Le prix Senghor du premier roman francophone et francophile plus couramment appelé prix Senghor, est un prix littéraire international qui a été créé en 2006 par des passionnés de littératures francophones et francophiles, sous l'impulsion de Dominique Loubao, Ingénieure inter-culturel.
Créé en 2006, année du centenaire de la naissance de Léopold Sedar Senghor[1],[2],[3], l'objectif du prix est de distinguer un premier roman d’un auteur d’expression française et ainsi de promouvoir de «jeunes» écrivains d’expression française. Le «prix Senghor du premier roman francophone et francophile» souhaite encourager au niveau international, l'utilisation de la langue française comme outil d'expression écrite, et rendre hommage parallèlement au «poète-président» sénégalais, messager, amoureux de cette belle langue, agrégé de grammaire française (1935) et membre de l'Académie française (1983-2001). Léopold Sédar Senghor a en effet toujours soutenu la création artistique et pensé que les Arts et les Lettres avaient vocation particulière à exprimer l’humaine condition. C’est de sa philosophie humaniste que se réclame ce prix, voulant favoriser Le dialogue entre les cultures, au travers du partage volontaire d’une langue commune[4].
Lise Gauvin, autrice et critique littéraire (Québec)
Isabelle Colin, responsable de la bibliothèque Germaine-Tillion, conservatrice au Réseau des bibliothèques Ville de Paris
Eugène Fresnel, professeur de littérature, (Prépa-Sciences-Pô)
Caroline Moulin-Schwartz, modératrice de débats
Élisabeth Lesne, éditrice et Agent littéraire
Tchiseka Lobelt, directrice du livre et de la lecture (collectivité territoriale de Guyane)
Henri Lallement, Libraire Centre Wallonie-Bruxelles,
Isabelle Lepine, Directrice bureau Europe, Université de Montréal et du monde
Nicolas Forest, bibliothécaire, Médiathèque Landowski (Boulogne-Billancourt)
Dominique Loubao, Ingénieure inter-culturel
Annie Lulu, auteure congolaise et roumaine écrivant en français
Suzanne Dracius, écrivaine martiniquaise de langue française