Ferrières-en-Brie
commune française du département de Seine-et-Marne De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Ferrières-en-Brie est une commune française située dans le département de Seine-et-Marne en région Île-de-France.
Ferrières-en-Brie | |||||
La mairie. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Île-de-France | ||||
Département | Seine-et-Marne | ||||
Arrondissement | Torcy | ||||
Intercommunalité | Communauté d'agglomération Marne et Gondoire | ||||
Maire Mandat |
Mireille Munch 2020-2026 |
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Code postal | 77164 | ||||
Code commune | 77181 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Ferrobriards ou Ferrièrois | ||||
Population municipale |
3 841 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 569 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 48° 49′ 25″ nord, 2° 42′ 21″ est | ||||
Altitude | Min. 84 m Max. 126 m |
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Superficie | 6,75 km2 | ||||
Type | Ceinture urbaine | ||||
Unité urbaine | Paris (banlieue) |
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Aire d'attraction | Paris (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton d'Ozoir-la-Ferrière | ||||
Législatives | Huitième circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
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Géolocalisation sur la carte : Seine-et-Marne
Géolocalisation sur la carte : Île-de-France
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Liens | |||||
Site web | ferrieresenbrie.fr | ||||
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Ferrières-en-Brie est située à 26 km à l'est de Paris, sur le plateau de la Brie, entre les vallées de la Seine et de la Marne.
L'altitude de la commune varie de 84 mètres à 126 mètres pour le point le plus haut, le centre du bourg se situant à environ 109 mètres d'altitude (mairie)[1]. Elle est classée en zone de sismicité 1, correspondant à une sismicité très faible[2].
Le réseau hydrographique de la commune se compose de trois cours d'eau référencés :
La longueur totale des cours d'eau sur la commune est de 4,24 km[6].
En 2010, le climat de la commune est de type climat océanique dégradé des plaines du Centre et du Nord, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[7]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat océanique altéré et est dans la région climatique Sud-ouest du bassin Parisien, caractérisée par une faible pluviométrie, notamment au printemps (120 à 150 mm) et un hiver froid (3,5 °C)[8].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 10,9 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 15,2 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 717 mm, avec 10,9 jours de précipitations en janvier et 8 jours en juillet[7]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique la plus proche, située sur la commune de Torcy à 5 km à vol d'oiseau[9], est de 12,1 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 716,4 mm[10],[11]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[12].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,2 | 2,3 | 4 | 6,1 | 9,6 | 12,7 | 14,6 | 14,2 | 11,2 | 8,8 | 5,1 | 2,9 | 7,8 |
Température moyenne (°C) | 4,8 | 5,6 | 8,3 | 11,2 | 14,6 | 18 | 20,1 | 19,8 | 16,3 | 12,8 | 8,1 | 5,5 | 12,1 |
Température maximale moyenne (°C) | 7,4 | 8,9 | 12,6 | 16,2 | 19,7 | 23,2 | 25,6 | 25,5 | 21,5 | 16,8 | 11,1 | 8 | 16,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−12,6 07.01.09 |
−11,4 07.02.12 |
−8,6 01.03.05 |
−3,3 06.04.21 |
0,4 07.05.1997 |
2,8 04.06.01 |
6,6 13.07.1993 |
5,8 28.08.1998 |
2 30.09.18 |
−3,4 30.10.1997 |
−9,7 24.11.1998 |
−9,6 29.12.1996 |
−12,6 2009 |
Record de chaleur (°C) date du record |
17,3 05.01.1999 |
20,9 27.02.19 |
26,2 31.03.21 |
28,8 20.04.18 |
31,6 27.05.05 |
36,6 27.06.11 |
42,1 25.07.19 |
39,7 11.08.03 |
35,7 08.09.23 |
28,7 02.10.11 |
21,9 07.11.15 |
17,8 07.12.00 |
42,1 2019 |
Précipitations (mm) | 57,2 | 53,2 | 52,5 | 50 | 71,3 | 57,6 | 60,5 | 66,1 | 53,3 | 60,5 | 59,5 | 74,7 | 716,4 |
L’inventaire des zones naturelles d'intérêt écologique, faunistique et floristique (ZNIEFF) a pour objectif de réaliser une couverture des zones les plus intéressantes sur le plan écologique, essentiellement dans la perspective d’améliorer la connaissance du patrimoine naturel national et de fournir aux différents décideurs un outil d’aide à la prise en compte de l’environnement dans l’aménagement du territoire.
