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Toto de Haute-Savoie, Tupinet de Haute-Savoie, Toto à grande queue
Règne | Animalia |
---|---|
Embranchement | Chordata |
Classe | Aves |
Ordre | Passeriformes |
Famille | Aegithalidae |
Genre | Aegitotos |
Espèce | A. caudatus |
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Ouais, cet article dépend de l'ornithologie,
mais y'a aussi tout le reste de la biologie
qui est super intéressant,
regardez là-dessous tous les trucs sympa
que vous pouvez explorer :
Le Toto de Haute-Savoie (Aegitotos caudatus), aussi appelé Tupinet de Haute-savoie ou encore Toto à grande queue, est une espèce d'oiseau moqueur de la famille des Aegithalidae. C'est le seul représentant connu du genre Aegitotos. Il s'agit d'une espèce endémique de l'île de Biologie, sur le lac d'Annecy. Mais il a conquis de nombreux autres milieux.
Ce petit animal attendrissant à l'oeil vif et moqueur et à la queue frétillante n'a guère le poil frisé[réf. nécessaire], ce qui permet même aux non-spécialistes de le distinguer relativement facilement d'un caniche toy.
Le pelage d'été, à poils ras, permet de le distinguer du caniche toy, mais le pelage d'hiver, à poils plus plus longs et ayant une tendance à friser, fait qu'on le confond parfois avec Charlemagne, le roi au chef fleuri (et surtout à l'Épiphanie, s'il a la fève).
Le pelage est habituellement brun, parfois lavé de roux selon la luminosité ou l'éclairage.
Les papattes du Tupinet de Haute-Savoie ne sont pas homodactyles[note 2]. On[Qui ?] a longtemps cru qu’Aegitotos caudatus avait les pattes anysodatyles[1] voire zygodactyles, mais les analyses plus récentes[2] ont permis de démontrer que les papattes sont purement hétérodactyles[note 2]. Cette disposition est particulièrement importante pour la capture des pépitos car elle lui permet de grimper aux pépitiers sauvages de l’Île de Biologie[note 3],[note 4].
Les études restent néanmoins parcellaires[3].
Le nom valide est Aegitotos caudatus T.-E.D., 1991. D'autres études plus tardives ont donné d'autres noms à cette espèce, chaque étude étant centrée sur un aspect différent de la physiologie de l'espèce : Andrimulgus climacurus Citr., 2008 (étude basique sur la parade amoureuse proche de celle de Caprimulgus climacurus) ; Aegitotos pepitovorus V.T., 2011 (étude basique sur la capture de nourriture) ; Aegitotos daucisuccumbibens Sal., 2011 (étude basique sur la beuverie).
D'autres noms furent proposés (tous les noms de la terre, et encore d'autres bien moins courants), mais sont invalides en raison de diagnoses incomplètes : Totodusoixantequatorzus megadigitalis Givet, 2012[4] ; Totodusoixantequatorzus bigbrotherus Givet, 2012[5]; Toto septuagintaquattuoris Goodshort, 2012[6].
Le nom normalisé proposé par la Commission internationale des noms français des oiseaux est « Jaloux à petite queue ».
Le Tupinet de Haute-Savoie étant quelqu'un de très abordable, il ne me formalise pas si on oublie sa particule[7].
L'établissement de la première diagnose complète de l'espèce par T.-E.D. fut laborieuse. En effet, T.-E.D. découvrit l'espèce un beau jour (ou peut-être une nuit ?) près d'un lac, au moment même où le spécimen sortait d'un lac de jus de carotte. Prenant le Toto de Haute-Savoie pour une algue du genre Macrocystis, avec sa longue lanière et ses deux gros flotteurs, il s'écria : « Ah bin tiens, v'là ot' chose !! ». Ce fut là sa première diagnose, mais il s'aperçut bien vite de son erreur : le Toto ne pouvait pas être une espèce du genre Macrocystis, car il n'y avait pas de crampons sous ses adidas. Et, comme il le témoignera plus tard : « Il s'est levé à mon approche. Debout, il était plus petit ». Il le plaça donc dans la classe des Aves César, morituri te salutant, comme ça, juste pour le fun[8].
