Camboulazet

commune française du département de l'Aveyron De Wikipédia, l'encyclopédie libre

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Camboulazet est une commune française située dans le département de l'Aveyron, en région Occitanie.

Faits en bref Administration, Pays ...
Camboulazet
Camboulazet
La mairie de Camboulazet.
Administration
Pays Drapeau de la France France
Région Occitanie
Département Aveyron
Arrondissement Villefranche-de-Rouergue
Intercommunalité Communauté de communes Pays Ségali
Maire
Mandat
Jean Lachet
2020-2026
Code postal 12160
Code commune 12045
Démographie
Gentilé Camboulazetois
Population
municipale
391 hab. (2021 en évolution de −11,74 % par rapport à 2015)
Densité 27 hab./km2
Géographie
Coordonnées 44° 13′ 39″ nord, 2° 26′ 35″ est
Altitude Min. 379 m
Max. 746 m
Superficie 14,25 km2
Type Commune rurale à habitat très dispersé
Unité urbaine Hors unité urbaine
Aire d'attraction Rodez
(commune de la couronne)
Élections
Départementales Canton de Ceor-Ségala
Législatives Deuxième circonscription
Localisation
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Camboulazet
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Camboulazet
Liens
Site web camboulazet12.fr
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    Géographie

    Localisation et communes limitrophes

    La commune de Camboulazet se trouve au centre-ouest du département de l'Aveyron, dans la petite région agricole du Ségala[1].

    Elle se situe à 26 km par la route[Note 1] de Rodez[2], préfecture du département, à 49 km de Villefranche-de-Rouergue[3], sous-préfecture, et à km de Baraqueville[4], bureau centralisateur du canton de Ceor-Ségala dont dépend la commune depuis 2015. La commune fait en outre partie du bassin de vie de Baraqueville[I 1].

    Les communes les plus proches sont[5],[Note 2] : Manhac (3,6 km), Baraqueville (5,4 km), Quins (5,6 km), Calmont (6,0 km), Sainte-Juliette-sur-Viaur (6,5 km), Camjac (7,3 km), Gramond (7,4 km), Centrès (7,7 km), Boussac (8,3 km).

    Représentations cartographiques de la commune
    Carte OpenStreetMap
    Carte topographique
    Carte avec les communes environnantes

    Hydrographie

    Réseau hydrographique

    Carte en couleur présentant le réseau hydrographique de la commune
    Réseaux hydrographique et routier de Camboulazet.

    La commune est drainée par le Viaur, le Ruisseau de Congorbes, le Ruisseau de la Nauze, le ruisseau de Malrieu, le ruisseau de Bagar, le ruisseau de Dalbin et par divers petits cours d'eau[6].

    Le Viaur prend sa source à 1 086 m d’altitude dans la région naturelle du Lévézou qui présente un relief vallonné, dans la commune de Vézins-de-Lévézou pour confluer, après avoir parcouru environ 168 km, avec l'Aveyron à 146 m d’altitude en limite de Laguépie (Tarn-et-Garonne) et Saint-Martin-Laguépie (Tarn), après avoir arrosé 30 communes[7].

    Le Ruisseau de Congorbes, d'une longueur totale de 11,3 km, prend sa source dans la commune de Baraqueville et se jette dans le Viaur à Centrès, après avoir arrosé 5 communes[8].

    Le Ruisseau de la Nauze, d'une longueur totale de 15,7 km, prend sa source dans la commune de Manhac et se jette dans le Viaur à Centrès, après avoir arrosé 5 communes[9].

    Gestion des cours d'eau

    Afin d’atteindre le bon état des eaux imposé par la Directive-cadre sur l'eau du , plusieurs outils de gestion intégrée s’articulent à différentes échelles pour définir et mettre en œuvre un programme d’actions de réhabilitation et de gestion des milieux aquatiques : le SDAGE (Schéma directeur d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle du bassin hydrographique, et le SAGE (Schéma d'aménagement et de gestion des eaux), à l’échelle locale. Ce dernier fixe les objectifs généraux d’utilisation, de mise en valeur et de protection quantitative et qualitative des ressources en eau superficielle et souterraine. Trois SAGE sont mis en oeuvre dans le département de l'Aveyron[10].

