancien détenu condamné pour pédophilie[réf. nécessaire].
Fin septembre 1940, la toute jeune unité est envoyée dans le district de Lublin et placée sous le commandement du SSPF (SS- und Polizeiführer) local, alors sous la responsabilité d'Odilo Globocnik, où elle fut renforcée par 20 nouvelles recrues et 4 sous-officiers de la SS, eux-mêmes sous condamnation disciplinaire[5]. L'unité prend le nom officiel de Sondereinheit Oranienburg.
La Sondereinheit reste 18 mois, de fin septembre 1940 à mars 1942 en Pologne, entre le sud-est du pays, la ligne de démarcation germano-soviétique (du moins jusqu'au 21 juin 1941), la ville de Lublin et les environs de Stary Dzików. Outre la mission générale de combat qu'ont toutes les unités militaires, la mission principale de l'unité est la sécurisation du territoire, la lutte anti-partisane, contrôle de population et lutte contre le marché noir.
Les premières missions de combat de l'unité sont très largement inconnues, par manque d'archives. Pour Hans Peter Klausch elle a été employée dans des missions de combat contre des francs-tireurs et les premiers maquis polonais dans la région de Varsovie. Lors du procès de Nuremberg, Gottlob Berger affirme que l'unité luttait contre les tireurs embusqués et les prisonniers de droit commun qui avaient fui Varsovie à la suite de l'invasion. Les hommes mentionnent très peu de combats, mais essentiellement de la surveillance de la population et de la lutte contre le marché noir. L'absence de pertes semble confirmer la quasi-absence de combats[6].
Pendant cette période polonaise, dont peu d'archives, de rapports ou de témoignages sont disponibles, la Sondereinheit ne déplore aucune perte au combat. Mais l'unité présente déjà une mauvaise réputation auprès des forces de police, en raison de multiples infractions, désordres, extorsions et escroqueries. Dirlewanger et Berger s'opposent aux mesures judiciaires SS et c'est Friedrich-Wilhelm Krüger le chef supérieur de la SS et de la Police dans le Gouvernement général de Pologne qui exige le départ de l'unité. Celle-ci reçoit son ordre de marche à la fin du mois de [7].
Début janvier 1942, étant visée par une procédure disciplinaire, l'unité est déplacée, sur ordre du Reichsführer-SS, vers un théâtre d'opération un peu moins serein que la zone précédente, où elle sera utilisé pour sa mission principale : la lutte anti-partisane. C'est dans les forêts et marais de la Biélorussie, à Moguilev, sous commandement de l'état-major de Heinrich Himmler, et rattachée provisoirement aux brigades de cavalerie SS, que la Sondereinheit gagnera sa triste réputation de pire unité SS de la Seconde guerre mondiale.
À l'été 1941, des milliers de soldats soviétiques se sont retrouvés en arrière des lignes allemandes car dépassés par les percées. Ils se réfugient dans les forêts et s'assurent de leur subsistance. Ils se contentent cependant de survivre et ne prévoient initialement aucune action contre les Allemands. Au début de l'année 1942, les Soviétiques commencèrent un patient travail de coordination, d'organisation et d'unification du commandement de ces troupes, et les actions de guérillas s’intensifièrent de plus en plus. Le Siège centrale du mouvement partisan (en) de Moscou estime à cette époque qu'il y a environ 23 000 partisans[7].
Face à cette nouvelle stratégie de Moscou qui est de reconnaître les partisans comme une armée à l’intérieur des territoires conquis, et aux dangers que cela représente pour les troupes arrières allemandes, les forces de police et la SS modifient leur stratégie ; elles commencent à organiser de grandes opérations de ratissage.
Le commando spécial de Dirlewanger participe à 27 grandes opérations de ratissage, et à une quantité non négligeable de « petites opérations » menées aux abords de son cantonnement à Moguilev et en janvier 1943 aux abords de sa nouvelle affectation, la ville de Lahoisk.
Le journal de marche de l'unité n'ayant jamais été retrouvé, nous ne pouvons affirmer le nombre exact d'opérations effectuées par le commando, mais on peut en admettre une cinquantaine.
La Sondereinheit Oranienburg subit son réel baptême du feu dans le cadre de la participation à l'opération Bamberg, au début du mois de mars 1942, en prenant d'assaut trois camps retranchés de partisans à Ossipowitchi, Klitschev et Tscherwakov. Il change de nom et se fait appeler Sondekommando-SS “Dirlewanger”. Le bilan de cette première opération se solde par 4 396 victimes et à 6 morts côté allemand. L'unité travaille avec deux divisions d'infanterie de la Wehrmacht, une division de l'Armée Bernolák (de), de l'État slovaque, et le 315e bataillon de police.