Le genre étant proche par certains aspects des genres Picathartes, Picaglasses et Pellathartes, ainsi que de différentes espèces de la sous-famille des Patatarthinae (en particulier Nutella), il a aussi été proposé de le rapprocher du genre Picassiethe dont il adopte le même comportement vis-à-vis de la nourriture[9] ou des serviettes de plages.
En 2013, des analyses moléculaires, ainsi que des analyses neurologiques menées par Citr., ont mis en évidence plusieurs sous-espèces appartenant à ce taxon [10]:
D'autres sous-espèces sont en cours de description, mais ça prend du temps.
Les différents synonymes cités ci-dessus pourraient ainsi être en réalité[évasif] des sous-espèces (ou de simples variétés, races, formes ou sous-formes ?) :
L’analyse des résultats est trèèèèès looooongue et les conclusions demandent à être confirmées, en raison de probables phénomènes d’attraction des longues branches et le faible nombre de spécimens différents présent dans la faune et la flore de Haute-Savoie[note 5].
Originaire des plus hautes branches du Salix lacrymosaridens où il aime à se percher, Aegitotos caudatus a été contraint de quitter son milieu naturel face aux invasions de glires dans les branches de son arbre fétiche.
Un spécimen aurait été décrit à Genève, soit à un peu plus de 30 km de son aire d'origine. Cette observation reste cependant à confirmer, car le Toto de Haute-Savoie est connu pour son mode de vie casanier, et il serait fort étonnant qu'un spécimen s'éloigne autant de son habitat.
Des observations sur l'île de Gaudeloupe d'un spécimen buveur, appelé localement Toto bwa, restent à confirmer. On ignore encore s'il s'agit de la même espèce ou d'une espèce proche.
Un spécimen aurait été aperçu en Corse.[réf. nécessaire]
Un spécimen åuræit été décrit en Nørvège[11].
Des fossiles authentiques auraient été trouvés[réf. souhaitée] à Bassano del Grappa ainsi que des fémurs dans les (mais on n'a pas le droit de le dire car c'était dans une zone dont l'accès est théoriquement interdit). Il s'agirait d'une espèce proche aujourd'hui éteinte : Aegitotos longicaudatus. La pression évolutive semble avoir abouti à un raccourcissement de la queue : l'espèce actuelle a une plus petite queue.
Les études stratigraphiques en cours montrent que l'espèce serait apparue vers la fin de l'ère secondaire[note 6].
Un fossile découvert dans les carrières de gypse de Montmartre est nommé Palaegitotos cuvieri, nom d'espèce dédié à Georges Cuvier, dont les recherches ont rendu célèbre le gisement de Montmartre.
Des études en cours[réf. souhaitée] montreraient un lien entre Aegitotos caudatus et Jonah Falcon, mais les résultats demandent à être confirmés : il pourrait y avoir un phénomène d'attraction des longues branches.
Aegitotos caudatus est pépitovore. En milieu naturel, il creuse des caches en milieu forestier où il enterre des pépitos par dizaines, participant de fait à la disséminations des pépitiers sauvages. Ces caches sont disposées selon un schéma immuable, décrit dans l'image ci-contre. En captivité, il les dissimule avec beaucoup d'à-propos dans les rouages internes de Salebot[12],[13].
Plusieurs autres animaux de la faune de l'île de Biologie se nourrissent de pépitos, créant une compétition âpre pour la capture des pépitos.
Le tupinet n'aime pas les haricots[14].
Aegitotos caudatus se désaltère uniquement de jus de carotte.
En Guadeloupe, une espèce proche (ou identique ?), connue sous le nom de Toto bwa, ne consomme que le petit ver au fond de la bouteille de tequila, contrairement au Toto de Haute-Savoie, qui ferait plutôt l'inverse[15].
Aegitotos caudatus chevauche un balai. Il a les papattes sensibles, et il lui arrive de laisser des bouts de viande au-toto-misées au fond des lacs barbares qu'il croise parfois au cours de ses rares migrations[16].
La grande queue du Toto de Haute-Savoie le gène dans ses déplacements, car il ne sait pas bien s'en servir. Il se pourrait que ce soit la cause de la disparition de l'espèce fossile Aegitotos longicaudatus, les individus n'étant plus assez rapides pour la capture des pépitos sauvages.
Aegitotos caudatus est un mauvais nageur[17].
