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Charles Buisine se marie à Lille en 1844; il appose par la suite le patronyme de son épouse «Rigot» au sien. L'année suivante, il prend la direction de l'atelier de menuiserie de son père Désiré Buisine (1793-1881)[3]. Il réalise de nombreux décors religieux sculptés sur bois dans les édifices de la métropole lilloise, notamment sur les chantiers de l'architecte néogothique lillois Charles Leroy.
Son fils, Édouard Buisine (1856-1935), reprend les Ateliers Buisine et les établis au nord de Paris. Il a notamment sculpté le banc de communion de l'église Notre-Dame de l'Assomption de Renescure[réf.nécessaire].
Sa fille, Thérèse Buisine (1849-1922), se marie avec un certain Régis Héaulme en 1874. Ensemble, ils reprennent un commerce lillois de broderie et d'ornements d'église[4]. La société appelée "Héaulme-Buisine" se transmet dans la famille sur plusieurs générations et ferme finalement ses portes entre 1975 et 1978[5].
Mayet chaire et confessionnaux. Signature Buisine et fils. Sculpteurs à Lille. (pas de dates trouvées pour cet ensemble mais construction de l'église Notre Dame de l'Immaculée Conception entre 1860 et 1880 y compris les décors intérieurs) - recherches Nicolle Piétrin Association Patrimoine Mayet: L'église Notre Dame de l'Immaculée Conception, iconographie des Vitraux de l'atelier Fialeix.
: document utilisé comme source pour la rédaction de cet article.
Hippolyte Verly, Essai de biographie lilloise contemporaine, 1800-1869: augmenté d'un supplément et accompagné de notes historiques et bibliographiques, Lille, Leleu, libraire, 11 rue du curé Saint-Etienne, , 250p. (lire en ligne), p.31
Abbé Huard (Vice-Doyen, Curé d'Anzin), Vie de Charles Buisine, sculpteur à Lille, chevalier de Saint-Grégoire-Le-Grand, Lille, Imprimerie H.Morel et Cie, , 149p. (lire en ligne)