Le commando connaît ses premiers morts au combat dans la troisième semaine du mois de mai 1942, 3 soldats sont tués sur l'axe routier Mogilev-Minsk. L'unité effectue donc une opération de représailles. Le commando est engagé quelques jours plus tard dans une opération conjointe avec l’Einsatzkommando 8, dans la zone Moguilev-Bobrouïsk-Berezino, également opération de représailles.
Cette action se déroule du 30 Juin au 15 juillet 1942. L'unité n'y participe que partiellement, en intervenant à partir du 9 juillet pour renforcer les effectifs de la 203e division de sécurité (203. Sicherungs-Division)[10] chargée de l'opération. La division doit traiter les zones des districts de Klitchaw, Kirawsk et Bykhov. L'officier chargé des opérations sur le terrain est le commandant d'unité du 608e régiment. Les forces allemandes en présence sont :
Ce qui représente une force allemande de plus ou moins de 6 179 soldats (les effectifs du 286e Bataillon de Sécurité et du bataillon “Dirlewanger” sont fiables, les autres ont été calculés selon le Kriegsstärkenachweisung (Kstn) du type 1939 en vigueur).
Les Allemands font face à plusieurs unités soviétiques :
Les Soviétiques alignent sept détachements de partisans pour un effectif total d'environ 1 700 hommes[8].
Les forces allemandes ont été divisées en trois groupes, le Sonderbatalion faisant partie du troisième détachement, a reçu pour mission de nettoyer la localité de Voyevichi. Mais celui-ci n'est pas immédiatement impliqué dans l'opération. En effet, du 30 juin au 5 juillet 1942, il est engagé dans plusieurs ‘‘opérations de nettoyage’’ dans les régions de Klitchaw, Berezinsky et Moguilev. Une fois leurs missions annexes accomplies, le personnel a été transféré près de Voyevichi, du 1er au 10 juillet. L'unité est placée en tête de son groupe de choc. C'est à cette occasion, le 9 juillet, qu' Oskar Dirlewanger est blessé en recevant une balle dans le bras. Le Sonderbatalion aura eu le temps d'incendier les villages de Gribova Sloboda[21], Golynka[22], Duleby[23] et Trebolye.
L'ensemble de l'opération est considéré comme un échec par les Allemands en matière de lutte anti-partisanes. Les pertes sont relativement élevées, autant en hommes qu'en matériel. On estime à environ 300[24],[8] le nombre de morts coté allemand.
Les résultats de cette opération sont très importants pour la suite. Ils vont déterminer un changement complet de la stratégie allemande. Dorénavant, les unités allemandes vont s'efforcer de détruire systématiquement tout ce qui peut apporter une aide aux partisans. Les villages seront incendiés, les ressources seront pillées et la population locale exterminée.
Avec cette méthode, les Allemands évitent la plupart du temps l'affrontement armé avec des unités de partisans bien armés et réduisent de façon significative leurs pertes aux combats.
Le Sonderbatalion participe, du 20 juillet au 7 août 1942, à l'« Opération Adler », c'est une action conjointe de la Wehrmacht, le Reichsführung SS et l'Ordnungspolizei, les 203e et 286e Divisions de Sécurité (203. Sicherungs-Division[10]) (286. Sichreungs-Division[25]) sont chargés de la coordination sur le terrain. Le contingent est divisé en quatre groupes tactiques :
Quatrième groupe de réserve :
La couverture aérienne assurée par le 51e Escadron de Bombardiers ‘‘Edelweiss’’ de Bobruisk (Kampfgeschwader 51 "Edelweiss") et quatre bombardiers du 1er Escadron de Bombardiers, stationnés à Stary Bykhov. Le secteur d'opération se trouve dans les régions de Bialynitchy, Berazino, Stary Bykhov, Klitchaw et Bialynitchy, selon le renseignement allemand, le secteur regroupe entre 2 000 à 5 000 partisans.
Les Soviétiques alignent treize détachements de partisans pour un effectif réel de 4 000 combattants :
Les Russes disposent pour leurs défense de canon de campagne léger, de canon anti-char, de mitrailleuses lourdes et légères, de carabines automatique et de fusils.
Le premier groupe de combat “Bukhman”
l'élimination de 1 381 partisans, pour un solde de 27 morts coté allemand et 64 blessés.
