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Jean-Stéphane, comte de Méran (de) (en allemand : Johann Stephan Graf von Meran), est né à Graz, en Autriche-Hongrie, le , et est décédé dans cette même ville le . Issu d'une branche morganatique de la Maison de Habsbourg-Lorraine, il fut notamment membre de la Chambre des seigneurs d’Autriche (équivalent de la Chambre des pairs française) et chambellan impérial et royal.
Membre de la chambre des seigneurs d'Autriche (d) | |
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à partir du |
Naissance | |
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Décès | |
Nationalités | |
Activités |
Homme politique, propriétaire terrien |
Père | |
Mère |
Theresia von Lamberg (d) |
Fratrie |
Rudolf von Meran (d) |
Conjoint |
Ladislaja Maria Karoline Franziska Therese von Lamberg (d) (à partir de ) |
Enfants |
François-Philippe de Méran Maria Theresia Gräfin von Meran (d) Philipp Heinrich Franz Johann von Meran (d) Johann Franz Philipp Maria von Meran (d) Maria Anna von Meran (d) Ladislaja Harnoncourt (en) Eleonore Maria Johanna Franziska Ignazia von Meran (d) Marie Valerie von Meran (d) Karl Hubert Ignatius Maria von Meran (d) |
Sauf mention contraire, les informations proviennent du site de généalogie dynastique The Peerage, qui cite lui-même les sources qu'il utilise.
Jean-Stéphane de Méran est le fils du comte François-Louis de Méran (1839-1891) et de son épouse Thérèse de Lamberg (1836-1913).
Par son père, il descend de l'archiduc Jean-Baptiste d'Autriche (1782-1859) et de son épouse morganatique Anne Plochl (1804-1885), comtesse de Méran. Il est donc l’arrière-petit-fils en ligne agnatique de l’empereur Léopold II du Saint-Empire (1747-1792).
Par sa mère, il est le petit-fils du comte Karl Philip von Lamberg et de la baronne Marie von Wenckheim.
Neuf enfants sont issus de l'union de Jean-Stéphane et de Thérèse :
Deuxième chef de la maison de Méran, Jean-Stéphane succède à son père en 1891. Il entre alors en possession du fidéicommis de Schönna, Stein et Brandhof et devient membre héréditaire de la Chambre des seigneurs d'Autriche jusqu'à la chute de l'Empire en 1918[1].
Jean-Stéphane est par ailleurs membre du Conseil secret de l'Empire austro-hongrois[2] ainsi que chambellan impérial et royal[1].
En 1907, il est fait chevalier de la Toison d'or par l'empereur François-Joseph Ier[2],[3].
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