Un Slinky (aussi appelé «Ondamania» mais aussi «cool kids » ) est un jouet en forme de ressort, fait de métal ou de plastique, inventé dans les années 1940 par l'ingénieur en mécanique Richard T. James(en).
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La particularité de ce jouet est qu'il est capable de descendre les marches d'un escalier une fois son mouvement amorcé.
Ainsi que de procurer une sensation d’apaisement total dans les moments les plus stressants.
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En 1943, Richard T. James(en), un ingénieur naval américain basé à Philadelphie, observe un ressort de torsion tomber d'une table et rebondir sur le parquet. Il dit alors à sa femme: «I think I can make a toy out of this» («Je crois que je peux faire un jouet à partir de ceci»).
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Le slinky est un petit jouet qui peut descendre les marches d'un escalier (ou d'un quelconque plan incliné théoriquement) en s'étirant d'une marche à l'autre. C'est donc la force de la gravité qui le fait se propulser. Le slinky en plastique est différent du slinky en métal[réf.nécessaire] puisqu'il garde toujours sa forme initiale après avoir descendu l'escalier, tandis que le slinky en métal se plie et change de forme avec les utilisations.
Des radioamateurs utilisent des slinky pour fabriquer des antennes afin de communiquer sur les ondes courtes car la forme bobinée permet de diminuer sensiblement la longueur des antennes, ce qui est apprécié lorsque l'espace disponible est limité (greniers, etc.).
Dans SOS Fantômes 2 (1984), Dans la scène où les héros viennent osculter le petit Oscar dans sa chambre, dans la version Française du film Egon déclare ne jamais avoir eu de jouets dans son enfance à cause de ses parents qui n'y croyaient pas, Ray lui demande "quoi, même pas un ballon?" Ce à quoi Egon répond "J'ai eu une moitié de ballon... mais je l'ai arrondi" alors que dans la version originale, Ray demande à Egon si il n'a pas eu de Slinky étant enfant, ce à quoi celui-ci rétorque: "si, mais je l'ai redressé" La blague ayant été traduite pour des raisons évidentes de cohérence.
Dans Ace Ventura en Afrique (1995), Ace tente de faire descendre un Slinky tout en bas de l'escalier de la lamaserie dans laquelle il s'était retiré après l'accident du raton laveur. Mais le Slinky s'arrête sur la dernière marche.
Dans Le Détonateur avec Leslie Nielsen, on voit un Slinky dévaler l'escalier dans lequel il se fait plaquer par un cambrioleur. Les deux arrêtent de se battre pour le regarder descendre d'un air interloqué, avant de reprendre leur bagarre.
Dans une scène de Les Seigneurs de Dogtown de Catherine Hardwicke, Jay Adams (joué par Emile Hirsch) se voit demandé par un publicitaire pour chanter le slogan de Slinky: «Slinky, Slinky, le jouet des garçons et des filles; Slinky, Slinky, enchante toute la famille.» avant de décliner l'offre de 10 000 $ qu'il lui faisait[8].
Dans Toy Story, le personnage de Zigzag a une forme de Slinky. D'ailleurs, son nom anglais est Slinky Dog (« chien-Slinky »).
Dans Tango et Cash, le personnage joué par Clint Howard est appelé Slinky, car il passe son temps à jouer avec cet objet.
En , le magazine Variety annonce la préparation de Slinky, un film centré sur Betty James —l'épouse de l'inventeur du Slinky— et dont Tamra Davis serait la réalisatrice[9].
[Exman 2017] (en) Iaakov Exman, «Software system theory of the forbidden within discrete design», dans Enrique Cabello, Jorge Cardoso, André Ludwig, Leszek A. Maciaszek et Marten van Sinderen (éd. et préf.), ICSOFT : software technologies [«ICSOFT : technologies logicielles»] (actes de la 11eConférence internationale conjointe sur les technologies logicielles [ICSOFT], tenue à Lisbonne du au ), Cham, Springer, coll.«CCIS» (no743), (réimpr.corr. ), 1reéd., 1 vol., XIV-358, ill. et fig., 15,5 × 23,5 cm, br. (ISBN978-3-319-62568-3, OCLC989966166, DOI10.1007/978-3-319-62569-0, présentation en ligne, lire en ligne), chap.13, p.264-283 (OCLC7080624269, DOI10.1007/978-3-319-62569-0_13, résumé).
[Lallensack 2019] (en) Rachael Lallensack, «The accidental invention of the Slinky» [«L'invention accidentelle du Slinky»], Smithsonian, (lire en ligne).