Ce roman est le troisième volet du quatuor algérien, après L'Amour, la fantasia et Ombre sultane, et avant Les larmes d’Augustin, un texte inédit finalement publié dans Assia Djebar: Le manuscrit inachevé en 2021[2].
Fattah Adrar, «Vaste est la prison d’Assia Djebar: du genre biologique au genre littéraire», Algérie Synergies, no5, , p.209-215 (lire en ligne, consulté le ).
Anta Diouf Keïta, «Vaste est la prison: l'histoire au cœur du roman», dans Najib Redouane et Yvette Bénayoun-Szmidt, Assia Djebar, L'Harmattan, .
Hélène Barthelmebs, «La voie littéraire et cinématographique chez Assia Djebar», Revue critique de fixxion française contemporaines, no7, (lire en ligne, consulté le ).
Suzanne Crosta, «Ethique, ethnicite et esthetique dans Vaste est la prison d'Assia Djebar», Resources for Feminist Research, (lire en ligne, consulté le ).
(en) Rita A. Faulkner, «Vaste est la prison: Assia Djebar tracing a new path – writing the Algerian woman out of her confinement», The Journal of North African Studies, vol.13, no1, , p.75-89 (lire en ligne, consulté le ).
Michèle E. Vialet, «“La nuit de la langue perdue”: Défaite et legs de la mère dans Vaste est la prison d’Assia Djebar», Canadian Review of Comparative Literature / Revue Canadienne de Littérature Comparée, , p.245-265.
Souad Yacoub Khlif, «Histoire de la langue berbère dans Vaste est la prison d’Assia Djebar», dans Anne Tomiche, Le Comparatisme comme approche critique Comparative Literature as a Critical Approach. Tome 3. Objets, méthodes et pratiques comparatistes / Objects, Methods, Practices, Classiques Garnier, .