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poète, écrivain et journaliste italien De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Roberto Pazzi, né à Ameglia (Ligurie) le et mort à Ferrare (Émilie-Romagne) le [1], est un poète, écrivain et journaliste italien. Ses œuvres sont traduites en vingt-six langues. Il est reconnu pour sa poésie et ses romans. Son premier roman, Cercando l'Imperatore (1985) a reçu plusieurs prix internationaux. Il a une carrière prolifique de romans historiques et aussi contemporains[2].
Naissance |
Ameglia (Ligurie) |
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Décès |
(à 77 ans) Ferrare (Émilie-Romagne) |
Nationalité | Italien |
Activité principale | |
Distinctions |
Genres |
poésie |
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Œuvres principales
Conclave
Roberto Pazzi naît le à Ameglia, une petite commune de Ligurie, en Italie[3]. Pazzi a fréquenté le Liceo Arostio à Ferrare avant d'étudier les classiques à l'Université de Bologne, où il a écrit une thèse[4] sur l'esthétique de la poétique d'Umberto Saba[2]
Il enseigne l'anthropologie culturelle et la philosophie de l'histoire dans les lycées et à l'Université de Ferrare. Il enseigne également la sociologie et la sociologie de l'art et de la littérature à Urbino[5]. En 2014, il crée l'école d'écriture créative Itaca à Ferrare[2].
En tant que journaliste[2], il commence à écrire pour le Corriere della Sera en 1985 : une collaboration de douze ans (jusqu'en 1997). Par la suite, Roberto Pazzi a commencé à écrire pour il Resto del Carlino, La Nazione et Il Giorno ainsi que pour le New York Times[6].
Ses premiers poèmes apparaissent dans une anthologie de poésie dans le magazine Arte e poesia en 1970.
Ses recueils de poésie sont : L'esperienza anteriore (I dispari, 1973), Versi occidentali (Rebellato 1976), Il re, le parole (Lacaita, 1980), Calma di vento (Garzanti, 1987), Il filo delle bugie (Corbo, 1994), La gravità dei corpi (Palomar 1998) et Talismani (Marietti 2003)[2].
Pazzi publie son premier roman Cercando l'Imperatore en 1985. Le roman est traduit en 12 langues et remport le Premio Bergamo[réf. nécessaire].
Il poursuit avec divers romans historiques : La princesse e il drago (1986), La malattia del tempo (1987), Vangelo di Giuda (1989) et La stanza sull'acqua (1991).
Avec Le città del dottor Malaguti (1993), il déplace ses romans dans le cadre contemporain de la ville où vit le narrateur du livre, Ferrare [réf. nécessaire].
Après cela, il écrit Incerti di viaggio (1996), Domani sarò re (1997), La città volante (1999), Conclave (2001), L'erede (2002), Il degli signore occhi (2004), L'ombra del padre (2005), Qualcuno mi insegue (2007), Le forbici di Solingen (2007), Dopo primavera (2008), et Mi spiacerà morire per non vederti più (2010)[2].
Roberto Pazzi est décédé[7] le à Ferrare[8], à l'âge de 77 ans, après avoir été hospitalisé depuis le 24 novembre[2].
Roberto Pazzi obtient les prix :
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