Le territoire communal de Ferrières-en-Brie comprend une ZNIEFF de type 2[Note 1],[13],[Carte 1], les « forêts d'Armainvilliers et de Ferrières » (5 682,94 ha), couvrant 12 communes du département[14].
Au , Ferrières-en-Brie est catégorisée ceinture urbaine, selon la nouvelle grille communale de densité à sept niveaux définie par l'Insee en 2022[15]. Elle appartient à l'unité urbaine de Paris[Note 2], une agglomération inter-départementale regroupant 407 communes, dont elle est une commune de la banlieue[Note 3],[16],[17]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Paris, dont elle est une commune de la couronne[Note 4],[17]. Cette aire regroupe 1 929 communes[18],[19].
La commune compte 20 lieux-dits administratifs[Note 5] répertoriés consultables ici[20] (source : le fichier Fantoir).
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des territoires artificialisés (45,5 % en 2018), en augmentation par rapport à 1990 (23,1 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (34% ), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (20,1% ), zones agricoles hétérogènes (15,8% ), espaces verts artificialisés, non agricoles (14,4% ), zones urbanisées (11% ), terres arables (4,7 %)[21].
Parallèlement, L'Institut Paris Région, agence d'urbanisme de la région Île-de-France, a mis en place un inventaire numérique de l'occupation du sol de l'Île-de-France, dénommé le MOS (Mode d'occupation du sol), actualisé régulièrement depuis sa première édition en 1982. Réalisé à partir de photos aériennes, le Mos distingue les espaces naturels, agricoles et forestiers mais aussi les espaces urbains (habitat, infrastructures, équipements, activités économiques, etc.) selon une classification pouvant aller jusqu'à 81 postes, différente de celle de Corine Land Cover[22],[23],[Carte 2]. L'Institut met également à disposition des outils permettant de visualiser par photo aérienne l'évolution de l'occupation des sols de la commune entre 1949 et 2018[Carte 3].
La loi SRU du a incité les communes à se regrouper au sein d’un établissement public, pour déterminer les partis d’aménagement de l’espace au sein d’un SCoT, un document d’orientation stratégique des politiques publiques à une grande échelle et à un horizon de 20 ans et s'imposant aux documents d'urbanisme locaux, les PLU (Plan local d'urbanisme). La commune est dans le territoire du SCOT Marne, Brosse et Condoire, approuvé en février 2013 et dont la révision a été lancée en 2017 par la Communauté d'Agglomération de Marne et Gondoire[24].
La commune disposait en 2019 d'un plan local d'urbanisme approuvé[25]. Le zonage réglementaire et le règlement associé peuvent être consultés sur le Géoportail de l'urbanisme[Carte 4].
Parmi ces logements, 94 % étaient des résidences principales, 0,9 % des résidences secondaires et 5,1 % des logements vacants.
La part des ménages fiscaux propriétaires de leur résidence principale s'élevait à 58,1 % contre 39,8 % de locataires[27] dont, 6,1 % de logements HLM loués vides (logements sociaux)[Note 7] et, 2,1 % logés gratuitement.
Le village est mentionné au XIIe siècle sous le nom de Ferreriae. Il doit son nom à d'anciennes forges installées en ce lieu en raison de l'abondance des bois qui servaient de combustible pour le traitement du minerai de fer.
La commune, instituée lors de la Révolution française sous le nom de Ferrières, prend en 1976 celui de Ferrières-en-Brie[30]
Lors de guerre franco-allemande de 1870 et pendant le siège de Paris par les Prussiens, le le ballon monté Daguerre s'envole de la gare d'Orléans et termine sa course pourchassé par la cavalerie ennemie et l'enveloppe du ballon percée, en atterrissant en catastrophe à Ferrières-en-Brie après avoir parcouru 42 kilomètres[31].
La commune était intégrée depuis 1994 à l'arrondissement de Torcy, qui avait succédé à l'arrondissement de Noisiel du département de Seine-et-Marne.
Afin de faire coïncider les limites d'arrondissement et celles des intercommunalités, elle intègre le l'arrondissement de Provins[32].
Pour l'élection des députés, elle fait partie depuis 1988 de la huitième circonscription de Seine-et-Marne.