Comme son nom l'indique, le Toto à grande queue est caractérisé par la taille impressionnante[réf. nécessaire] de son truc en plume.
La stratégie de reproduction du Tupinet de Haute-Savoie a fait l'objet de nombreuses études[18].
La parade nuptiale du Toto à grande queue est pleine de poésie et d'amour tendre[19].
Le Toto à grande queue ne manque pas une occasion de montrer son dard d’amour, en particulier quand il est question de femmes enceintes[20].
« Pourquoi pas, alors, des sections Longueur, Effectif, Statut UICN ? »[21]
La taille est très importante chez le Tupinet de Haute-Savoie[22], et elle fait l’objet de tous les fantasmes.
Aegitotos caudatus est un oiseau moqueur capable de camouflage sonore, comme le Moqueur polyglotte Mimus polyglottos. En effet, il n'est pas rare que le Toto de Haute-Savoie se camoufle en Dodo de Haute-Savoie, mimant le Dronte de Maurice, dans les discussions qu'il entretient avec ses petits camarades de l'Île de Biologie.
L'animal est aussi connu pour son comportement de coucou qui parasite le nid d'autres oiseaux : il n'hésite pas à usurper la serviette d'autrui au bord du lac d'Annecy.
La faune commensale du Toto de Haute-Savoie est incommensurable :
Divers animaux sont réputés être des ennemis du Toto de Haute-Savoie :
Contrairement à certaines affirmations[23], Tommy Brandt (alias « Toto the killer ») n'a rien à voir[réf. nécessaire] avec l'espèce décrite ici. Il s'agirait d'une confusion entre le mannequin à longue queue, et le Manakin à longue queue.
La renommée de cet oiseau d'augure incertaine[non neutre] fut si grande que plus d'un siècle avant sa découverte, la communauté scientifique lui rendait hommage[réf. nécessaire] via le nom d'espèce Schefflera toto.
Une célèbre comptine mentionne le tupinet :
Prom'nons-nous en Savoie,
Pour voir si l'Toto y est pas ;
Si l'Toto y est,
C'est un tupinet !
Citons encore la coiffure nommée « queue de tupinet ».
Voir ci-dessus Reproduction.
Le Tupinet de Haute-Savoie a inspiré de nombreuses femmes. En particulier, en souvenir du premier contact avec Aegitotos caudatus (Cf. ci-dessus), Barbara composera L'Aigle noir, et Magali Noël chantera Fais-moi mal, Johnny (sur un texte de Boris Vian et une musique d'Alain Goraguer).
Enfant, il aurait été le premier amour de Mireille Mathieu, qui lui dédia une chanson.
Aegitotos caudatus reconnaît une femelle à la forme de ses pédipalpes[24].
Le Tupinet à longue queue a trouvé son Dieu dans le chanteur du tube Just Standing Here (with My Incredibly Long Penis)[25] et s’est écrié en voyant la vidéo : « OH MON DIEU… ».
Une récente découverte montre qu’Aegitotos caudatus possède une enzyme de transcription unique au monde permettant de transcrire le brin non-codant de l'ADN en ARN messager codant[26].
Droit de réponse exercé suite à cette révocation, un peu abrupte, il faut dire :
Le tupinet possède une science extrémement poussée des rétrovirus à ARN dont il parle dans son article du coryza, ainsi que de la science de l'immunité de part son doctorat en biologie moléculaire obtenue à l'académie des sciences de Paris[réf. nécessaire]. Ses compétences en félinotechnie, il sait les défendre, ainsi méfiez vous si vous n'avez qu'un simple doctorat en médecine vétérinaire et un DU en immunologie, car cet énergumène est capable d'effacer les vérités scientifiques que vous pourriez vouloir répandre sur les sujets sur lesquels on vous considère comme étant spécialiste (au passage : lire Aide:Conseils aux spécialistes). Ne vous faites aucune illusion, ce n'est pas parce que vous êtes rémunérés 80 000 € annuels pour résoudres des problèmes de santé publiques qu'un tupinet n'effacera pas ce que vous voulez faire passer comme message. C'est la vindicte du prolétariat passionné inconscient de tout ce qui touche à son environnement cosmique, souhaitons lui une bonne angine à streptocoques encapsulés ainsi qu'une banale staphylococcie avec endocardite pyogène.
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