"sur le sceau du vicomte Aymeric VII (alias IX), amiral de France, en 1370;. - sur le sceau du vicomte Guillaume II en 1422. Un écu* semblablement monochrome est représenté sur le sceau d'Amaury de ..."
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ABBÉ, Jean-Loup. À la conquête des étangs: L’aménagement de l’espace en Languedoc méditerranéen (xiie - xve siècle)
Poey d'Avant II, p. 259 et suiv., nombreuses gravures de monnaie
compléter par [l'intro] de Georges Depeyrot à sa réédition de Poey d'Avant, p. 141
David Abulafia, « Narbonne, the lands of the Crown of Aragon, and the Levant trade », dans Montpellier, la Couronne d'Aragon et les Pays de Langue d'Oc (1204-1349) (Actes du XIIe Congrès d'Histoire Couronne d'Aragon, Montpellier, 1987), volume 1, 1988, p. 189-207`repris dans David Abulafia, Commerce and Conquest in the Mediterranean, 1100–1500, 2009.
Narbonne mentionnée dans une chanson de Guillaume de Poitiers, ce qui a conduit certains à y voir un indice de l'intérêt précoce de la cour narbonnaise pour la lyrique des troubadours
Odon de Narbonne (d · h · j · ↵)
ép. Richilde de Barcelone
Richilde de Barcelone
Sur Richilde de Barcelone et sa parenté
Martin Aurell, «Jalons pour une enquête sur les stratégies matrimoniales des comtes catalans (IXe-XIe s.)», Symposium internacional sobre els origens de Catalunya (Segles VIII-XI), vol.1, , p.316 (lire en ligne), en particulier p. 290-292; tableau II (pdf p. 21); .
Martin Aurell, Les Noces du comte: Mariage et pouvoir en Catalogne (785-1213). Paris, Publications de la Sorbonne, 1995.
Matfred, mort après août 966, vicomte de Narbonne dans le troisième quart du IXe siècle, attesté entre 952 et 966
premier vicomte de Narbonne à frapper monnaie à son nom
contrôle de l'archevêché
Amado, pouvoir étendu en Biterrois
branches cadettes et influence en Biterrois (Amado)
ép. Adélaïde (vicomtesse de Narbonne) (soit une fille des comtes de Rouergue et Toulouse, soit fille du vicomte Eudes et de Richilde; Stasser en fait une fille du comte Arnaud Ier de Carcassonne et de son épouse Arsinde, donc une soeur du comte Roger[1])
Raymond Ier de Narbonne, vicomte attesté d'avant 977 jusque entre 1017/9 et 1023
Bérenger de Narbonne (vicomte) (d · h · j · ↵)
épouse Garsinde de Besalú, fille de Bernard 1er, Besalú
Se fait prêter serment vers 1020 pour Fenouillet / Peyrepertuse
En 1050, Raymond Bérenger Ier, comte de Barcelone, lui fait don de Tortosa.
Ermessende de Carcassonne, morte en 1058, la vieille comtesse douairière de Barcelone, lègue par testament de l'argent au vicomte de Narbonne et sa femme[2].
Martin Aurell, «Jalons pour une enquête sur les stratégies matrimoniales des comtes catalans (IXe-XIe s.)», Symposium internacional sobre els origens de Catalunya (Segles VIII-XI), vol.1, , p.316 (lire en ligne).
Martin Aurell, Les Noces du comte: Mariage et pouvoir en Catalogne (785-1213). Paris, Publications de la Sorbonne, 1995.