    La commune fait partie du SAGE du bassin versant du Viaur, approuvé le , au sein du SDAGE Adour-Garonne. Le périmètre de ce SAGE couvre 89 communes, sur trois départements (Aveyron, Tarn et Tarn-et-Garonne)[11],[12]. Le pilotage et l’animation du SAGE sont assurés par l’établissement public d'aménagement et de gestion des eaux (EPAGE) du bassin du Viaur, une structure qui regroupe les établissements publics de coopération intercommunale à fiscalité propre (EPCI-FP) dont le territoire est inclus (en totalité ou partiellement) dans le bassin hydrographique du Viaur et les structures gestionnaires de l’alimentation en eau potable des populations et qui disposent d’une ressource sur le bassin versant du Viaur. Il correspond à l’ancien syndicat mixte du Bassin versant du Viaur[13],[14].

    Climat

    En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique altéré, selon une étude s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[15]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est dans une zone de transition entre le climat océanique altéré et le climat de montagne et est dans la région climatique Sud-est du Massif Central, caractérisée par une pluviométrie annuelle de 1 000 à 1 500 mm, minimale en été, maximale en automne[16].

    Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,6 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,5 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 1 052 mm, avec 11,5 jours de précipitations en janvier et 6,9 jours en juillet[15]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Flavin à 15 km à vol d'oiseau[17], est de 11,0 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 902,2 mm[18],[19]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[20].

    Milieux naturels et biodiversité

    Sites Natura 2000

    Sites Natura 2000 sur le territoire communal.

    Le réseau Natura 2000 est un réseau écologique européen de sites naturels d’intérêt écologique élaboré à partir des Directives « Habitats » et « Oiseaux ». Ce réseau est constitué de Zones spéciales de conservation (ZSC) et de Zones de protection spéciale (ZPS). Dans les zones de ce réseau, les États Membres s'engagent à maintenir dans un état de conservation favorable les types d'habitats et d'espèces concernés, par le biais de mesures réglementaires, administratives ou contractuelles[21].

    Un site Natura 2000 a été défini sur la commune au titre de la « directive Habitats »[22]. Les « Vallées du Tarn, de l'Aveyron, du Viaur, de l'Agout et du Gijou », d'une superficie de 17 144 ha, s'étendent sur 136 communes dont 41 dans l'Aveyron, 8 en Haute-Garonne, 50 dans le Tarn et 37 dans le Tarn-et-Garonne. Elles présentent une très grande diversité d'habitats et d'espèces dans ce vaste réseau de cours d'eau et de gorges. La présence de la Loutre d'Europe et de la moule perlière d'eau douce est également d'un intérêt majeur[23].

    Zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique

    L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.

    Le territoire communal de Camboulazet comprend deux ZNIEFF de type 1[Note 3],[24], les « Pentes du Viaur à Centrès » (1 148 ha)[25] et la « Rivière du Viaur » (697,7 ha)[26] et une ZNIEFF de type 2[Note 4],[24], la « Vallée du Viaur et ses affluents » (27 587 ha), qui s'étend sur 73 communes dont 61 aveyronnaises, 9 dans le Tarn et 3 en Tarn-et-Garonne[27].

    Urbanisme

    Typologie

    Au , Camboulazet est catégorisée commune rurale à habitat très dispersé, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[28]. Elle est située hors unité urbaine[I 1]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Rodez, dont elle est une commune de la couronne[Note 5],[I 1]. Cette aire, qui regroupe 68 communes, est catégorisée dans les aires de 50 000 à moins de 200 000 habitants[29],[30].

    Occupation des sols

    Thumb
    Infrastructures et occupation des sols de la commune de Camboulazet.

    L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires agricoles (73,6 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (73,9 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : zones agricoles hétérogènes (52,8 %), forêts (26,4 %), terres arables (17,7 %), prairies (3,1 %)[31].

    Planification

    La loi SRU du a incité fortement les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document essentiel d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle. La commune est dans le territoire du SCoT du Centre Ouest Aveyron approuvé en février 2020. La structure porteuse est le Pôle d'équilibre territorial et rural Centre Ouest Aveyron, qui associe neuf EPCI, notamment la communauté de communes Pays Ségali, dont la commune est membre[32].

    La commune disposait en 2017 d'une carte communale approuvée[33].

    Risques majeurs

    Le territoire de la commune de Camboulazet est vulnérable à différents aléas naturels : climatiques (hiver exceptionnel ou canicule), feux de forêts et séisme (sismicité très faible). Il est également exposé à un risque technologique, la rupture d'un barrage, et à un risque particulier, le risque radon[34],[35].

