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commune française du département de la Creuse De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Saint-Georges-la-Pouge est une commune française située dans le département de la Creuse en région Nouvelle-Aquitaine.
Saint-Georges-la-Pouge | |||||
Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Nouvelle-Aquitaine | ||||
Département | Creuse | ||||
Arrondissement | Guéret | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Creuse Sud-Ouest | ||||
Maire Mandat |
Delphine Poitou Le-Bihan 2020-2026 |
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Code postal | 23250 | ||||
Code commune | 23197 | ||||
Démographie | |||||
Population municipale |
368 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 15 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 45° 59′ 38″ nord, 1° 58′ 15″ est | ||||
Altitude | Min. 470 m Max. 636 m |
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Superficie | 24,09 km2 | ||||
Type | Commune rurale à habitat très dispersé | ||||
Unité urbaine | Hors unité urbaine | ||||
Aire d'attraction | Guéret (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Ahun | ||||
Législatives | Circonscription unique | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Creuse
Géolocalisation sur la carte : Nouvelle-Aquitaine
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Elle est traversée par la Gosne.
Historiquement, la commune est exposée à un climat montagnard[1]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat de montagne et est dans la région climatique Ouest et nord-ouest du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 900 à 1 500 mm, maximale en automne et en hiver[2].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 9,7 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 201 mm, avec 13,3 jours de précipitations en janvier et 8,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Pontarion à 9,3 km à vol d'oiseau[4], est de 10,5 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 155,8 mm[5],[6]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d’émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[7].
Au , Saint-Georges-la-Pouge est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[8]. Elle est située hors unité urbaine[9]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Guéret, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[9]. Cette aire, qui regroupe 72 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[10],[11].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,2 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (60,1 %), prairies (26,4 %), zones agricoles hétérogènes (11,2 %), zones urbanisées (1,2 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (1,1 %)[12]. L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
Le territoire de la commune de Saint-Georges-la-Pouge est vulnérable à différents aléas naturels : météorologiques (tempête, orage, neige, grand froid, canicule ou sécheresse) et séisme (sismicité faible). Il est également exposé à un risque particulier : le risque de radon[13]. Un site publié par le BRGM permet d'évaluer simplement et rapidement les risques d'un bien localisé soit par son adresse soit par le numéro de sa parcelle[14].
Le retrait-gonflement des sols argileux est susceptible d'engendrer des dommages importants aux bâtiments en cas d’alternance de périodes de sécheresse et de pluie. 57,3 % de la superficie communale est en aléa moyen ou fort (33,6 % au niveau départemental et 48,5 % au niveau national). Sur les 322 bâtiments dénombrés sur la commune en 2019, 68 sont en aléa moyen ou fort, soit 21 %, à comparer aux 25 % au niveau départemental et 54 % au niveau national. Une cartographie de l'exposition du territoire national au retrait gonflement des sols argileux est disponible sur le site du BRGM[15],[Carte 2].
Par ailleurs, afin de mieux appréhender le risque d’affaissement de terrain, l'inventaire national des cavités souterraines permet de localiser celles situées sur la commune[16].
La commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par les inondations et coulées de boue survenues en 1982 et 1999. Concernant les mouvements de terrains, la commune a été reconnue en état de catastrophe naturelle au titre des dommages causés par des mouvements de terrain en 1999[13].
Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Certaines communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. Selon la classification de 2018, la commune de Saint-Georges-la-Pouge est classée en zone 3, à savoir zone à potentiel radon significatif[17].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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1837 | 1884 | Jean-Baptiste Pimpaneau | ||
1884 | 1900 | Louis Jabouille | ||
20 mai 1900 | 22 juillet 1900 | Coulaudon | ||
22 juillet 1900 | 1914 | Emile Lecomte | ||
1914 | 1919 | Emile Villadier | ||
1919 | 1925 | Alfred Courbarien | ||
1925 | 1944 | Emile Mian | ||
1944 | 1945 | Louis Biébuyck | ||
1945 | 1947 | Louis Noël | ||
1947 | 1959 | Emile Lardy | ||
1959 | 1971 | Fernand Mignaton | ||
1971 | 1981 | Henri Touny | ||
1981 | 1995 | Jean-Pierre Terme | ||
1995 | 2014 | Patrick Aïta | UDF puis proche du MoDem[18] |
Médecin |
mars 2014 | juillet 2020 | Patrick Touzet | SE | Retraité |
juillet 2020 | en cours | Delphine Poitou | SE | Enseignante |
Les données manquantes sont à compléter. |
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[19]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2008[20].
En 2021, la commune comptait 368 habitants[Note 2], en évolution de −1,08 % par rapport à 2015 (Creuse : −3,87 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2018 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
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369 | 368 | - | - | - | - | - | - | - |
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