plainte contre Guifred
Gramain Monique. Castrum, structures féodales et peuplement en Biterrois au XIe siècle. In: Structures féodales et féodalisme dans l'Occident méditerranéen (Xe-XIIIe siècles). Bilan et perspectives de recherches. Actes du Colloque de Rome (10-13 octobre 1978). Rome: École Française de Rome, 1980. pp. 119-134. (Publications de l'École française de Rome, 44)
Ludwig Vones, ««Sede vacante»? Spoliation des églises et expulsion de l’archevêque à Narbonne au XIe siècle», Revue belge de Philologie et d'Histoire, vol.97, no2, , p.325–337 (DOI10.3406/rbph.2019.9274, lire en ligne)
Jacques Bousquet, « La fondation de Villeneuve d'Aveyron (1053) et l'expansion de l'abbaye de Moissac en Rouergue », dans Moissac et l'Occident au XIe siècle, Actes du colloque international de Moissac, 3-5 mai 1963 (Pour un IXe centenaire), Toulouse 1964, Annales du Midi, vol. 75, no 2, 1963, p. 195-220. (UL: DC 607.1 A613 75 61-65 1963) (évêque Pierre: p. 198-199, 208-212; vicomtesse Foy, p. 217-218)
Gauthier Langlois, «Nouvelles perspectives sur les relations entre Barcelone et Carcassonne à la fin du XIe siècle d’après un compte catalan», Annales du Midi, vol.130, no304, , p.519–533 (lire en ligne, consulté le ). (hypothèse d'une intervention armée de Mahaut à Carcassonne après 1082 pour défendre l'héritage de son fils; précisions politiques Mahaut et son fils pour les années 1082-1087
Martin Aurell, «Jalons pour une enquête sur les stratégies matrimoniales des comtes catalans (IXe-XIe s.)», Symposium internacional sobre els origens de Catalunya (Segles VIII-XI), vol.1, , p.281-364 (lire en ligne)
Martin Aurell, Les Noces du comte: Mariage et pouvoir en Catalogne (785-1213). Paris, Publications de la Sorbonne, 1995.
{{article | prénom=Martin |nom=Aurell | lien auteur = Martin Aurell |titre=Du nouveau sur les comtesses catalanes (IXe-XIIe siècles) |revue=Annales du Midi |année=1997 |volume=109 |numéro= 219-220 | pages=357-380 }
Szabolcs de Vajay, «Mahaut de Pouille, comtesse de Barcelone et vicomtesse de Narbonne dans le contexte social de son temps», Béziers et le Bitterois: Fédération historique du Languedoc méditerranéen et du Roussilon, XLIII Congrès (Montpellier, 1971), 129-147.
29 juin 1176/7: mise en gage par Aimeri de Narbonne du guidage du chemin de Salses (HGL, VIII, 318-319; mention: HGL, VII, no 6, col. 15)
en janvier 1177, à Tarascon, « Aimerrigus Narbone » est témoin du traité conclu entre Pise et Alphonse II d'Aragon[3].
25 janvier 1177/1176: Aymeri de Narbonne se donne à l'abbaye de Fontfroide, en présence d'Alphonse d'Aragon. Charte confirmée dans une vigne, près de Perpignan. christiana, t. VI, instruments, no LII, c. 45-46
Le Petit Thalamus de Montpellier mentionne peut-être sa mort en mai 1177: "En l’an de M et C LXXVII mes hom mort N’Aimeric el borc de Narbona e mai". source
Les Épîtres de Guiraut Riquier, troubadour du XIIIe siècle", ed. and trans. by Joseph Linskill (1985 - dispo UL)
"Four are addressed to the Vicomte de Narbonne or his son"
une adressée vers 1265 à Aymeri, fils d'Amalric, séjournant alors à la cour de Castille
mariage et descendance
épouse (avant 1254) Philippa d'Anduze, fille de Pierre Bermond, seigneur d'Anduze, de Sauve, de Saint-Bonnet etc. et de Gaucerande de Poitiers; petite-nièce de Raimond VII de Toulouse; en mars 1259, Philippa et son frère Guillaume d'Anduze transfèrent leurs droits sur Tripoli à Aymeri, fils de la première[6].
Aymeri IV (mort en octobre 1298), vicomte de Narbonne
Amalric, écarté du pouvoir en 1271 qu'il exerçait conjointement avec son frère aîné, Aymeri IV; fondateur de la branche cadette de Talairan
Amalric et Algayette eurent trois enfants, dont l'aîné, Aymeri, fonda la branche des seigneurs de Talairan. Algayette mourut en mars 1274 (testament du 8 mars 1274 a été publié par Dom Martène[8] et fut inhumée dans l'église du convent des Frères Prêcheurs de Narbonne. En 1933, son gisant fut retrouvé lors de travaux exécutés à Narbonne dans la rue Lazare-Carnot, ancien emplacement du couvent. Il est conservé au dépôt lapidaire de Narbonne[9],[10].
