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homme politique français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Guy Geoffroy, né le à Paris, est un homme politique français.
Guy Geoffroy | |
Guy Geoffroy en 2010. | |
Fonctions | |
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Maire de Combs-la-Ville | |
En fonction depuis le (29 ans, 4 mois et 8 jours) |
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Élection | 11 juin 1995 |
Réélection | 11 mars 2001 9 mars 2008 23 mars 2014 15 mars 2020 |
Prédécesseur | Claude Sapin |
Successeur | en fonction |
Député français | |
– (15 ans et 1 jour) |
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Élection | 16 juin 2002 |
Réélection | 17 juin 2007 17 juin 2012 |
Circonscription | 9e de Seine-et-Marne |
Législature | XIIe, XIIIe et XIVe (Cinquième République) |
Groupe politique | UMP (2002-2012) R-UMP (2012-2013) UMP (2013-2015) LR (2015-2017) |
Prédécesseur | Jacques Heuclin |
Successeur | Michèle Peyron |
Conseiller général de Seine-et-Marne | |
– (5 ans, 11 mois et 21 jours) |
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Circonscription | Canton de Combs-la-Ville |
Prédécesseur | Canton créé |
Successeur | Didier Turba |
Biographie | |
Nom de naissance | Guy Geoffroy |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Paris 11e (Île-de-France, France) |
Nationalité | Française |
Parti politique | RPR(jusqu'en 2002) UMP (2002-2015) RS (2010-2012) LR (depuis 2015) |
Diplômé de | Université Panthéon-Sorbonne |
Profession | homme politique, proviseur de Lycée |
Religion | Catholicisme |
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Proviseur de lycée, ancien député élu en Seine-et-Marne (2002-2017), il est maire de Combs-la-Ville depuis 1995.
Guy Jean Albert Geoffroy naît le dans le 11e arrondissement de Paris[1],[2].
Après des études secondaires au lycée de Montgeron, il poursuite des études supérieures de droit à l'université Panthéon-Sorbonne. Il est diplômé d'études supérieures (DES) de droit public et de sciences politiques[1].
Le , il épouse Françoise Demilly. De ce mariage, naissent un garçon et deux filles[1].
De 1968 à 1982, il est surveillant puis conseiller d'éducation. En 1982, il est nommé chef d'établissement. De 1994 à 2002, il est proviseur du lycée polyvalent de Villeneuve-Saint-Georges[1].
En 1965, à 16 ans, il s'engage en politique et participe à la campagne électorale présidentielle dans les rangs gaullistes. En 1973, il est candidat du Front progressiste, mouvement gaulliste de gauche opposé à la politique de Georges Pompidou, dans la Première circonscription de l'Essonne.[réf. nécessaire]
En 1992, il est élu au conseil général de Seine-et-Marne dont il est vice-président de 1994 à 1998. Il est maire de Combs-la-Ville depuis 1995[1]. Très impliqué dans une politique scolaire audacieuse, il conduit aussi le redressement financier de sa commune et met en place la restructuration équilibrée du centre ancien. Il développe des politiques nouvelles dans de nombreux secteurs sensibles comme celui de l'environnement.[réf. nécessaire]
En 1995, il est élu vice-président de l'établissement public de la ville nouvelle de Sénart[1]. Président du SIVOM en , il est un des principaux artisans du projet de nouveau centre de traitement écologique des déchets ménagers par compostage et méthanisation, qui fait déjà référence en France et en Europe. Cette expérience et de son engagement sur les préoccupations écologiques, lui permettent d'accéder à la présidence de l'association des Éco-Maires de France en . Il est un des promoteurs de la mise en place de la « Commission locale de l'eau » chargée de définir le « schéma d'aménagement et de gestion de l'eau » pour l'ensemble du bassin de l'Yerres.[réf. nécessaire]
Le , il est élu député de la 9e circonscription de Seine-et-Marne[2] face au sortant Jacques Heuclin. Très investi auprès des maires et des habitants et reconnu pour son travail à l'Assemblée nationale - il est régulièrement classé parmi les députés les plus actifs - , il est reconduit aux élections législatives de 2007 et 2012, après avoir fait voter des lois importantes qui portent son nom, dont celle relative à la lutte contre les violences aux femmes. Il perd son siège en 2017, à l'issue des élections législatives qui suivent l'élection d'Emmanuel Macron à la présidence de la République, en étant battu au second tour avec 45,73 % des voix exprimées[3].
Le , la liste qu'il conduit est élue avec 53,61 % des voix dès le premier tour[4], il est réélu maire le suivant par le conseil municipal pour la cinquième fois consécutive.
Le , il est éliminé au premier tour des législatives, n'ayant obtenu que 11,66 % des voix exprimées[5].
Il est le co-auteur de la loi du relative aux violences faites spécifiquement aux femmes, aux violences au sein du couple et aux incidences de ces dernière sur les enfants et de la loi du renforçant la prévention et la répression des violences soumises au sein du couple, qui créent le délit de violence psychologique et l'ordonnance de protection pour les victimes.
Lors des débats relatifs au statut du parquet en 2013, il juge la prohibition des instructions individuelles du garde des sceaux aux parquetiers inutile[7]. La mesure sera adoptée, la garde des sceaux jugeant qu'il existe une différence fondamentale entre les instructions individuelles et les notes d'information remontant au garde des sceaux.
Le , Guy Geoffroy est nommé au grade de chevalier de l'ordre national du Mérite au titre de « proviseur de lycée à Villeneuve-Saint-Georges ; 29 ans de services civils »[8].
Le , il est nommé au grade de chevalier de l'ordre national de la Légion d'honneur au titre de « proviseur de lycée polyvalent ; 33 ans de services civils »[9].
Il est officier de l'ordre des Palmes académiques[1].
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