Loading AI tools
sonate de Domenico Scarlatti De Wikipédia, l'encyclopédie libre
La sonate K. 52 (F.10a-b/L.267) en ré mineur est une œuvre pour clavier du compositeur italien Domenico Scarlatti.
Sonate K. 52 ré mineur — , Andante moderato, 57 mes.
⋅ K.51 ← K.52 → K.53 ⋅ L.266 ← L.267 → L.268 ⋅ P.40 ← P.41 → P.42 ⋅ F.9 ← F.10a-b → F.11 —
⋅ XIV 9 ← Venise XIV 10 → XIV 11 |
La « somptueuse sonate » K. 52, en ré mineur, est notée Andante moderato[1]. C'est la première apparition d'un mouvement lent avec les sonates K. 69, 87 et 92 à l'exception de la Fugue du chat[2]. La K. 52 « rappelle tout à fait l'écriture polyphonique du Clavier bien tempéré de Jean-Sébastien Bach (prélude et fugue en si bémol mineur du livre I ou Fugue en mi majeur du livre II) »[3]. Aux mesures 48 à 52, c'est un effet quasi brahmsien qui apparaît[2].
Le manuscrit principal est le numéro 10 (auquel il faut ajouter le numéro 61, avec quelques variantes mineures) du volume XIV de Venise (1744), copié pour Maria Barbara[4].
Fichier audio | |
Domenico Scarlatti, Sonate K. 52 | |
interprétée au clavecin par Ralph Kirkpatrick (1954) | |
modifier |
La sonate K. 52 est défendue au piano, notamment par Vladimir Horowitz (1964, Sony) et Francesco Nicolosi (2007, Naxos, vol. 9) ; au clavecin par Huguette Dreyfus (1967, Valois), Gustav Leonhardt (1962, Teldec/Warner ; 1970, DHM ; 1978, Séon/Sony), Scott Ross (1985, Erato)[5], Ursula Duetschler (1988, Claves), Laura Alvini (Frame), Bob van Asperen (1991, EMI), Ottavio Dantone (1997, Stradivarius), Christophe Rousset (1997, Decca), Richard Lester (2005, Nimbus, vol. 6) et Pieter-Jan Belder (Brilliant Classics). Maria Cecilia Farina l'a enregistrée à l'orgue (Stradivarius, vol. 9).
Seamless Wikipedia browsing. On steroids.
Every time you click a link to Wikipedia, Wiktionary or Wikiquote in your browser's search results, it will show the modern Wikiwand interface.
Wikiwand extension is a five stars, simple, with minimum permission required to keep your browsing private, safe and transparent.