Guillaume, clerc (att. 1270), Jeanne de Toulouse lui lègue Cavaillon par son testament de 1270[5]
Gaucerande, Jeanne de Toulouse lui lègue son château de l'Isle, dans le Venaissin, par son testament de 1270[5]
Marguerite, Jeanne de Toulouse lui lègue les châteaux de Bonils et Cabrières par son testament de 1270[5]
en mars 1259, sa mère Philippa et son oncle Guillaume d'Anduze, frère de celle-ci, transfèrent à Aymeri les droits qu'ils estiment détenir sur Tripoli en Syrie au titre de la succession du comte de Toulouse[11].
Rapport au roi touchant les intrigues du vicomte de Narbonne et ses relations avec le roi de Castille (30 avril 1282), dans D. Vaissete, Histoire générale de Languedoc, édit. Privat, X, 180-184 et notes p. 409-424. https://www.persee.fr/doc/shf_0000-0000_1903_num_3_1_940_t1_0180_0000_6
Kinkade, Richard, & John E. Keller, "An Orphaned Miniature of Cantiga 235 from the Florentine Codex". Cantigueiros. Bulletin of the Cantigueiros de Santa María 10 (Spring 1998 [1999]) 27-50.
"En este mismo contexto, la miniatura 34 del códice florentino de las Cantigas de Santa María, recientemente identi- ficada por Kinkade y Keller como representación gráfica de la Cantiga 235, proporciona una prueba efectiva de la afirmación de Molinier de que Aimery IV y sus hermanos acompañaron al séquito de Alfonso X hasta Zaragoza: en el panel dos, en la retaguardia del séquito del rey Al- fonso al entrar en Castilla, puede verse el estandarte real de León-Casti- lla, la seña real de la barras rojas sobre amarillo de Aragón y el gallardete azul y plateado de Aimery de Narbona, entre otros.96"
Kinkade, Richard P. "ALBORES DE UNA DINASTÍA: LA VIDA Y LOS TIEMPOS DEL INFANTE MANUEL DE CASTILLA." academia.edu - Researchgate
enfants plus douteux, p.q. pas mentionné dans le testament de leur grand-mère Brunissende de Cardona:
Marguerite de Narbonne, mariée à un fils du roi de Castille (une étude concernant le complot castillan (Molinier, p. 411) en fait plutôt une soeur d'Aymeri IV????
discussion ici, 2-176 (c'est Marie d'Anduze, soeur de Philippa, qui épouse Arnaud Odon d'Armagnac, d'où Philippa, mariée au comte de Périgord, et non une Marguerite de Narbonne)
voir l'article de son fils sur WP-es pour sa régence jusqu'en 1301 - participe Au complot de Haro (qui avait promis de l'épouser) en 1288 contre le roi de Castille; voir article de son époux sur Wp-es sur sa sépulture probable à Valladolid à ses côtés
Masnata y Quesada, "La Casa real de La Cerda: La Casa Real de la Cerda: Precisiones, Rectificaciones y Ampliaciones", Estudios Genealogicos y Heraldicos. - Madrid: Asociacion Española de Estudios Genealogicos y Heraldicos, 1985. - (ISBN84-398-3591-4). - P. 169-230
«Quittance faite par Amalric, vicomte de Narbonne, à Roger, comte de Foix, de 30 000 sous melgoriens à lui dus pour la dot de Sibilie, fille dudit comte et femme d'Aymeric, son fils. 5° idus Junii 1261.»=9 juin 1261
Fils aîné d'Amalric II et de Jeanne de l'Isle-Jourdain
épouse (1) Catherine de Poitiers
épouse (2) Tiburge de Puisserguier
(1) Amalric III, vicomte (1336-1341)
(2) Aymeri VI de Narbonne, vicomte (1341-1388)
(2) Arnaud, clerc, entré chez les Augustins de Narbonne[13]
Sibilla, ép. (1353) André de Fenollet[14] (Andreu I de Fenollet) (mort en 1387), vicomte d'Illa (d'où postérité, dont Pere (VIII) de Fenollet i de Narbona[15])
promise en mariage le 2 novembre 1350 à André de Fenouillet, fils de Pierre, vicomte d'Ille et de Canet, avec 6000 livres tournois en dot; mariage réalisé à Perpignan, 10 janvier 1353[16]
Amalric III de Narbonne, mort en 1341, a été vicomte de Narbonne de 1336 jusqu'à sa mort.
