Sa rencontre avec Pierre-Yves Soucy, fondateur de La Lettre volée, à Bruxelles, lui permet de publier ses premiers recueils de poésies chez lui: Brûler le père quand l’enfant dort, et Encres. Suivront, chez L’Ambedui et chez Le Cormier, toujours avec Pierre-Yves Soucy, d’autres écrits.
Depuis 2015, Véronique Bergen collabore régulièrement à La Nouvelle Quinzaine, qui poursuit La Quinzaine littéraire, créée par François Erval et Maurice Nadeau en 1966. Elle y signe des articles de critique littéraire et des portraits d'intellectuels ainsi que des entretiens[2].
Elle collabore à diverses revues, Art press, L'Art même, Flux News, Le Carnet et les Instants, Septentrion, Lignes, Diacritik et Edwarda.
Requiem pour le roi: Mémoires de Louis II de Bavière, Bruxelles, Belgique / Lormont, France, Éditions la Muette / Le Bord de l'eau, , 235p. (ISBN978-2-35687-110-7)
Palimpsestes, Amay, Belgique, Les éditions l’Arbre à Paroles, coll.«Poésie Ouverte sur le Monde», , 90p. (ISBN978-2-87406-471-5)
Parole magmatiche/Paroles magmatiques, édition bilingue, français/italien, traduction par et préface de Giuliano Ladolfi, Borgomanero, Giuliano Ladolfi Editore, 2012.
Griffures, suivi de La Nuit Obstinée, Maelström, 88 p., 2013.
Tomber vers le haut, avec des peintures d'Helena Belzer, Éd. La Lettre volée, 2016.
Gang blues ecchymoses, avec les photographies de Sadie von Paris, Éd. Al Dante, 2017.
Variations sur l'animal central, avec Aurélien Barrau et Mathieu Brosseau, La Lettre volée, 2018.
Ludisme précédé de Gainsbourg et Bambou, Le Cormier, 2021.
Avant, pendant et après, avec les peintures d'Helena Belzer, La Lettre volée, 2023.
Littérature Jeunesse
Gundi Falkensteiner (ill.), Un abécédaire spectaculaire, Poulailler Production, , 58p.
Préfaces
Deux préfaces à Une Chambre en ville, photos de Sam Guelimi, Éd. Edwarda, 2011.
Avant-propos à La Malmorte: pièce en un acte et sept tableaux de Michèle Goslar; frontispice de Guy-Rémy Vandenbulcke, Bruxelles, Éditions de l'Ambedui, 2001
Texte théâtral
Descends en moi, Créon, mise en scène d’un texte théâtral autour d’Antigone, 2012, Théâtre de Mons.
Ce qu'on ne peut barrir, il faut le taire, Les Intrépides, 2019.