Le prix Saint-Cricq-Theis, de la fondation du même nom, est un ancien prix triennal de l'Académie française, créé en 1911 et « attribué à un ouvrage de poésie spiritualiste, morale, patriotique, dramatique ou autre »[1].
- 1912 :
- 1915 :
- 1921 :
- 1924 :
- 1927 :
- 1930 :
- Gabriel Tallet pour Au seuil de la maison
- 1936 :
- 1939 :
- Albert Flad pour Les Vespérales
- 1942 :
- 1945 :
- Marie-Antoinette Cuny pour Les pleurs d'Ariel
- 1948 :
- 1951 :
- Henriette Delaye-Didier-Delorme pour Fables et contes
- Marthe Dupuy pour Du fond des abîmes
- Hélène Fuchs pour Le Luminaire
- Yvonne Gautier pour Fresques
- Renée Hermann et Yahne Lambray pour Chats des villes et chants des chats
- 1954 :
- Abbé Paul Grassely pour Eaux fortes et pastels
- Albert-Jean Guibert pour Promenades poétiques
- Joseph Maublanc (1870-1963) pour Danses, chansons et poésies bressanes et La veillée bressane
- 1957 :
- Gisèle Lombard-Mauroy pour Le temps revient
- 1958 :
- Marthe Ranson-Nepveu pour Vers les couchants ultima
- 1960 :
- Jean Arnaud-Durand pour Recevoir du temps
- Abbé Jean Aymon pour Roma mater
- Georges Millot pour Horizons savoyards
- 1963 :
- 1969 :
- Marcelle Mavie pour Les feuillets du souvenir et du temps présent
- 1972 :
- Chanoine Marcel Michelet (1906-1989) pour Le Lotus parfumé
- 1975 :
- Suzanne Scheinert-Servais pour L’Invisible oiseau
- 1978 :
- Georges Belloni pour Retrouvailles chrétiennes
- Paul Mercier pour Pour une parole humaine
- Frédéric Sumer pour Carrefour des Poètes
- 1984 :
- Charles de Damas pour Alternance
- Alain Taurinya pour Matricule 99057
- 1987 :
- Armelle Hauteloire pour Le chant de Malabata