Fils aîné du vicomte Aymeri V de Narbonne et de sa première épouse Catherine de Poitiers, fille d'Aymar IV de Poitiers, comte de Valentinois et de Diois et de sa seconde épouse Marguerite de Genève
Amalric est destiné, en vertu du principe de primogéniture masculine, à succéder à son père à la tête de la vicomté de Narbonne. En préparation de cette succession, le vicomte Aymeri lui en fait donation entre vifs le 7 avril 1334[17].
autre version: 1er mariage (25 juin 1336) à Briande (morte avant 1340), fille d'Uc Artaud et d'Alix de Châteauneuf de l'Albenc[21] (???)
épouse (2) (avant 1339) Marie de Canet[22], fille de Raymond de Canet et de Marie de Narbonne (de la branche cadette des Taleyran) (remariée à Ramon Folc VII, vicomte de Cardona??, ou d'abord marié à Cardona avant d'épouser Narbonne)
joua un rôle important à la cour de Majorque, à l’instar du vicomte Amalric III de Narbonne auquel le roi [de Majorque] conféra une rente viagère de 500 livres de Barcelone, le 28 janvier 1339
peut-être le vicomte à qui Galceranda de Narbonne vend la vicomté de Castelnou, avant de la revendre au roi de Majorque? (ou son prédécesseur)
Aymeri VI de Narbonne (d · h · j · ↵)
Fils d'Aymeri V et de Tiburge de Puisserguier, succède à son demi-frère Amalric III sous la tutelle de sa mère. Amiral de France de 1369 à 1373. Inhumé à Fontfroide[23].
fait prisonnier à Beyrouth alors qu'il tente un coup de main sur la ville; racheté par les Narbonnais de Chypre (Claverie)
tenter d'arranger le mariage de l'héritière d'Arborée (nièce de sa femme) avec le fils de Louis d'Anjou
épouses et enfants
ép. (1) Béatrice de Sully, fille de Jean II († 1343), sire de Sully et de son épouse (fiancé, juin 1320; mariage vers 1334) Marguerite († 1362) (fille de Louis Ier de Bourbon, remariée (1346) à Hutin de Vermeille); petite-fille de Henri de Sully († 1336), grand bouteille de France (1317) sous Philippe V, gouverneur de Navarre (1331-1336)[24] pour les souverains Jeanne et Philippe
ép. (3) (avril 1364[25]) Béatrice d'Arborée (morte en 1377), fille de Mariano IV, juge d'Arborée (en) et de son épouse (1336) Timbora de Roccabertì; inhumée à La Grasse[26]
ép. (4) (ap. mai 1383) Guillema de Villademany (teste le 6 octobre 1399), fille unique de Bernat de Vilademany et de Blanca de Vallgornera; veuve de Pere III Galceran de Pinos († ap. 4 avril et av. 18 mai 1383), seigneur de Bagà qu'elle avait épousé en 1362; par son testament, elle demande à être inhumée dans l’église Saint-Jean de Jérusalem de Barcelone (sans postérité)
Aymeri, mort avant 1397 et inhumé à Fontfroide[23]
Arnaud, mort avant 1397 et inhumé dans l'église Saint-Paul à Puisserguier; en 1397, Guillaume Ier ordonne que son corps soit transféré à La Grasse[26]
Éléonore, morte avant 1397 et inhumée dans l'église Saint-Paul à Puisserguier; en 1397, Guillaume Ier ordonne que son corps soit transféré à La Grasse[26]
Béatrix, morte avant 1397 et inhumée dans l'église Saint-Paul à Puisserguier; en 1397, Guillaume Ier ordonne que son corps soit transféré à La Grasse[26]
mention d’Anthoni dez Viver ou Anthony Viver, Aimery VI, vicomte de Narbonne, négociateur envoyé par Aimery VI, vicomte de Narbonne pour négocier la rançon du vicomte d’Illa, beau-frère du vicomte (p. 264, 297-298)
vicomte de Narbonne, fait prisonnier en 1366 dans une razzia (?) (p. 320)
520. fol. 95. 24 janvier 1398. Hommage et dénombrement de Guillaume, vicomte de Narbonne.
