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femme politique suisse De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Laurence Fehlmann Rielle, née le à Chêne-Bougeries (originaire de Genève, double nationale suisso-turque), est une personnalité politique suisse, membre du Parti socialiste.
| Laurence Fehlmann Rielle | |
.jpg) Portrait officiel, 2019. | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Conseillère nationale | |
| En fonction depuis le | |
| Législature | 50e, 51e et 52e |
| Groupe politique | socialiste (S) |
| Commission | CAJ CdF (depuis 2023) |
| Conseillère municipale à Genève | |
| – | |
| Présidente du Parti socialiste genevois | |
| – | |
| Successeur | René Longet |
| Députée au Grand Conseil du canton de Genève | |
| – | |
| Législature | 54e, 55e et 56e |
| Biographie | |
| Nom de naissance | Laurence Fehlmann |
| Date de naissance | |
| Lieu de naissance | Chêne-Bougeries |
| Nationalité | suisse turque |
| Parti politique | Parti socialiste |
| Conjoint | Jean-Charles Rielle |
| Diplômée de | Université de Genève IDHEAP |
| Profession | Politologue |
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|
Elle est députée du canton de Genève au Conseil national depuis le .
Laurence Fehlmann Rielle naît Laurence Fehlmann le à Chêne-Bougeries[1], dans le canton de Genève, d'un père genevois et d'une mère d'origine fribourgeoise née Piller[2]. Originaire de Genève[1], elle est double nationale suisso-turque par son premier mariage[3]. Elle a deux sœurs aînées[2].
Après une maturité de type B (latin) en 1974, elle étudie à l'Université de Genève, où elle obtient, après une année en droit[3], une licence en sciences politiques en 1980 et un diplôme postgrade en administration publique de l'IDHEAP en 1983, puis une maîtrise universitaire d'études avancées en santé publique à l'Institut de médecine sociale et préventive en 2013[2].
Elle est mariée à l'ancien conseiller national Jean-Charles Rielle depuis 1992[2].
Elle adhère au Parti socialiste en 1992[4].
Elle est députée au Grand Conseil genevois de 1997 à 2009 et présidente du parti socialiste genevois de 2004 à 2008, après en avoir été vice-présidente. Choisie pour ses qualités de rassembleuse, qualifiée de discrète mais tenace, elle est critiquée à la fin de son mandat pour son absence de ligne claire[4],[5].
Elle est conseillère municipale (législatif) de la ville de Genève de à [1].
Elle est élue au Conseil national en 2015[6] et réélue à deux reprises ( et 22 octobre 2023[7]). Elle est membre de la Commission des affaires juridiques (CAJ), qu'elle préside de à , et de la Commission des finances (CdF) depuis [1].
En 2020 et 2021, elle fait parler d'elle en demandant la suppression des sucreries près des caisses des supermarchés[8],[9],[10].
Elle se situe à la gauche de son parti, après avoir fait partie de son extrême gauche[4].
Elle exerce plusieurs fonctions dans le domaine de la prévention des dépendances. Elle est notamment directrice de la Fédération genevoise pour la prévention de l'alcoolisme et du cannabis de 1985 à 2018, puis co-directrice de l'association faitière Carrefour addictionS, membre de la Commission fédérale pour les problèmes liés à l'alcool et membre fondatrice de l'Opération Nez Rouge Genève[2].
Elle est par ailleurs présidente du Réseau Romand-ASA (Handicap mental), vice-présidente de l'association Helvetia Latina et membre de la Commission cantonale d'aide au sport de Genève du à 2018[2].
Militante puis présidente du Mouvement Anti-Apartheid de Suisse (aujourd’hui dissous) de 1984 à 1989, elle milite ensuite au sein de la Coordination de soutien au peuple kurde de 1996 à 2000[2].
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