Du 14 au 20 août 1942 l'unité participe à l'‘‘Opération Greif’’, entre Orscha et Vitebsk, jumelé avec une division SS, deux régiments de police et un bataillon de la L.V.F (I.Infanterie-Batalion / 638. Franzosiches-Infanterie-Regiment). Le bilan de cette opération est de 796 victimes et 26 soldats morts.
S'ensuit l'‘‘Opération Sumpffieber’’, plus connue sous le nom de “Fièvre des Marais”, qui dure pendant presque un mois du 22 août au 21 septembre 1942, qui se déroule sur tout le commissariat général. La participation en tant que telle à cette action de ratissage n'est attesté par aucune source, cela dit les actions systématiques de ratissage du Sonderkommando, opérant le long de la voie ferrée de Moguilev à Babrouïsk ont pu être coordonné dans le cadre de l'opération, sans que cela apparaisse dans les comptes rendus d'action.
Cette action se déroule du 8 au 15 octobre 1942 dans un secteur qui va de la ville de Moguilev à celle de Borrisow, l'unité est subordonnée à la 1. SS-Brigade Reichführer SS. Sont impliqués dans l'action les 1er, 2e et 3e Bataillon des 8e et 10e Régiment d'Infanterie SS de la 1re Brigade d'Infanterie SS Motorisé (I., II., III. / 8. SS-Infanterie-Regiment – I., II., III. / 10. SS-Infanterie-Regiment – 1. SS-Brigade Reichführer SS), les 1er, 2e et 3e Bataillon du 14e Régiment de Police de la SS (I., II., III. / 14. SS-Polizei-Regiment), une unité de commandement du Einsatzgruppe B (SD Stab), le 255e Bataillon de Sécurité de Volontaire Lituanien (255. Litauisches-Schutze-Bataillon), le 1er Bataillon du 638e Régiment d'Infanterie de Volontaires Français (I.Infanterie-Batalion / 638. Franzosiches-Infanterie-Regiment), le 102e Escadron de Cavalerie de Cosaques (102. Kosaken-Abteilung) et une Batterie Spéciale de Volontaires (Fremdvölk.Batterie Z.b.V). Le poste de commandement du commando se trouve à Deniesowitschi. Son objectif, à partir du 12 au 13 octobre, est de traiter les villes suivant cet axe de progression; Linie Kupienka, Pyschstschje, Kuanija, Gamosstotschje, Barouki, Stolpy et Gibailowitschi, et ainsi faire jonction avec des éléments du 1er Bataillon du 638.-I.R à Olechanez le 13 octobre[27].Le bilan de cette opération est de 1 051 victimes et de 24 soldats morts.
L'“Opération Lenz Süd'” se déroule du 30 mars au 7 avril 1943 dans le secteur autour des villes Borrisow, Sloboda, Smolewitschi, dans le cadre du Kampfgruppe Von Gottberg, participe à l'opération les 2e et 13e Regiments de Police de la SS (2. SS-Polizei-Regiment[28]– 13. SS-Polizei-Regiment[29]) et le 1er Bataillon du 23e Regiment de Police de la SS (I./23. SS-Polizei-Regiment[30])
Début | Fin | Grade | Nom |
---|---|---|---|
1940 | SS-Oberführer | Oskar Paul Dirlewanger | |
Aout 1942 | Septembre 1942 | SS-Hauptsturmführer | Meyer-Mahrndorff |
Octobre 42 | Février 1945 | SS-Oberführer | Oskar Paul Dirlewanger |
SS-Brigadeführer | Fritz Schedes |
Unité | Date | Effectif réel |
---|---|---|
Stab-Battalion | 06/1942 | 25 |
1. Infanterie-Kompanie | 06/1942 | 80 |
⇒ 1. Infanterie-Kompanie | 09/1942 | 195 |
2. russische Kompanie | 06/1942 | 150 |
3. russische Kompanie | 06/1942 | 150 |
4. russische Kompanie | 06/1942 | 150 |
Leichte Artillerie | 06/1942 | 40 |
Motorradfahrerzug | 06/1942 | 40 |
Unité | Date | Effectif théorique | Effectifs réel |
---|---|---|---|
I. SS-Infanterie-Batalion | |||
- 1. Infanterie-Kompanie | |||
- 2. Infanterie-Kompanie | |||
- 3. Infanterie-Kompanie | |||
- 4. Infanterie-Kompanie | |||
- 5. Infanterie-Kompanie |