    Risques naturels

    Le Plan départemental de protection des forêts contre les incendies découpe le département de l’Aveyron en sept « bassins de risque » et définit une sensibilité des communes à l’aléa feux de forêt (de faible à très forte). La commune est classée en sensibilité faible[36].

    Risques technologiques

    Dans le département de l'Aveyron on dénombre huit grands barrages susceptibles d’occasionner des dégâts en cas de rupture. La commune fait partie des 64 communes susceptibles d’être touchées par l’onde de submersion consécutive à la rupture d’un de ces barrages[37].

    Risque particulier

    Dans plusieurs parties du territoire national, le radon, accumulé dans certains logements ou autres locaux, peut constituer une source significative d’exposition de la population aux rayonnements ionisants. Toutes les communes du département sont concernées par le risque radon à un niveau plus ou moins élevé. La commune de Camboulazet est classée à risque moyen à élevé[38].

    Toponymie

    Histoire

    Politique et administration

    Découpage territorial

    La commune de Camboulazet est membre de la communauté de communes Pays Ségali[I 1], un établissement public de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre créé le dont le siège est à Baraqueville. Ce dernier est par ailleurs membre d'autres groupements intercommunaux[39].

    Sur le plan administratif, elle est rattachée à l'arrondissement de Villefranche-de-Rouergue, au département de l'Aveyron et à la région Occitanie[I 1]. Sur le plan électoral, elle dépend du canton de Ceor-Ségala pour l'élection des conseillers départementaux, depuis le redécoupage cantonal de 2014 entré en vigueur en 2015[I 1], et de la deuxième circonscription de l'Aveyron pour les élections législatives, depuis le dernier découpage électoral de 2010[40].

    Élections municipales et communautaires

    Élections de 2020

    Le conseil municipal de Camboulazet, commune de moins de 1 000 habitants, est élu au scrutin majoritaire plurinominal à deux tours[41] avec candidatures isolées ou groupées et possibilité de panachage[42]. Compte tenu de la population communale, le nombre de sièges à pourvoir lors des élections municipales de 2020 est de 15. Aucun candidat ne s'est présenté pour le premier tour, le . Les quinze conseillers municipaux ont finalement été élus lors du second tour, le du fait de la pandémie de Covid-19, sur une liste de 11 candidats, avec un taux de participation de 68,31 %[43]. Jean Lachet est élu nouveau maire de la commune le [44].

    Dans les communes de moins de 1 000 habitants, les conseillers communautaires sont désignés parmi les conseillers municipaux élus en suivant l’ordre du tableau (maire, adjoints puis conseillers municipaux) et dans la limite du nombre de sièges attribués à la commune au sein du conseil communautaire[45]. Un siège est attribué à la commune au sein de la communauté de communes Pays Ségali[46].

    Liste des maires

    Davantage d’informations Période, Identité ...
    Liste des maires successifs
    Période Identité Étiquette Qualité
    1959 mars 2001 Raymond Lacombe[47]   Eleveur
    mars 2001 mars 2008 Jules Enjalbert    
    mars 2008 juillet 2020 Jean Bonneviale[48]   Retraité agricole
    juillet 2020 En cours Jean Lachet[48],[49]   Ancien cadre
    Les données manquantes sont à compléter.
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    Camboulazet est le chef lieu de sa propre commune tout en étant partagé en deux territorialement, la partie haute appartenant à la commune de Baraqueville.

    Démographie

    L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[50]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[51].

    En 2021, la commune comptait 391 habitants[Note 6], en évolution de −11,74 % par rapport à 2015 (Aveyron : +0,17 %, France hors Mayotte : +1,84 %).

    Évolution de la population  [modifier]
    1793 1800 1831 1836 1841 1846 1851 1856 1861
    207290710645749801835755795
    1866 1872 1876 1881 1886 1891 1896 1901 1906
    813780772818814742742743725
    1911 1921 1926 1931 1936 1946 1954 1962 1968
    717632600604557535460426397
    1975 1982 1990 1999 2006 2007 2012 2017 2021
    344329295314342346405398391
    De 1962 à 1999 : population sans doubles comptes ; pour les dates suivantes : population municipale.
    (Sources : Ldh/EHESS/Cassini jusqu'en 1999[52] puis Insee à partir de 2006[53].)
    Histogramme de l'évolution démographique

    Économie

    Revenus

    En 2018 (données Insee publiées en ), la commune compte 165 ménages fiscaux[Note 7], regroupant 413 personnes. La médiane du revenu disponible par unité de consommation est de 21 770 [I 2] (20 640  dans le département[I 3]).

