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Keikogi
vêtement d'entraînement des arts martiaux / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Keikogi (稽古着) est un mot japonais signifiant littéralement « vêtement d'entraînement » ; il est composé de keiko (la « pratique », l'« entraînement », l'« action ») et de gi (« vêtement », « tenue », « ensemble de vêtements composant une tenue »)[1]. On l'appelle aussi parfois dogi, « vêtement de pratique de la voie ».
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En Occident, il désigne principalement la tenue utilisée pour l'entraînement aux budō (arts martiaux japonais), que l'on appelle aussi à tort kimono (cette confusion existe principalement en France, en Tchéquie, en Slovaquie et dans une moindre mesure en Belgique et en Suisse)[réf. nécessaire]. En judo, on parle de judogi ; au karaté, on l'appelle karategi ; au taekwondo, on le nomme dobok, ou dans les arts martiaux vietnamiens vo phuc.
Plus récemment, en jiu-jitsu brésilien et en grappling, on appelle cette tenue simplement gi, dans les confrontations où elle est obligatoire, par opposition à celles sans saisie de la tenue, dites no-gi.