.../... pour le château et baronnie de Puisserguier, la haute, moyenne et basse justice, la grange de Lodozan et la grange de Mayran, plus des terres nobles, vignes, rentes en nature, le four banal de Puisserguier, droits d'usage et lauzimes. Plus des usages à Saint Chinian (Sancto Aniano) au diocèse de S. Pons, autres usages à Cébazan. Plus la haute, moyenne et basse justice de Cruzy, albergues et usages audit lieu, plus divers biens tenus de lui par Léger (Legerius) de Villespassans.
Pierre Courroux, «Enguerrand de Monstrelet et les assassinats de Louis d'Orléans et Jean sans Peur», Medium Aevum, Vol. LXXXIV, N°1, 2015, p. 89-108 https://www.academia.edu/15072873/
Dalmau de Rocabertí i Ferrandis d'Híxar, vicomte de Rocaberti ((Dalmau VIII), mort en 1454: « He spent his life in legal struggles for the Viscountcy of Narbona (French: Narbonne) and for some lordships in Sardinia to which he believed he was entitled as the heir of his relative Viscount Guillem II de Narbona (who died in 1424), but a court sentence of 1447 was favourable to his rivals, the Sardinian Counts d'Arduisio. »
analyse Planchenault René. La «Chronique de la Pucelle». In: Bibliothèque de l'école des chartes. 1932, tome 93. pp. 55-104, ici p. 59: participation du vicomte aux combats de Tuisy et de La Guerche, en Nivernais (chap 9 de la Chronique de la Pucelle
"Obligation consentie par Guillaume de Tinières, seigneur de Val et de Mardogne, à son fils émancipé [Pierre-] Guillaume, vicomte de Narbonne et seigneur d'Apchon, pour 12000 écus, provenant de la dot de sa femme, mère du second, Guérine de Beaufort [-Canillac], de la succession du vicomte de Narbonne et d'hypothèques prises sur la seigneurie de Val promise à son fils par son propre contrat de mariage. - 1 pièce parchemin. - 1444 (nouveau style): l'acte d'émancipation à la suite est de 1429." (Epaves du chartrier d'Apchon et de papiers familiaux de la région de Pleaux: parchemins isolés)
Amardel, Gabriel., Le monnayage des archevêques de Narbonne, In: Bulletin de la Commission Archéologique de Narbonne vol. 14 (1916/18) p. 242-267
Bisson, Thomas Noël, Confirmatio Monete à Narbonne au XIIIe siècle (S.421-425) [In:] Bisson, Thomas Noël: Medieval France and her Pyrenean neighbors, London [u.a.]: Hambledon Press (1989)
Berthomieu, Maurice, « Le palais vicomtal de Narbonne », Bulletin de la Commission Archéologique de Narbonne, 1974, vol. 36, p. 89-97.
Thomas N. Bisson (1957). « Coinages and Royal Monetary Policy in Languedoc during the Reign of Saint Louis ». Speculum, 32, pp 443-469, repris dans Medieval France and Her Pyrenean Neighbours, 1989 (en ligne)
Peyrepertuse. Forteresse royale, dans Archéologie du Midi médiéval, supplément n°3, 2000. (vicomtes de Narbonne, suzerain de Peyrepertuse depuis Bérenger Ier...)
Deswarte, Thomas. "Rome Et La Spécificité Catalane. La Papauté Et Ses Relations Avec La Catalogne Et Narbonne (850-1030)." Revue Historique 294, no. 1 (595) (1995): 3-43. http://www.jstor.org/stable/40955894.
