Déclin et survie des grandes villes américaines
œuvre écrite de Jane Jacobs / De Wikipedia, l'encyclopédie encyclopedia
Cher Wikiwand IA, Faisons court en répondant simplement à ces questions clés :
Pouvez-vous énumérer les principaux faits et statistiques sur Déclin et survie des grandes villes américaines?
Résumez cet article pour un enfant de 10 ans
Déclin et survie des grandes villes américaines (Titre original : The Death and Life of Great American Cities) est un livre sur l'urbanisme écrit par la philosophe de l'architecture et de l'urbanisme Jane Jacobs et publié en 1961. Le livre présente une critique des politiques de planification urbaines des années 1950, rendue responsable du déclin de plusieurs quartiers de villes américaines[1]. Il s'agit du travail le plus connu, le plus vendu et le plus influent de Jane Jacobs[2].
Cet article ne cite pas suffisamment ses sources ().
Si vous disposez d'ouvrages ou d'articles de référence ou si vous connaissez des sites web de qualité traitant du thème abordé ici, merci de compléter l'article en donnant les références utiles à sa vérifiabilité et en les liant à la section « Notes et références ».
En pratique : Quelles sources sont attendues ? Comment ajouter mes sources ?
Déclin et survie des grandes villes américaines | |
Couverture de l'édition originale. | |
Auteur | Jane Jacobs |
---|---|
Pays | États-Unis |
Genre | non-fiction |
Version originale | |
Langue | Anglais |
Titre | The Death and Life of Great American Cities |
Éditeur | Random House |
Lieu de parution | New York |
Date de parution | 1961 |
ISBN | 978-0-679-60047-3 |
Version française | |
Éditeur | Mardaga |
Lieu de parution | Liège |
Date de parution | 1991 |
Nombre de pages | 433 |
ISBN | 2870094639 |
modifier |
Jacobs y porte une critique des planificateurs « rationalistes » des années 1950 et 1960, tout particulièrement de Robert Moses, mais aussi des premiers travaux du Corbusier. Elle démontre que la planification urbaine moderniste sous-estime et sursimplifie la complexité des liens entre individus dans leurs communautés respectives. Elle s'oppose également aux plans de renouvellement de l'espace urbain à grande échelle qui affectent des quartiers entiers et à la construction d'autoroutes traversant le centre des villes[3]. Jacobs prend ainsi la défense du développement de zones à usages mixtes (en) et des villes piétonnes, avec des « yeux de la rue (en) » grâce aux passants qui assurent ainsi l'ordre public.