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journal quotidien publié à Sherbrooke, au Québec De Wikipédia, l'encyclopédie libre
La Tribune est un journal quotidien membre de la Coopérative nationale d'information indépendante publié à Sherbrooke, au Québec. En 2010, le tirage est évalué à environ 35 000 en semaine et la salle de presse compte une trentaine de journalistes[2]. Il est actuellement édité par la Coopérative La Tribune, membre du groupe de presse Coopérative nationale de l'information indépendante depuis 2020. En novembre 2020, Hugo Fontaine a été nommé au poste de directeur général de la Coopérative La Tribune[3]. En 2022, Chloé Cotnoir est nommée rédactrice en chef et devient la première femme à occuper ce poste dans l’histoire du journal[4].
Pays | Canada |
---|---|
Zone de diffusion | Cantons-de-l'Est (Québec) |
Langue | Français |
Périodicité | Quotidien |
Format | Tabloïd |
Genre | Généraliste |
Diffusion | 33 000 ex. (2008[1]) |
Date de fondation | 1910 |
Ville d’édition | Sherbrooke, Québec |
Propriétaire | Coopérative nationale de l'information indépendante |
Rédactrice en chef | Chloé Cotnoir |
ISSN | 0832-3194 |
Site web | La Tribune |
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Le journal fut fondé le par Jacob Nicol, nommé sénateur libéral le et mort le à l'âge de 82 ans. Le journal fait alors concurrence au Progrès de l'Est.
Le premier numéro est imprimé dans un édifice de la rue Wellington nord. Le siège social et la salle de rédaction déménagèrent au 221 rue Dufferin, coin rue Frontenac, au centre-ville, longeant la rivière Magog. Le premier quotidien francophone de la région des Cantons-de-l'Est, il affiche son orientation libérale et catholique. La Tribune a un tirage initial de 5 000 copies[2].
En , les bureaux et l'impression du journal déménagent au 1950 rue Roy, dans le parc industriel dans l'ouest de la ville. Premier quotidien francophone de la région des Cantons-de-l'Est, il affiche son orientation libérale et catholique. La Tribune a un tirage initial de 5 000 copies[2].
Acquis par Paul Desruisseaux en 1955, le journal frôle les 40 000 copies en semaine dans les années 1970 et passe à 50 000 copies dans les années 1980[2].
Le , Gesca se départ de ses six quotidiens régionaux, incluant La Tribune, qui sont vendus à Groupe Capitales Médias, une société dirigée par l'ancien ministre libéral Martin Cauchon.
En décembre 2019, La Tribune devient une coopérative de solidarité. Elle est associée à la Coopérative nationale de l’information indépendante (CN2I).
Le le journal La Tribune est imprimé dans les locaux du journal pour la dernière fois. L'impression est ensuite sous-traitée à un imprimeur d'Anjou avec celui du journal La Voix de l'Est.
La publication papier se voit réduite uniquement à l'édition du samedi à partir de mars 2020 pour des motifs financiers[5].
Depuis le 1er mai 2020, les bureaux du journal sont situés au 780, rue King Ouest, tout près du centre-ville.
En décembre 2023, La Tribune met fin complètement à son édition papier et poursuit ses publications uniquement au format numérique[6]. Ainsi, la dernière édition imprimée paraît le 30 décembre 2023; ce fut l'occasion de faire un retour sur l'historique du journal depuis sa création[7].
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