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La Société de transports en commun de Limoges Métropole[2] (STCL, puis STCLM à partir de 2015), abrégé en TCL[3] (à différencier du sigle des transports de Lyon) dessert la commune de Limoges et 20 communes de son agglomération.
Société de transports en commun de Limoges Métropole | |
Logo de la Société de transports en commun de Limoges Métropole | |
Création | |
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Forme juridique | Société d'économie mixte |
Slogan | « Le bus aère, rapproche, relaxe, libère » « Le trolley protège, repose »[1] |
Siège social | Limoges France |
Direction | Alain COLLET |
Actionnaires | Transdev (en) |
Activité | Transports en commun Exploitation Gestion d'infrastructure |
Produits | Trolleybus Bus Handibus Transport à la demande |
Société mère | Transdev |
Effectif | 340 employés |
Site web | stcl.fr |
Chiffre d'affaires | 22 828 700 € (31/12/2020)[2] + 3,03% |
Résultat net | -14 900 € (au 31/12/2020)[2] - 127,09% |
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Fondée en 1985 et succédant à la CTL (Compagnie des trolleybus de Limoges), la STCLM est une société d'économie mixte, chargée de gérer pour Limoges Métropole par un contrat de délégation de service public les transports urbains de l'agglomération[4].
La première entreprise de gestion des transports urbains à Limoges date de la fin du XIXe siècle. La mairie de Limoges confie le cette tâche à la nouvelle Compagnie des tramways électriques de Limoges (CTEL), qui exploite alors une ligne dont le tracé correspond à la portion centrale de l'actuelle ligne 1 de trolleybus, entre la place Carnot et l'avenue du Maréchal de Lattre de Tassigny (faubourg du Pont-Neuf à l'époque)[5].
Six ans plus tard, le réseau se compose de 6 lignes de tramway, dont la longueur totale est de 17,7 km[5]. Les véhicules, qui atteignent la vitesse maximale de 20 km/h, sont très largement adoptés par la population. Des travaux nécessaires d'agrandissement du réseau et de renouvellement des véhicules sont engagés en 1927[5].
Séduite par le fonctionnement des trolleybus à Liège, la municipalité de Léon Betoulle décide avant la Seconde Guerre mondiale d'opter pour ce nouveau moyen de transport. Un arrêté ministériel du [5] prévoit la création de 8 lignes arpentées par les trolleybus. Le fait que l'entreprise Vetra, qui détient le monopole français sur la construction des véhicules, se soit réfugiée durant l'Occupation, à Limoges, permet aux trolleybus de rapidement faire leur arrivée sur le réseau de la CTEL, le , sur une ligne correspondant grosso modo à l'actuelle ligne 2[5]. Cette innovation signe le déclin du tramway de Limoges ; le dernier d'entre eux circule le [5].
Le , la CTEL devient donc Compagnie des Trolleybus de Limoges (CTL)[5].
Dans les années 1970, le développement du réseau routier dans l'agglomération favorise l'utilisation de l'autobus.
Pour la petite histoire, l'acteur Jean Lefebvre conduira un des premiers trolleybus de Limoges, avant de devenir un personnage de cinéma et de théâtre.
La suppression progressive de la plupart des réseaux de trolleybus français dans la seconde moitié du XXe siècle (Grenoble en 1999, Marseille en 2004) contribue à la mise en lumière des trolleybus de Limoges, qui sont parfois élevés au rang de véritables images d'Epinal de la ville, au même titre que la gare des Bénédictins ou la porcelaine. A contrario, Limoges choisit de pérenniser et de moderniser son réseau de trolleybus, en rénovant tous ses véhicules sans pour autant tous les supprimer. Ainsi, ce n'est qu'en 1989 que les derniers CB60 datant de la première mise en service des trolleybus en 1943, accompagnés de VBRh de 1951, sont supprimés, totalement remplacés par les véhicules ER100[6] arborant une nouvelle ligne graphique jaune et bleue.