Elle faisait partie de 1793 à 1975 du canton de Lagny-sur-Marne, année où elle intègre le canton de Torcy[30]. Dans le cadre du redécoupage cantonal de 2014 en France, la commune est désormais rattachée au canton d'Ozoir-la-Ferrière.
La commune était membre du district de la Brie Boisée créé le , et qui s'est transformé en communauté de communes sous le nom de communauté de communes de la Brie boisée.
Dans le cadre des dispositions de la loi portant nouvelle organisation territoriale de la République (Loi NOTRe) du 7 août 2015, qui prévoit que les établissements publics de coopération intercommunale (EPCI) à fiscalité propre doivent avoir un minimum de 15 000 habitants (et 5 000 habitants en zone de montagnes), la Brie boisée, la communauté de communes du Val Bréon et la communauté de communes les Sources de l'Yerres, auxquelles s'est rajouté la commune de Courtomer, ont du fusionner pour former, le , la communauté de communes du Val Briard[33], malgré l'opposition de la Brie boisée, en raison notamment de rapports difficiles avec Jean-Jacques Barbaux (LR), président du Val Bréon et du Conseil départemental[34].
Ferrières étant insatisfait de ce rattachement imposé[35] a obtenu d'intégrer, le , la communauté d'agglomération Marne et Gondoire[36],[37].
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
---|---|---|---|---|
1810 | Charles Heucleux | |||
1810 | 1815 | Antoine Cadot | ||
1815 | 1816 | Pierre Lemaire | ||
1816 | 1817 | Jean-Baptiste Rigal | ||
1817 | 1825 | Pierre Guimard | ||
1825 | 1831 | Jean Martragny | ||
1831 | 1841 | Françaois Vaudescal | ||
1841 | 1848 | Pierre Morlet | ||
1848 | 1848 | Paul Dutfoy | ||
1848 | 1861 | Jean Martragny | ||
1862 | 1865 | Baptiste Cresson | ||
1865 | 1872 | Charles Vavasseur | ||
1872 | 1873 | Désiré Grouard | ||
1873 | 1888 | Charles Vavasseur | ||
1888 | 1900 | François Bescher | ||
1900 | 1908 | Paul Publier | ||
1908 | 1938 | Auguste Trezy | ||
1938 | 1942 | Jules Rochat | ||
1942 | 1945 | Emile Jovenet | ||
1945 | 1947 | Édouard de Rothschild | Homme d'affaires | |
octobre 1947 | mai 1953 | Maurice Chevanne | ||
mai 1953 | mars 1959 | Édouard Bader | ||
mars 1959 | 1973 | Marcel Delamotte | ||
1974 | mars 1977 | André Pracht | ||
mars 1977 | mars 1983 | Guy de Rothschild | Homme d'affaires | |
mars 1983 | mars 1989 | Thérèse Potier | ||
mars 1989 | 1992 | Claude Barenton | ||
1992 | En cours (au 4 juillet 2017) |
Mireille Munch | Cap21 puis CÉ | Retraitée de l'Éducation nationale Chevalier de la Légion d’honneur[39] Réélue pour le mandat 2020-2026 |
L’organisation de la distribution de l’eau potable, de la collecte et du traitement des eaux usées et pluviales relève des communes. La loi NOTRe de 2015 a accru le rôle des EPCI à fiscalité propre en leur transférant cette compétence. Ce transfert devait en principe être effectif au , mais la loi Ferrand-Fesneau du a introduit la possibilité d’un report de ce transfert au [40],[41].
En 2020, la gestion du service d'assainissement collectif de la commune de Ferrières-en-Brie est assurée par le SIA de Marne-la-Vallée (SIAM) pour la collecte et . Ce service est géré en délégation par une entreprise privée[42],[43],[44]. La station d'épuration Equalia est quant à elle gérée par le SIA de Marne-la-Vallée (SIAM) qui a délégué la gestion à une entreprise privée, VEOLIA, dont le contrat arrive à échéance le [42],[45].
L’assainissement non collectif (ANC) désigne les installations individuelles de traitement des eaux domestiques qui ne sont pas desservies par un réseau public de collecte des eaux usées et qui doivent en conséquence traiter elles-mêmes leurs eaux usées avant de les rejeter dans le milieu naturel[46]. Le Syndicat mixte Centre Brie pour l'ANC (SMCBANC) assure pour le compte de la commune le service public d'assainissement non collectif (SPANC), qui a pour mission de vérifier la bonne exécution des travaux de réalisation et de réhabilitation, ainsi que le bon fonctionnement et l’entretien des installations[42],[47].
