Véhicule automatique léger
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Le véhicule automatique léger (VAL) – anciennement acronyme du projet Villeneuve-d’Ascq - Lille[1],[2],[3] – est une technologie de métro roulant sur pneumatiques et totalement automatique.
Issu de recherches dans les laboratoires de l'Université Lille-I et de l'Institut industriel du Nord[4] ainsi que d'un brevet portant sur les automatismes d’un système de transport sans conducteur déposé le 31 juillet 1971 par le professeur Robert Gabillard de l'Université Lille-I[5], il est à l'origine construit par Matra (aujourd'hui Siemens Mobility France) pour équiper le métro de Lille. Son ouverture en 1983 en fait le premier métro urbain intégralement automatique au monde.
Le VAL s'est également exporté dans plusieurs villes telles que Toulouse, Rennes, Turin, Uijeongbu, Taipei ou encore dans les aéroports de Paris ou Chicago.
Contrairement au système d'automatisation de l'exploitation des trains (SAET) (utilisé actuellement sur la ligne 14 du métro de Paris) qui a vu cohabiter des rames non automatiques MP 89 CC et des rames automatiques MP 05 pendant l'automatisation de la ligne 1 du métro de Paris, le système VAL nécessite une exploitation intégrale en rames automatiques.