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haut fonctionnaire, essayiste et biographe français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Maxime Tandonnet, né le à Caudéran (désormais un quartier de Bordeaux) et mort le à Créteil, est un haut fonctionnaire français, également essayiste et biographe.
Inspecteur général de l'administration | |
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Sous-préfet de Saint-Jean-de-Maurienne | |
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Jean-François Delage (d) Frédéric Benet-Chambellan (d) | |
Directeur de cabinet Préfet des Yvelines | |
- | |
Jérôme Gutton (d) Francis Vuibert (d) | |
Directeur de cabinet Préfet d'Indre-et-Loire (d) | |
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Daniel-Georges Courtois (d) Patrick Buttin (d) |
Naissance | |
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Décès | |
Nom de naissance |
Maxime Edmond Guy Tandonnet |
Nationalité | |
Formation | |
Activités |
Site web | |
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Distinction |
Maxime Tandonnet est né le à Caudéran[1], une ancienne commune de Gironde, devenue un quartier de Bordeaux en 1965.
Maxime Tandonnet est diplômé de l’Institut d'études politiques de Bordeaux (1979) puis de l’École nationale d'administration[2] (1990-1992, promotion Condorcet)[3].
Après un service militaire dans la marine, Maxime Tandonnet est nommé pour deux ans secrétaire des Affaires étrangères à l'ambassade de France à Khartoum (Soudan)[4]. Il intègre ensuite la direction d'Afrique du Nord et Moyen-Orient puis la direction des Français à l'étranger et des Étrangers en France au ministère des Affaires étrangères (1985-1988)[5].
En 1992, il entre au ministère de l'Intérieur comme directeur de cabinet du préfet d’Indre-et-Loire, puis de 1993 à 1994 devient le directeur de cabinet de Claude Érignac, alors préfet des Yvelines. Maxime Tandonnet est sous-préfet à Saint-Jean-de-Maurienne (en Savoie) de 1994 à 1996. En 2000, il est nommé inspecteur de l'administration et, en 2008, inspecteur général[6].
En 2007, il devient conseiller « immigration et intérieur » à l’Élysée[2] et reste en poste jusqu'en août 2011[7], date à laquelle il reprend ses fonctions d'inspecteur général de l'administration au ministère de l'Intérieur[8].
Parfois présenté par la presse[9] comme l'un des principaux inspirateurs de la politique de Nicolas Sarkozy en matière de maîtrise de l'immigration, il se vit reprocher à ce titre, en 2010 et 2011, une proximité de pensée avec le Front national notamment par le quotidien Libération[10].
Maxime Tandonnet est chroniqueur régulier pour Le Figaro[11],[12], le site Atlantico[13], Le Journal du dimanche (JDD)[14],[2] et la Revue politique et parlementaire[15].
À compter de 2011, Maxime Tandonnet enseigne le droit des étrangers et de l'accès à la nationalité française en master 1 à la faculté de droit de l'université de Paris-XII - Créteil (UPEC)[16].
Maxime Tandonnet est marié et père de trois enfants[2].
Il meurt[2] soudainement le à Créteil à l’âge de 65 ans[17],[18], emporté par un AVC[4],[19].
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