Abulafia, Narbonne, the lands of the Crown of Aragon and the Levant trade 1187-1400
Genealogie medievali di Sardegna cur. Lindsay Leonard Brook - Francesco Cesare Casula - Anna Maria Oliva - Romeo Pavoni - Marco Tangheroni - María Mercedes Costa, Cagliari-Sassari, 2D Editrice mediterranea 1984, passages concernant la famille vicomtale de Narbonne
extraits en ligne: "Pubblicazioni della Deputazione di Storia Patria per la Sardegna"
Tavola XXXVII Narbona Giudici di Arborea, p. 431-439 (Allegato 93963): ici (téléchargé sur Google Drive)
Tavola XXXVIII Tinière, p. 440-443 (Allegato 93968): ici
Apud Valium, 24 novembre 1309. Procès-verbal notarié dressé par Hugues de Croset, notaire royal, de l'émancipation et de la donation de la vicomte de Narbonne, faites par Amauri, vicomte de Narbonne, en faveur de son fils Aimeri, damoiseau, en présence de Jean Audoard, juge d'Uzès, et de la viguerie de Bagnols, qui a enregistré lesdites émancipations et donation à la requête du vicomte. Copié et collationné par Doat, d'après un acte des Archives de Narbonne, le 17 octobre 1668. Fac-similé du seing du notaire. Mention J. Régné, Amaury II vicomte de Narbonne, p.278-279 (avec un lapsus (Bauneclar pour Bagnols).
Thierry Stasser, « Autour de Roger le Vieux: les alliances matrimoniales des comtes de Carcassonne », Annales du Midi, t. 108, no 214, avril-juin 1996, p. 175-180.
Martin Aurell, «Jalons pour une enquête sur les stratégies matrimoniales des comtes catalans (IXe-XIe s.)», Symposium internacional sobre els origens de Catalunya (Segles VIII-XI), vol.1, , p.318 (lire en ligne).
Jean Richard, «Les Saint-Gilles et le comté de Tripoli», dans Islam et chrétiens du Midi (XIIe-XIVe siècles), Cahiers de Fanjeaux, no 18, Toulouse, Privat, 1983, p. 65-75, ici p. 71.
Michèle Pradalier-Schlumberger, Toulouse et le Languedoc: la sculpture gothique, XIIIe-XIVe siècles, Toulouse, Presses universitaires Le Mirail, 1998, p. 117-120 et 127 (notes) lire en ligne
Robert Favreau, Jean Michaud et Bernadette Mora, Aude, Hérault, Paris, CNRS Éditions, coll.«Corpus des inscriptions de la France médiévale» (no12), (lire en ligne), p.85-86
Jean Richard, «Les Saint-Gilles et le comté de Tripoli», dans Islam et chrétiens du Midi (XIIe-XIVe siècles), Cahiers de Fanjeaux, no 18, Toulouse, Privat, 1983, p. 65-75, ici p. 71.
Résumé d'un acte recopié dans la collection Doat (BnF, Fonds Doat, Vol. 171, N° 45, f° 161;): «Acte par lequel Roger, comte de Foix, reconnaît devoir à Amalri, vicomte de Narbonne, 20 000 sous melgoriens qui lui étaient dus de 30 000 que ledit Roger avait constitué en dot à Sibilie, sa fille, qui était mariée à Aymeric, fils dudit Amalri. 2° kalendas Maii 1256.» [=30 mai 1256] Claude-Henri Piraud, «Inventaire détaillé de la Collection Doat», sur Guyenne.fr, (consulté le ). Datation moderne d'après F. Biret, «Inventaire chronologique des chartes, actes, documents, références cités sur le site de guyenne.fr [2e partie - 1250 à 1299]», sur Guyenne.fr (consulté le ).
Yves Dossat, Anne-Marie Lemasson et Philippe Wolff, Le Languedoc et le Rouergue dans le Trésor des chartes, 1983, p. 121, no 1025:(Hesdin, juillet 1347) "Rémission en faveur d'Aimeri, vicomte de Narbonne, pour violences et excès commis contre les Augustins de Narbonne, à la suite de l'entrée dans l'Ordre d'Arnaud, frère d'Aimeri (68, nO 297, fol. 447 vo; Inventaire, III, 1, no 2558"
Le 16 août 1397, Guillaume Ier fonde dans l'église abbatiale de Fontfroide 2 messes par semaine pour les âmes de son aïeul, d'Aimeri son père et d'Aimeri son frère qui y étaient enterrés.Claude Devic et Joseph Vaissète (et Ernest Roschach), Histoire générale de Languedoc, vol. 9: 1271-1443, 3e édition, Toulouse, Privat, 1885, p. 1007. [lire en ligne]
Luciano Gallinari, « Preliminary research on the Intervention of France in the War between the Kingdom of Arborea and the Crown of Aragon around 1400 », Nottingham Medieval Studies, vol. 43, 1999, p. 157.