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cofondateur de YouTube De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Jawed Karim , né le 28 octobre 1979 à Mersebourg, en Allemagne, est un informaticien et entrepreneur américain d'origine bengali et allemande. Il est un des fondateurs en 2005 du service de partage de vidéo en ligne YouTube en compagnie de Chad Hurley et de Steve Chen. Dès 2006, Google rachète YouTube pour 1,6 milliard de dollars.
Jawed Karim possède une fortune de 300 millions de dollars[1].
Karim est né à Mersebourg en Allemagne de l'Est. Son père, Naimul Karim, est un américain originaire du Bangladesh chercheur au 3M et sa mère, Christine Bettina Karim[2], est une scientifique allemande et professeur de biochimie à l'université du Minnesota.
En 1980, il traverse la frontière inter-allemande avec sa famille. Il grandit à Neuss en Allemagne de l'Ouest[3]. En 1992, il émigre aux États-Unis.
Diplômé de la Central High School (Saint Paul, Minnesota), il rejoint plus tard l'université de l'Illinois à Urbana-Champaign, dans le département d'informatique. Il quitte le campus avant d'obtenir son diplôme et devient l'un des premiers employés de PayPal. Il reprend ses études et obtient une licence en informatique. Il décrochera par la suite un master en informatique de l'université Stanford[1].
Jawed Karim a conçu et mis en œuvre plusieurs fonctions chez PayPal dont le système anti-fraude (pour éviter les transferts d’argent frauduleux). Il y rencontre Chad Hurley et Steve Chen, avec lesquels il se lie d'amitié et fonde, en 2005, le site web d’hébergement de vidéos YouTube[4].
La toute première vidéo sur YouTube, intitulée Me at the zoo[5], a été postée le samedi : on y voit Jawed Karim commenter sa visite au zoo de San Diego (Californie).
En , il crée des fonds de capital-innovation nommé Youniversity Ventures[6] pour soutenir le lancement de nouvelles start-ups.
« Why the fuck do I need a google+ account to comment on a video? » (« Pourquoi ai-je besoin d'un putain de compte google+ pour commenter une vidéo ? ») : ceci est le premier commentaire que poste Jawed Karim sur son compte YouTube pour critiquer le nouveau système qui associe les commentaires de la plateforme à Google+. Si la société Google explique sur son blog que c'est un moyen d'améliorer la qualité des commentaires et de créer des discussions entre membres, les critiques répliquent que c'est un moyen de promouvoir leur réseau social qui n'a jamais décollé (ouvert en 2011, définitivement fermé en 2019)[7].
En Novembre 2021, il a modifié à nouveau la description de Me at the zoo[5] afin de critiquer la décision prise par YouTube de ne plus montrer les « Je n'aime pas » sur la plateforme qu'aux créateurs des vidéos dont ils sont propriétaire.
« Watching Matt Koval's announcement about the removal of dislikes, I thought something was off. The spoken words did not match the eyes. The video reminded me of an interview Admiral Jeremiah Denton gave in 1966. I have never seen a less enthusiastic, more reluctant announcement of something that is supposed to be great. Calling the removal of dislikes a good thing for creators cannot be done without conflict by someone holding the title of "YouTube's Creator Liaison". We know this because there exists not a single YouTube Creator who thinks removing dislikes is a good idea -- for YouTube or for Creators. Why would YouTube make this universally disliked change? There is a reason, but it's not a good one, and not one that will be publicly disclosed. Instead, there will be references to various studies. Studies that apparently contradict the common sense of every YouTuber. The ability to easily and quickly identify bad content is an essential feature of a user-generated content platform. Why? Because not all user-generated content is good. It can't be. In fact, most of it is not good. And that's OK. The idea was never that all content is good. The idea WAS, however, that among the flood of content, there are great creations waiting to be exposed. And for that to happen, the stuff that's not great has to fall by the side as quickly as possible. The process works, and there's a name for it: the wisdom of the crowds. The process breaks when the platform interferes with it. Then, the platform invariably declines. Does YouTube want to become a place where everything is mediocre? Because nothing can be great if nothing is bad. In business, there's only one thing more important than "Make it better". And that's "Don't fuck it up". »
Dans ce passage, il explique la raison d'être du système de notation « J'aime » / « Je n'aime pas » sur YouTube:
« The ability to easily and quickly identify bad content is an essential feature of a user-generated content platform. Why? Because not all user-generated content is good. It can't be. In fact, most of it is not good. [...] And for that to happen, the stuff that's not great has to fall by the side as quickly as possible. »
Qui peut se traduire ainsi en français:
"La capacité d'identifier facilement et rapidement le mauvais contenu est essentiel pour une plateforme où le contenu est généré par les utilisateurs. Pourquoi ? Parce que tout le contenu créé par les utilisateurs n'est pas bon. Il ne peut pas l'être. En vérité, la plupart du contenu n'est pas bon. [...] Et pour que cela arrive, le mauvais contenu doit s'éclipser le plus vite possible. ".
ici, Il explique la conséquence de cette décision:
« The process works, and there's a name for it: the wisdom of the crowds. The process breaks when the platform interferes with it. »
Ce qui, traduit en Français, donne : "Ce processus marche, et il a un nom : la sagesse de la foule. Le processus ne fonctionne plus si la plateforme interfère avec lui."
Il prédit ensuite la baisse de qualité des vidéos proposées par la plateforme :
« Does YouTube want to become a place where everything is mediocre? Because nothing can be great if nothing is bad. »
Pouvant être traduit par : "Est-ce-que YouTube souhaite devenir une plateforme où tout est médiocre? Car rien ne peut être bien si rien n'est mauvais."
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