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personnalité politique française De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Francis Hillmeyer est un homme politique français né le à Mulhouse.
Francis Hillmeyer | |
Fonctions | |
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Député français | |
– (16 ans, 11 mois et 25 jours) |
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Élection | 25 juin 2000 |
Réélection | 16 juin 2002 10 juin 2007 17 juin 2012 |
Circonscription | 6e du Haut-Rhin |
Législature | XIe, XIIe, XIIIe et XIVe (Cinquième République) |
Groupe politique | UDF (2000-2007) NC (2007-2012) UDI (2012-2017) |
Prédécesseur | Jean-Jacques Weber |
Successeur | Bruno Fuchs |
Maire de Pfastatt | |
En fonction depuis le (29 ans, 4 mois et 23 jours) |
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Prédécesseur | André Lichtle |
Biographie | |
Date de naissance | |
Lieu de naissance | Mulhouse (France) |
Nationalité | Français |
Parti politique | NC/UDI |
Profession | Journaliste reporter-photographe |
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Francis Hillmeyer est journaliste reporter-photographe de formation. Élu conseiller municipal de sa commune, Pfastatt, en 1983. Adjoint en 1989, maire en 1995.
Il est élu député de la sixième circonscription du Haut-Rhin le , lors d'un élection législative partielle, en remplacement de Jean-Jacques Weber déchu de son mandat. Il est réélu le pour la XIIe législature (2002-2007). De 2000 à 2007, il est membre du groupe UDF à l'Assemblée nationale.
Après avoir soutenu François Bayrou au premier tour de l'élection présidentielle de 2007, il annonce son ralliement à la candidature de Nicolas Sarkozy pour le second tour. En désaccord avec la stratégie de François Bayrou, il quitte l'UDF et est un des membres fondateurs du Nouveau Centre. Il est réélu le député dès le premier tour avec le score de 50,36 % devant Antoine Homé (PS) 23,04 %, Martine Binder (FN) 8,72 % et Raphaëlle Vaginay (MoDem) 6,56 %.
En 2012, il est réélu député avec 44.11 % des voix au second tour, devant Malika Schmidlin-Ben M'Barek (PS) avec 32.56 % et Martine Binder (FN) avec 23.34 %[1].
En 2014, il se voit critiquer pour avoir usé de sa réserve parlementaire en faveur de l'Association d'entraide des Marocains du Haut-Rhin à hauteur de 5 000 €[2].
Il soutient Alain Juppé pour le premier tour de la primaire présidentielle des Républicains de 2016 et François Fillon au second tour[3].
Il est éliminé dès le premier tour des élections législatives du . Il n'arrive qu'en troisième position derrière Bruno Fuchs de La République en marche et Sylvain Marcelli du Front national.
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