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Jean-Luc Benoziglio, né le à Monthey en Suisse et mort le à Paris 15e[2],[3], est un écrivain de nationalité suisse. Il vivait à Paris, où il avait travaillé notamment pour la maison d'édition Tchou et chez Payot[4].
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Jean-Luc Benoziglio
| Naissance | |
|---|---|
| Décès | |
| Nom de naissance |
Jean Luc Joseph Benoziglio |
| Nationalités | |
| Formation | |
| Activités |
| Distinctions | |
|---|---|
| Archives conservées par |
Archives littéraires suisses (CH-000015-0: ALS-Benoziglio)[1] |
Né d'une mère d'origine italienne et d'un père turc, médecin-chef à Malévoz, d'ancêtres juifs espagnols, il étudie au Collège Champittet puis il obtient une licence en droit et commence un doctorat en sciences po à l'Université de Lausanne[5]. Il quitte Lausanne en 1967 pour travailler à Paris dans des maisons d'édition[6]. Durant ses études, il a écrit des articles dans la revue de la Société de Belles-Lettres[7].
Son fonds d'archives se trouve aux Archives littéraires suisses à Berne.
- 1972 : Quelqu'un bis est mort
- 1973 : Le Midship
- 1974 : La Boîte noire
- 1976 : Béno s'en va-t-en guerre
- 1978 : L'Écrivain fantôme
- 1980 : Cabinet-portrait (prix Médicis 1980)
- 1986 : Le Jour où naquit Kary Karinaky (prix Jacques-Audiberti 1986)
- 1989 : Tableaux d'une ex (prix Passion)
- 1993 : Peinture avec pistolet
- 1998 : Le Feu au lac (prix Lipp Suisse)
- 2001 : La Pyramide ronde
- 2004 : La Voix des mauvais jours et des chagrins rentrés
- 2005 : Louis Capet, suite et fin (prix Michel Dentan)
Traduction
« Ces paroles » (avec Léo Laberge), « les Chefs » (avec André Myre), « Ovadyah » (avec Philippe Gruson), « 1re lettre aux Thessaloniciens » (avec André Myre), « 2e lettre aux Thessaloniciens » (avec André Myre), « Lettre aux hébreux » (avec Jean-Paul Michaud), « 1re lettre de Pierre » (avec Pierre Debergé), « 2e lettre de Pierre » (avec Pierre Debergé), dans La Bible, Paris, Bayard, 2001.
- 1973 : Prix Paul-Flat de l’Académie française pour Quelqu’un bis est mort
- 1974 : Prix Del Duca
- 1980 : Prix Médicis pour Cabinet-portrait
- 1986 : Prix Jacques Audiberti pour Le jour où naquit Kary Karinaky
- 1989 : Prix Passion pour Tableaux d'une ex
- 1998 : Prix Schiller pour Le feu au lac
- 1998 : Prix Lipp Suisse pour Le feu au lac
- 2005 : Prix Michel Dentan pour Louis Capet, suite et fin
- 2005 : Bourse Pro Helvetia
- 2006 : Prix des auditeurs de la RTS pour Louis Capet, suite et fin[9]
- 2010 : Grand prix C.F. Ramuz pour l'ensemble de son œuvre[10]
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