Unité | Date | Effectif théorique | Effectif réel |
---|---|---|---|
1. Panzer-Abteilung | |||
- Division Stab | |||
- 1. Sturmgeschütz-Kompanie | |||
- 2. Sturmgeschütz-Kompanie | |||
72. Waffen-Grenadier-Regiment der SS | |||
I. Infanterie-Batalion | |||
- 1. Infanterie-Kompanie | |||
- 2. Infanterie-Kompanie | |||
- 3. Infanterie-Kompanie | |||
- 4. Infanterie-Kompanie | |||
II. Infanterie-Batalion | |||
- 5. Infanterie-Kompanie | |||
- 6. Infanterie-Kompanie | |||
- 7. Infanterie-Kompanie | |||
- 8. Infanterie-Kompanie | |||
III. Infanterie-Batalion | |||
- 9. Infanterie-Kompanie | |||
- 10. Infanterie-Kompanie | |||
- 11. Infanterie-Kompanie | |||
- 12. Infanterie-Kompanie | |||
73. Waffen-Grenadier-Regiment der SS | |||
I. Infanterie-Batalion | |||
II. Infanterie-Batalion | |||
III. Infanterie-Batalion | |||
Gemischte-Kompanie | |||
I. Lechte-Batterie | |||
II. Lechte-Batterie | |||
1244. Grenadier-Regiment | |||
I. Infanterie-Batalion | |||
- 1. Infanterie-Kompanie | |||
- 2. Infanterie-Kompanie | |||
- 3. Infanterie-Kompanie | |||
- 4. Infanterie-Kompanie | |||
II. Infanterie-Batalion | |||
- 5. Infanterie-Kompanie | |||
- 6. Infanterie-Kompanie | |||
- 7. Infanterie-Kompanie | |||
- 8. Infanterie-Kompanie | |||
- 13. Infanterie-Kompanie | |||
- 14. Infanterie-Kompanie | |||
687. Heeres-Pionier-Brigade | |||
681. Schwere Heeres-Panzerjäger-Abteilung (88 mm) | |||
- 1. Kompanie 80 mm | |||
- 2. Kompanie 88 mm |
Opération | Type | Date de début | Date de fin | Régions, Ville | Drp. | Bilan des victimes | Morts en opération | Prisoniers |
---|---|---|---|---|---|---|---|---|
Opération Bamberg | anti-partisans | 26/03/1942 | 06/04/1942 | Babrouïsk | 4 396 | 2 | ||
Opération Maikäfer | anti-partisans | 30/06/1942 | 15/07/1942 | Moguilev | ||||
Opération Adler | anti-partisans | 20/07/1942 | 07/08/1942 | Tschetchewitsch | 1 381 | 27 | ||
Opération Grief | anti-partisans | 14/08/1942 | 20/08/1942 | 796 | 26 | |||
Opération Regatta[31] | anti-partisans | 03/10/1942 | 08/10/1942 | Gorky | ||||
Opération Karlsbad | anti-partisans | 08/10/1942 | 23/10/1942 | Orsha | 1 051 | 24 | ||
Opération Franz | anti-partisans | 12/11/1942 | Tcherwen | 176 | 3 | |||
Opération Erntefest 1 | anti-partisans | 18/01/1943 | 28/01/1943 | Tcherwen | 1 228 | 7 | ||
Opération Erntefest 2 | anti-partisans | 18/01/1943 | 09/02/1943 | Sloutsk | 2 325 | 37 | ||
Opération Hornung | anti-partisans | |||||||
Opération Zauberflöte | anti-partisans | |||||||
Opération Lenz Süd | anti-partisans | 30/03/1943 | 07/04/1943 | Borrisov | ||||
Opération Draufgänger 1 | anti-partisans | |||||||
Opération Draufgänger 2 | anti-partisans | 01/05/1943 | 09/05/1943 | Rudjna | 680 | - | ||
Opération Cottbus | anti-partisans | 20/05/1943 | 23/06/1943 | Lepel | 11 796 | 128 | ||
Opération Günter | anti-partisans | 25/06/1943 | 14/07/1943 | Woloszyn | 3 993 | - | ||
Opération Frühlingfest | anti-partisans | |||||||
Opération Hermann | anti-partisans |
L'unité a formellement été identifiée dans les opérations ci-dessus; cependant, même si aucune source ne l'indique, elle aurait pu avoir participé à d'autres exactions, comme l'opération Fièvre des marais, la liquidation du ghetto de Sloutsk et du ghetto de Lida.
Après la guerre, peu de membres de l'unité sont inquiétés par les procès de dénazification. D'une part leurs crimes sont moins connus que ceux de la solution finale, d'autre part ils parviennent à nier les faits ou feindre de ne pas s'en souvenir[32].
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