Le [5], à l'issue du contrat entre la ville et l'exploitant, la CTL est remplacée par une société d'économie mixte, la STCL. Durant les années 1980, la ville renouvelle entièrement son parc datant des années 1950. C'est aussi à cette époque que le réseau urbain s'étend à la banlieue, en premier lieu sur les communes de Panazol et Le Palais-sur-Vienne[7].
Depuis , la gare de Limoges-Bénédictins accueille le CIEL (Centre intermodal d'échanges de Limoges) qui s'est traduit par la construction d'un terminal routier pour les autocars des transports départementaux de la RDTHV (Haute-Vienne en car), et la réorganisation des arrêts des lignes de transports urbains de la STCL. À ce pôle de correspondance peut s'ajouter le pôle central de la place Winston Churchill, terminus de dix lignes de bus du réseau, puis en 2009 le pôle Saint-Lazare, ce dernier s'inscrivant autour du prolongement de la ligne 4 du trolleybus.
Les transports en commun de Limoges s'inscrivent dans la modernité avec l'électrification de la ligne 6, l'ouverture du site internet en 2002, l'inauguration d'un nouveau centre d'exploitation, le renouvellement du parc engagé en 2006 et la création d'une nouvelle ligne graphique réalisé pour l'ensemble de la flotte de véhicules par Laurent Gonzalez (graphiste designer à Toulouse).
En parallèle avec cette modernisation, la STCL introduit de nouveaux concepts dans le réseau pour les usagers, parmi lesquels la généralisation du système de montée par l'avant dès , puis le lancement des premiers titres de transports sans contact (cartes à puce) fin 2009.
À partir de 2009, le réseau de la STCL entame progressivement sa mutation numérique. Le , le système billettique passe à la carte à puces sans contact, alors qu'est mise en ligne la nouvelle version du site internet. L'année suivante, une trentaine d'abribus peuvent bénéficier d'un système d'affichage du délai d'attente pour le prochain véhicule. Dans le même temps, la STCL procède à l'installation d'un système d'informations dynamique embarquée pour les lignes 1, 2, 4, 5, 8 (le week-end) et 10. En 2013, le système d'information InfoBus est installé, permettant aux usagers de consulter les informations du trafic et des travaux via une application mobile.
Le renouvellement du parc des véhicules se poursuit et s'achève : le sont mis en service 6 nouveaux trolleybus Irisbus Cristalis sur la ligne 2[8]. Entre le printemps et l'été 2011, 12 nouveaux trolleybus Irisbus Cristalis ETB12 sont attribués à la ligne 5. En juin, 8 Irisbus Citelis neufs sont intégrés au réseau, et l'attribution du marché de trolleybus articulés est accordée au constructeur Suisse Hess[9], pour des véhicules circulant sur la 4 à compter du .
Le est mise en service une desserte vers le nouveau complexe commercial « Family Village » en ZI3 par la ligne 20 et prolongement de la ligne 12 d'un arrêt de Isle Beausoleil vers Isle Les Champs.
Avec l'ouverture de la voie de liaison nord, permettant un contournement routier du quartier urbain de Beaubreuil, un nouveau pôle d'échanges est construit, dans le secteur de Fougeras, mis en service en . 6 nouveaux trolleybus articulés doivent enrichir le réseau fin [10].
En , l'application MyBus permet de consulter les horaires des lignes en temps réel. Elle intègre également le service M-ticket qui permet d'acheter un ticket dématérialisé.
En , trois nouveaux trolleybus articulés Iveco Crealis IMC ont été affectés à la ligne 4[11]. Ils sont 100 % électriques et peuvent circuler en autonomie sur batteries sur une partie de la ligne.
Les chauffeurs de bus ne sont pas à l’abri de certains débordements. Débordements qui peuvent être plus ou moins violents. En effet, au cours de ces dernières années de multiples phénomènes du genre ont été recensés. Ces manifestations à but agressif et intimidant peuvent être de simple injures et insultes en tout genre ou bien encore dans certains cas plus grave des agressions physiques. Le 16 avril 2014, un chauffeur de bus se fait frapper au visage et a été transféré au CHU de Limoges[12].
