Utilisateur:Elitre (WMF)/Brouillon
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Hinako Note (ひなこのーと, Hinako Nōto?) est une série de mangas par Mitsuki. Elle est prépubliée depuis avril 2014 dans le magazine seinen de Kadokawa Comic Cune, qui était à la base un supplément au magazine seinen Monthly Comic Alive avant avril 2015. Les volumes tankōbon du manga ont été publiés en anglais entre le et le . La série est également disponible sur le site Internet ComicWalker. Une série animée a été annoncée par Passione qui a débutée sa diffusion en avril 2017.
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Type | Incendie |
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Date | nuit du 14 au 15 avril 2015 |
Bilan | |
Blessés | 56 |
Morts | 24 |
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L'incendie de l'hôtel Paris-Opéra a eu lieu dans la nuit du 14 au au 76 rue de Provence à Paris et a fait vingt-quatre morts dont onze enfants. Il s'agit du pire incendie dans Paris depuis la Libération.
Au moment des faits, l'hôtel Paris-Opéra est un établissement qui héberge principalement des personnes en situation précaire placées là par les services sociaux. Bien qu'il soit en suroccupation et ne possède pas d'issue de secours, une inspection de sécurité avait conclu le mois précédent qu'il n'y avait pas d'obstacle à la poursuite de son activité.
L'incendie est déclenché accidentellement vers 2 h 10 par petite amie du veilleur de nuit, dans un accès de colère. Le veilleur de nuit, sous l'emprise de l'alcool et de la drogue, et n'ayant pas eu de formation à la sécurité, tarde à prévenir les secours, essayant d'abord de lutter contre le feu avec des extincteurs alors qu'une intervention rapide des secours aurait été indispensable. Environ 300 pompiers et secouristes, dans le cadre du plan rouge, se rendent sur les lieux pour lutter contre cet incendie très violent qui n'est maîtrisé qu'à 3 h 50.
Au lendemain de l'incendie, l'émotion est forte et une polémique se crée sur les conditions dans lesquelles sont hébergées les personnes en situation précaire, les demandeurs d'asile en attente d'une décision et les déboutés du droit d'asile. Il est mis en évidence que devant l'insuffisance de logements pérennes pour ces personnes, le recours à l'hôtellerie bon marché est devenu systématique, l'État dépensant de fortes sommes pour des logements souvent mal entretenus, voire vétustes. Deux nouveaux incendie au mois d'août, boulevard Vincent-Auriol et rue du Roi-Doré, qui touchent aussi des immigrés aux revenus modestes, relancent la polémique.
Au terme d'une instruction jugée très longue par les familles des victimes, un procès s'ouvre en . Il aboutit à la condamnation de la jeune femme responsable du départ du feu, du veilleur de nuit de l'hôtel et de l'un des gérants, sans que les pouvoirs publics soient mis en cause.[3][4]