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médecin français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Jean Lacassagne, né le à Lyon et mort en à Lyon, est un médecin, dermato-vénérologue et historien de la médecine français[3].
Naissance | |
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Décès | |
Sépulture | |
Pseudonyme |
François Seringard |
Nationalité | |
Activité | |
Père | |
Mère |
Madeleine Rollet (d) |
Fratrie |
Jeanne Lacassagne (d) Antoine Lacassagne |
Distinction | |
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Archives conservées par |
Archives du département du Rhône et de la métropole de Lyon (FRAD069 30J)[1] Archiv für Medizingeschichte, Lehrstuhl Medizingeschichte (d) (CH-001766-2: PN 332)[2] |
Jean Lacassagne est le fils d'Alexandre Lacassagne, le frère d'Antoine Lacassagne, le petit-fils de Joseph Rollet, et le beau-frère d'Albert Policard.
Il devient médecin en 1911[4]. Il est médecin auxiliaire d'un régiment pendant la Première Guerre mondiale[4]. Il cofonde l'Association républicaine pour favoriser les études médicales[4].
Il est connu pour avoir été médecin des prisons s'intéressant particulièrement aux tatouages des détenus[5]. Il s'intéresse particulièrement aux aspects psychologiques et à la mémoire du détenu[5]. Il rencontre notamment l'assassin Louis Rambert avec qui il noue une relation de confiance[5].
En 1933, il fonde la section lyonnaise de la Société d’histoire de la médecine[4]. En 1934, il est élu président de l'Association des Amis du musée Gadagne et occupe cette fonction jusqu'à son décès en 1960[6].
Comme son père et son grand-père Joseph Rollet, il est enterré à Beynost[3].
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