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militante féministe malienne De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Jacqueline Ki-Zerbo, née Coulibaly le à Ségou (Soudan français) et morte le à Ouagadougou (Burkina Faso)[1], est une militante pour les droits des femmes, le développement endogène de l’Afrique et de la démocratie.
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Jacqueline Ki-Zerbo effectue ses études secondaires à Dakar au Sénégal où elle obtient son baccalauréat. En 1956, elle décroche sa licence d’anglais à la Sorbonne à Paris[1].
Après avoir enseigné l’anglais à Dakar, elle est nommée directrice du cours normal de jeunes filles de Ouagadougou en 1961 où elle reste jusqu’en 1974[2]. Fervente défenseur de la condition de la femme, Jacqueline Ki Zerbo est membre fondateur de l’Entraide féminine voltaïque[3].
Dans les années 1960, elle rejoint la Guinée pour soutenir Ahmed Sékou Touré. Dans la mémoire collective Jacqueline Ki-Zerbo est une figure déterminante dans les évènements du 3 janvier 1966[4] En effet, Ce jour-là, elle a conduit un groupe de femmes et de jeunes filles qui marche sur la présidence avec des pancartes où il était inscrit « de l’eau, du pain et la démocratie pour le peuple »[4].
Elle meurt le 15 décembre 2015 à Ouagadougou et est enterrée à Toma dans la province de Nayala[1].
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