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suite de trois pièces de concert pour grand orgue De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Le Triptyque, op. 58 de Louis Vierne, est une suite de trois pièces de concert pour grand orgue.
Triptyquepour grand orgue op. 58 | |
Page de titre de l'édition originale | |
Genre | Pièces de concert pour orgue |
---|---|
Nb. de mouvements | 3 |
Musique | Louis Vierne |
Dates de composition | 1929-1931 |
Création | Sanctuaire de Sainte-Thérèse-de-l'Enfant-Jésus,Lyon France |
Interprètes | Louis Vierne (orgues) |
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Composé de 1929 à 1931 et dédié à diverses personnes dans l'entourage du compositeur, il s'agit de l'une de ses dernières partitions cataloguées, précédant la Sixième symphonie pour orgue op. 59. La dernière pièce est présentée par l'auteur le à Lyon.
La première audition intégrale, à Notre-Dame de Paris, correspond au 1 750ème et dernier concert donné par Vierne — qui meurt quelques minutes après avoir achevé l'exécution du Triptyque, le . La partition avait été publiée en 1936 par les éditions Lemoine.
Louis Vierne compose diverses pièces pour orgue seul, à partir de 1929, qu'il réunit dans son Triptyque op. 58 en 1931. Pour le musicien aveugle et sexagénaire, ces années « demeurent marquées par la maladie, le repli, la solitude[1] ». Malgré tout, « quelques satisfactions lui sont encore données par l'orgue et la musique[1] ». De fait, cette partition est contemporaine de la Sixième symphonie pour orgue op. 59, achevée en 1931, qui « clôt avec majesté » la production de Vierne dans ce domaine[2].
La dernière pièce du Triptyque est créée par son auteur le , à l'église Sainte-Thérèse-de-l'Enfant-Jésus de Lyon[3]. La seconde audition intégrale, à Notre-Dame de Paris, correspond au 1 750ème et dernier concert donné par Vierne[4] — qui s'éteint quelques minutes après avoir achevé l'exécution du Triptyque, le [5].
La partition a été publiée en 1936 par les éditions Lemoine[4].
Le Triptyque op. 58 comprend naturellement trois mouvements dédiés à différentes personnes dans l'entourage du compositeur :
Selon Bernard Gavoty, malgré l'aspect « disparate » des pièces qui le constituent, le Triptyque op. 58 « manifeste une parfaite unité d'ambiance ; une douce lumière baigne ses trois volets ; nous sommes loin ici des violences romantiques et des éclairages un peu crus de certaines pièces antérieures. Matines et Communion sont deux impressions mystiques d'une simplicité toute monacale. Mais Stèle pour un enfant défunt est d'une essence plus suggestive[6] ».
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