En 2020, l'alimentation en eau potable est assurée par la communauté d'agglomération Marne et Gondoire (CAMG) qui en a délégué la gestion à la SAUR, dont le contrat expire le [42],[48],[49].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[53]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[54].
En 2021, la commune comptait 3 841 habitants[Note 8], en évolution de +27,52 % par rapport à 2015 (Seine-et-Marne : +3,45 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2017 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
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3 433 | 3 841 | - | - | - | - | - | - | - |
En 2019, le nombre de ménages fiscaux[Note 9] de la commune était de 1 556 (dont 80 % imposés), représentant 3 607 personnes et la médiane du revenu disponible par unité de consommation de 27 610 euros[56], le 1er décile[Note 10] étant de 16 270 euros avec un rapport interdécile de 2,7[Note 11].
En 2018, le nombre total d’emplois dans la zone était de 3 246, occupant 1 894 actifs résidants (dont 17,8 % dans la commune de résidence et 82,2 % dans une commune autre que la commune de résidence).
Le taux d'activité de la population (actifs ayant un emploi) âgée de 15 à 64 ans s'élevait à 77,4 % contre un taux de chômage de 6,5 %. Les 16,1 % d’inactifs se répartissent de la façon suivante : 8,2 % d’étudiants et stagiaires non rémunérés, 4 % de retraités ou préretraités et 4 % pour les autres inactifs[57].
Au , le nombre d’unités légales et d’établissements (activités marchandes hors agriculture) par secteur d'activité était de 315 dont 21 dans l’industrie manufacturière, industries extractives et autres, 42 dans la construction, 76 dans le commerce de gros et de détail, transports, hébergement et restauration, 19 dans l’Information et communication, 28 dans les activités financières et d'assurance, 9 dans les activités immobilières, 68 dans les activités spécialisées, scientifiques et techniques et activités de services administratifs et de soutien, 28 dans l’administration publique, enseignement, santé humaine et action sociale et 24 étaient relatifs aux autres activités de services[58].
En 2020, 73 entreprises ont été créées sur le territoire de la commune, dont 59 individuelles.
Au , la commune disposait de 232 chambres d’hôtels dans un établissement et ne possédait aucun terrain de camping[59].
Ferrières-en-Brie est dans la petite région agricole dénommée la « Brie boisée », une partie de la Brie autour de Tournan-en-Brie[Carte 5]. En 2010, aucune orientation technico-économique[Note 12] de l'agriculture ne se dégage sur la commune[60].
Si la productivité agricole de la Seine-et-Marne se situe dans le peloton de tête des départements français, le département enregistre un double phénomène de disparition des terres cultivables (près de 2 000 ha par an dans les années 1980, moins dans les années 2000) et de réduction d'environ 30 % du nombre d'agriculteurs dans les années 2010[61]. Cette tendance se retrouve au niveau de la commune où le nombre d’exploitations est passé de 3 en 1988 à 0 en 2010[60]. Le tableau ci-dessous présente les principales caractéristiques des exploitations agricoles de Ferrières-en-Brie, observées sur une période de 22 ans :
1988 | 2000 | 2010 | |
---|---|---|---|
Dimension économique[60],[Note 13] | |||
Nombre d’exploitations (u) | 3 | 1 | 0 |
Travail (UTA) | 21 | 1 | 0 |
Surface agricole utilisée (ha) | 220 | 3 | 0 |
Cultures[62] | |||
Terres labourables (ha) | 145 | s | 0 |
Céréales (ha) | 120 | s | |
dont blé tendre (ha) | 64 | s | |
dont maïs-grain et maïs-semence (ha) | 39 | s | |
Tournesol (ha) | 0 | ||
Colza et navette (ha) | s | ||
Élevage[60] | |||
Cheptel (UGBTA[Note 14]) | 6 | 3 | |
La commune compte cinq monuments répertoriés à l'inventaire des monuments historiques (Base Mérimée)[63] :
Le château de Ferrières a servi entre autres de décor à la séquence finale du film « Papy fait de la résistance ».
Les armes de la ville se blasonnent ainsi : |
Le blason a été adopté officiellement par la municipalité en 1976. Il s'agit de celui des seigneurs de Marillac, installés à Ferrières au XVe siècle.
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