En 2019, des faits relatant des agressions physiques à base de coups de pied, gifles, coups de poing, etc. ont été relevés à Limoges. Ces dérives ont encouru des journées d’arrêts pour les victimes les plus choquées et/ou traumatisées. Les chauffeurs et contrôleurs de bus désirant être reconnus comme victimes et souhaitant l’arrêt de ces gestes déplacés et inappropriés, font en sorte de stopper la circulation des bus et des trolleys sur une période plus ou moins longue en fonction des cas[13].
Afin d'améliorer le réseau, il va être restructuré autour de deux lignes de BHNS (résolution votée par le conseil communautaire de Limoges Métropole le ). Le bilan de la concertation[14] sur le projet a été publié fin 2019, actuellement les études détaillées des aménagements sont en cours. L'enquête publique prévue en 2021 précèdera les travaux qui devraient s'achever en 2023.
La première ligne (nord-sud) reliera la Zone Industrielle Nord et Beaubreuil au CHU, sur 13,5 km[14]. Elle desservira Ester, La Bastide, la gare Limoges-Bénédictins, le centre-ville et le campus Vanteaux. Aux heures de pointe la fréquence sera de 6 minutes.
La deuxième ligne (est-ouest) reliera Panazol au Val de l'Aurence, sur 8,5 km[15]. Elle desservira le parking-relais de la Route de Lyon, le Sablard, la Mairie de Limoges, le centre-ville et le campus La Borie. Aux heures de pointe la fréquence sera de 8 minutes.
Les emplacements précis des terminus des deux lignes sont actuellement à l'étude.
Les deux lignes auront une correspondance Place d'Aine.
Ce service sera disponible 7j/7 de 4h30 à 0h30. Les fréquences varieront de 9–10 minutes en journée jusqu'à 30 minutes la nuit.
Le matériel roulant choisi sera électrique[16], le trolleybus articulé Crealis IMC, déjà présent sur la ligne 4, fait partie des hypothèses. Ces véhicules vont nécessiter la création d'un second dépôt vers Beaubreuil.
Le budget de ce projet est estimé à 116 millions d'euros[17].
Autour du BHNS tout le réseau va être restructuré, notamment les lignes de trolleybus. Ce réseau va mieux hiérarchiser les différents types de lignes :
Des pôles d'échanges vont être aménagés notamment avec l'extension et création d'un nouveau terminus pour la ligne 4 au niveau du Palais des sports de Beaublanc.
Ce déploiement commence a s'étaler à partir de [19], jusqu'à l'ouverture du BHNS prévue pour 2023.
Ci-dessous, une liste non exhaustive et non officielle de projets à l'étude :
À plus long terme, Limoges Métropole s'est engagée à prendre en compte le riche héritage ferroviaire, dans ses futurs projets d'aménagement, notamment en ce qui concerne la réorganisation de son réseau de trolleybus. Certains arrêts identifiés pourraient être disposés à proximité des voies ferrées dans la perspective de l'éventuelle mise en place du réseau de tram-train limousin[20]. La valorisation et la création de haltes ferroviaires figure dans les objectifs du plan de déplacements urbains validé en 2019[21].
La population desservie par le réseau est de 212 000 habitants, répartis sur les 20 communes de la Communauté Urbaine. La STCL déplace 15 952 023 voyages par an (4 millions en 1898)[5], sur 36 lignes de semaine dont 5 lignes de trolleybus.
Les 131 véhicules ont parcouru 5 283 099 km en 2018, desservant 1200 points d'arrêt.
Les titres sont vendus sur 60 points de vente, une agence commerciale le "Point Bus" ainsi que dans les véhicules (pour les titres UNIT et JOURNEE).
Au , le réseau comptait 131 véhicules dont 31 trolleybus et 7 véhicules de transport de personnes à mobilité réduite[23].
