Bruno Rojouan
homme politique français, sénateur de l'Allier De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Bruno Rojouan, né le 6 mars 1957[1], est un enseignant et homme politique français. Il est sénateur de l'Allier, rattaché Les Républicains, depuis octobre 2020.
| Bruno Rojouan | |
| Fonctions | |
|---|---|
| Sénateur français | |
| En fonction depuis le (3 ans, 11 mois et 2 jours) |
|
| Élection | 27 septembre 2020 |
| Circonscription | Allier |
| Groupe politique | Ratt. LR |
| Président de Commentry Montmarault Néris Communauté | |
| – (3 ans, 6 mois et 8 jours) |
|
| Élection | |
| Prédécesseur | Intercommunalité créée |
| Successeur | Claude Riboulet |
| Conseiller général de l'Allier | |
| – (23 ans, 6 mois et 11 jours) |
|
| Circonscription | Canton de Montmarault |
| Prédécesseur | René Tabutin |
| Successeur | Canton supprimé |
| Biographie | |
| Date de naissance | |
| Nationalité | Française |
| Parti politique | LR (depuis 2022) |
| Profession | Professeur des écoles |
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Instituteur, il est en 1983, à 26 ans, élu conseiller municipal de Villefranche-d'Allier, commune rurale du sud-ouest du département de l'Allier, et est élu maire par le conseil municipal en 1992 à la suite du retrait de Pierre Lacouque[2]. Il est réélu maire jusqu'à son retrait en 2020[2].
En 2000, il devient président de la Communauté de communes de la Région de Montmarault puis en 2017, après la fusion avec la communauté de communes de Commentry - Néris-les-Bains, il est président de la nouvelle entité, Commentry Montmarault Néris Communauté[2]. De 2001 à 2020, il préside l'association des maires de l'Allier[2].
Il est élu au conseil général de l'Allier en 1991 lors de l'élection partielle pour le canton de Montmarault et le reste jusqu'en 2015 où il ne se représente pas à la suite du redécoupage des cantons dans le département[2]. Au conseil départemental, il occupe successivement différentes vice-présidences : affaires européennes, communication et culture puis aménagement du territoire. Il y préside également le groupe de l'Union des républicains bourbonnais (URB)[2].
En 2014, il quitte son poste de directeur d'école[2].
Il est élu sénateur de l'Allier au premier tour des élections sénatoriales le , obtenant 607 voix sur les 965 votants[3].
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