    Emploi

    Davantage d’informations Division ...
    Taux de chômage
    Division200820132018
    Commune[I 4]3,1 %3,7 %5,1 %
    Département[I 5]5,4 %7,1 %7,1 %
    France entière[I 6]8,3 %10 %10 %
    Fermer

    En 2018, la population âgée de 15 à 64 ans s'élève à 217 personnes, parmi lesquelles on compte 84,2 % d'actifs (79,1 % ayant un emploi et 5,1 % de chômeurs) et 15,8 % d'inactifs[Note 8],[I 4]. Depuis 2008, le taux de chômage communal (au sens du recensement) des 15-64 ans est inférieur à celui de la France et du département.

    La commune fait partie de la couronne de l'aire d'attraction de Rodez, du fait qu'au moins 15 % des actifs travaillent dans le pôle[Carte 1],[I 7]. Elle compte 39 emplois en 2018, contre 43 en 2013 et 42 en 2008. Le nombre d'actifs ayant un emploi résidant dans la commune est de 173, soit un indicateur de concentration d'emploi de 22,6 % et un taux d'activité parmi les 15 ans ou plus de 61,7 %[I 8].

    Sur ces 173 actifs de 15 ans ou plus ayant un emploi, 31 travaillent dans la commune, soit 18 % des habitants[I 9]. Pour se rendre au travail, 87,1 % des habitants utilisent un véhicule personnel ou de fonction à quatre roues, 4,3 % s'y rendent en deux-roues, à vélo ou à pied et 8,6 % n'ont pas besoin de transport (travail au domicile)[I 10].

    Activités hors agriculture

    26 établissements[Note 9] sont implantés à Camboulazet au . Le tableau ci-dessous en détaille le nombre par secteur d'activité et compare les ratios avec ceux du département[Note 10],[I 11]. Le secteur des activités spécialisées, scientifiques et techniques et des activités de services administratifs et de soutien est prépondérant sur la commune puisqu'il représente 26,9 % du nombre total d'établissements de la commune (7 sur les 26 entreprises implantées à Camboulazet), contre 12,4 % au niveau départemental[I 12].

    Agriculture

    La commune est dans le Segala, une petite région agricole occupant l'ouest du département de l'Aveyron[54]. En 2020, l'orientation technico-économique de l'agriculture[Note 11] sur la commune est l'élevage bovin, orientation mixte lait et viande[Carte 2].

    1988200020102020
    Exploitations53302620
    SAU[Note 12] (ha)1 028976872922

    Le nombre d'exploitations agricoles en activité et ayant leur siège dans la commune est passé de 53 lors du recensement agricole de 1988[Note 13] à 30 en 2000 puis à 26 en 2010[56] et enfin à 20 en 2020[Carte 3], soit une baisse de 62 % en 32 ans. Le même mouvement est observé à l'échelle du département qui a perdu pendant cette période 51 % de ses exploitations[57],[Carte 4]. La surface agricole utilisée sur la commune a également diminué, passant de 1 028 ha en 1988 à 922 ha en 2020[Carte 5]. Parallèlement la surface agricole utilisée moyenne par exploitation a augmenté, passant de 19 à 46 ha[56].

    Culture locale et patrimoine

    Lieux et monuments

    • Église Saint-Amans de style gothique construite en 1540 avec clocher polygonal.
    • Fontaine de l'an 2000.
    • La Fabrie-Sabin : Croix rustiques de schiste.
    • Croix à la Combe : Croix de grès datée de 1741.
    • Constructions traditionnelles à La Gardie et Noyes

    Personnalités liées à la commune

    • Raymond Lacombe (1929-2002), maire de Camboulazet, syndicaliste paysan français, éleveur sur une exploitation laitière de 35 hectares à Baraqueville.

    Voir aussi

    Bibliographie

    • (oc + fr) Christian-Pierre Bedel (préf. Denys Jaudon), La Barraca Sauvatèrra : Bossac, Cambolaset, Castanet, Colombièrs, Gramont, Manhac, Moirasés, Pradinàs / Christian-Pierre Bedel e los estatjants del canton de La Barraca-Sauvatèrra, Rodez, Mission départementale de la culture, coll. « Al canton », , 271 p., ill., couv. ill. ; 28 cm (ISBN 2-907279-36-X, ISSN 1151-8375, BNF 36988794)

    Articles connexes

    Sur les autres projets Wikimedia :

    Liens externes

    Notes et références

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