Iveco Bus Crealis IMC 18
Limoges fait partie des rares villes de France à disposer d'un réseau de trolleybus, matériel silencieux et non polluant. Ils circulent sur 5 lignes :
Ces dernières années, de nombreuses extensions ont eu lieu sur les lignes de trolleybus du réseau de Limoges :
Début 2006, de nouveaux véhicules Irisbus Cristalis sont arrivés :
Ces véhicules circulent sur les lignes 1, 2, 5 et 6 du réseau. Ces modèles suivent actuellement une campagne de rénovation pour prolonger leur durée de vie.
Quatre trolleybus articulés Hess Swisstrolley 4 circulent sur la ligne 4 depuis le .
Trois trolleybus articulés Iveco Crealis IMC ont été affectés à la ligne 4 depuis le [24].
Créé à Limoges le , ce service est ouvert aux personnes privées de l'autonomie de déplacement (personnes en fauteuil roulant ou semi-ambulantes avec perte importante de locomotion).
Pour les clients domiciliés dans les communes de : Condat sur Vienne, Feytiat, Isle, Le Palais sur Vienne, Limoges ou Panazol, ce service est assuré par 4 minibus TCL.
Pour les clients domiciliés dans les communes de : Aureil, Boisseuil, Bonnac la Côte, Eyjeaux, Le Vigen, Peyrilhac, Rilhac Rancon, St Gence, St Just le Martel, Solignac ou Veyrac, ce service est assuré par un taxi affrété par la STCL[25].
Depuis , la STCL expérimente un dispositif destiné à développer les transports urbains dans les communes de la deuxième couronne de Limoges Métropole. Ce transport à la demande, appelé Télobus, permet de relier 9 communes au terminus d’une ligne régulière du réseau de bus ou de trolleybus, du lundi au samedi[26].
Après s'être procuré une fiche d’adhésion disponible dans les mairies des communes partenaires, et après validation, le nouvel abonné reçoit une carte personnelle comportant un code demandé à chaque réservation. Le client indique à l'opérateur Télobus la commune, l'horaire de passage proposé, ainsi que le nom de l'arrêt. La réservation est enregistrée et le passage du véhicule Télobus (type taxi) ainsi programmé. Le véhicule emmène le client jusqu'au bout de la ligne choisie, en correspondance avec une ligne régulière du réseau TCL.
Ligne | Trolleybus |
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Ces lignes circulent de 6 h 20 à 20 h 20 du lundi au samedi en offrant des fréquences de passage toutes les 8 à 10 minutes, au plus toutes les 12 minutes. | |
1 | Porte de Louyat ↔ Panazol — Route de Lyon |
2 | Pierre Curie ↔ Pôle la Bastide |
4 | Montjovis ↔ Pôle Saint-Lazare |
5 | Isle — La Cornue ↔ Jean Gagnant |
6 | Pôle La Bastide ↔ Val de l'Aurence — Maréchal Juin |
Ligne | Lignes principales |
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Ces lignes circulent de 6 h à 20 h du lundi au samedi et proposent un service attractif avec des fréquences de passage soutenues aux heures de pointe, le plus souvent toutes les 5 à 10 minutes sur les lignes 8 et 10, au plus toutes les 15 à 20 minutes sur les lignes 11 et 20, tout au long de l’année, y compris durant les périodes de vacances scolaires. | |
8 | Val de l'Aurence — Maréchal Joffre ↔️Place Winston Churchill |
10 | Z.I. Nord — Serpollet ↔ Charles Le Gendre |
11 | Couzeix — Océalim / Couzeix — La Croix d'Anglard ⥋ Limoges — Landouge / Limoges — Les Courrières |
20 | Place Winston Churchill ↔ Pôle Fougeras |
Ligne | Lignes secondaires |
