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nouvelle d’Anton Tchekhov De Wikipédia, l'encyclopédie libre
La Crise est une nouvelle de vingt-six pages d'Anton Tchekhov (en russe : Pripadok).
La Crise | |
Publication | |
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Auteur | Anton Tchekhov |
Titre d'origine | Припадок - Pripadok
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Langue | Russe |
Parution | dans Hommage à Vsevolod Garchine |
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Tchékhov a voulu peindre en Grigori Vassiliev « un héros de la pâte de Garchine » et décrire le choc qu’est la découverte de la prostitution pour un jeune homme pur et idéaliste.
La Crise est initialement publiée dans l'ouvrage intitulé Hommage à Vsevolod Garchine en 1888[1].
Mayer et Rybnikov, étudiants, décident d’emmener leur ami Grigori Vassiliev dans la rue des maisons closes. Ils y ont leurs habitudes, à l’opposé de Vassiliev pour qui c’est une première.
Vassiliev s’y sent étranger. Il regarde les femmes, les hommes, les laquais, les décorations de mauvais goût. L’ivresse aidant, il parle un peu avec les filles, mais tout cela le dégoûte, et il accuse ses amis de participer au meurtre de ces femmes.
En rentrant chez lui, Vassiliev cherche un moyen pour sauver ces filles. Doit-il se marier avec l’une pour la sauver ? Il souffre pour toutes ces femmes perdues. Cette douleur attaque sa raison. Il se mord pour souffrir. Ses amis prennent peur et le conduise chez un psychiatre. On lui prescrit du bromure et de la morphine, mais il en prend déjà.
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