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Les lignes secondaires ont pour vocation de relier les communes de l'agglomération au centre-ville de Limoges ou encore faciliter les déplacements de périphérie à périphérie. Ces lignes circulent de 6 h à 20 h du lundi au samedi avec des fréquences de passage toutes les 30 à 60 minutes | |
12 | Isle — L.Argon ↔ Condat- |
13 | Feytiat pleins bois / Le Palais vert vallon |
14 | Porte de Louyat / Collège Ronsard / Le Theil ↔ Lycée Renoir |
15 | Pole Saint-Lazare ↔ La Valoine / Boisseuil — Z.A La Plaine |
16 | Place Winston Churchill ↔ Les Courrieres |
17 | Place Winston Churchill ↔ Verneuil — Pennevayre |
18 | C.I.E.L ↔ Beaune — Les Mines |
24 | Place Winston Churchill / Pole Saint-Lazare ↔ Fontgeaudrant |
25 | Place Winston Churchill ↔ Mas Blanc |
26 | Place Winston Churchill ↔ Peyrilhac — Banèche |
29 | Pole Fougeras ↔ Rilhac-Rancon — Bramaud |
30 | Pole Fougeras ↔ Rilhac-Rancon — Cassepierre École |
32 | Place Winston Churchill ↔ Feytiat — Mas Gauthier |
34 | Place Winston Churchill ↔ Saint-Just-le-Martel — Les Renardières |
35 | Place Winston Churchill ↔ Feytiat — Plein Bois |
36 | Place Winston Churchill ↔ Condat — Versanas |
38 | Place Winston Churchill ↔ Couzeix — Anglard |
39 | Montjovis ↔ Chaptelat — Le Theillol |
41 | Place Winston Churchill ↔ Mas Gigou |
46 | Place Winston Churchill ↔ Saint-Just-le-Martel — Fontaguly |
61 | Panazol – Mairie ↔ Panazol – Manderesse |
62 | Pôle Saint Lazare ↔ Feytiat – Place de l'Europe |
63 | Isle – Les Champs ↔ Charles le Gendre |
65 | Pôle Fougeras ↔ Z.I. Nord 3 |
Zénith Place Winston Churchill <> Zénith de Limoges (jours de spectacles) Basket Bus Pôle Saint-Lazare <> Palais des Sports (jours de match)
Depuis la modification du service le , il dessert les communes suivantes :
|
Quelques critiques sont parfois émises à l'encontre du réseau de transports urbains de l'agglomération de Limoges.
Il faut noter que le développement et l'utilisation du réseau des transports en commun de Limoges restent inférieurs à ceux de nombre d'autres agglomérations de même taille. Avec une fréquentation de 13 millions de voyageurs par an en 2007 et 35 000 voyageurs par jour[27], Limoges se place loin derrière Tours et Caen (71 000 passagers par jour), Besançon (66 000 passagers), Aix-en-Provence (52 000 passagers), et se situe presque au même niveau que La Rochelle (31 000 passagers), pourtant peuplée de seulement 77 000 habitants[27].
Cette observation s'explique vraisemblablement par une place moindre accordée aux voies réservées aux autobus, à une faible amplitude d'horaires (les bus roulent entre 6h et 20h30, et il n'existe que deux lignes de nuit qui ne fonctionnent plus après 0h30). De plus, le temps d'attente entre deux véhicules reste souvent long, en général entre 10 et 15 minutes pour la majorité des lignes. Les tarifs pratiqués (1,60 euro pour un billet simple, avec la possibilité d'emprunter une correspondance durant une période n'excédant pas une heure) sont élevés par rapport à ceux observables dans de nombreuses autres agglomérations[28].
De plus, le réseau de la TCL ne dessert que partiellement l'espace périurbain de Limoges, le réseau étant cantonné au périmètre de la communauté urbaine Limoges Métropole.
Lors des élections municipales de 2008 à Limoges, la liste MoDem de Jean-Jacques Bélézy proposa un retour dans la capitale limousine du tramway. Mais la réélection d'Alain Rodet qui s'était opposé à ce projet semble reporter l'idée d'un retour de ce mode de transport, supprimé à Limoges en 1951.
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