Bourg-Saint-Andéol
commune française du département de l'Ardèche De Wikipédia, l'encyclopédie libre
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Bourg-Saint-Andéol est une commune française, située dans le département de l’Ardèche en région Auvergne-Rhône-Alpes. La ville est située sur la rive droite du Rhône à hauteur de Pierrelatte (Drôme).
Bourg-Saint-Andéol | |||||
L'ancien pont. | |||||
Blason |
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Administration | |||||
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Pays | France | ||||
Région | Auvergne-Rhône-Alpes | ||||
Département | Ardèche | ||||
Arrondissement | Privas | ||||
Intercommunalité | Communauté de communes Du Rhône aux Gorges de l'Ardèche (siège) |
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Maire Mandat |
Françoise Gonnet-Tabardel 2020-2026 |
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Code postal | 07700 | ||||
Code commune | 07042 | ||||
Démographie | |||||
Gentilé | Bourguesans | ||||
Population municipale |
7 352 hab. (2021 ) | ||||
Densité | 168 hab./km2 | ||||
Géographie | |||||
Coordonnées | 44° 22′ 24″ nord, 4° 38′ 39″ est | ||||
Altitude | Min. 48 m Max. 415 m |
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Superficie | 43,74 km2 | ||||
Type | Petite ville | ||||
Unité urbaine | Bourg-Saint-Andéol (ville isolée) |
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Aire d'attraction | Pierrelatte (commune de la couronne) |
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Élections | |||||
Départementales | Canton de Bourg-Saint-Andéol (bureau centralisateur) |
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Législatives | Première circonscription | ||||
Localisation | |||||
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : France
Géolocalisation sur la carte : Ardèche
Géolocalisation sur la carte : Auvergne-Rhône-Alpes
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Liens | |||||
Site web | bsa-ville.fr | ||||
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Les armoiries de la ville, qui ont été retrouvées sculptées sur une pierre des anciennes fortifications, se rapportent à la légende de saint Andéol. Leur blasonnement est le suivant : « de gueules à trois bourdons posés en pal d'or, au chef cousu d'azur chargé d'un coutelas (scramasaxe) d'argent gardé d'or[1]. ».
Bourg-Saint-Andéol est située dans le sud du département de l’Ardèche, au sein de la petite vallée de la Tourne, ouverte sur l’axe rhodanien tout en restant légèrement à l’écart. Elle se situe près de la mer Méditerranée, au cœur de plusieurs lieux touristiques.
Faisant partie intégrante de l’Ardèche méridionale, le territoire de la commune est blotti contre le Rhône au pied de la forêt méditerranéenne du Laoul, essentiellement composée de chênes verts, de pins, buis et cyprès.
Bourg-Saint-Andéol est située à quelques kilomètres de la grotte Chauvet et de sa réplique ouverte aux touristes depuis . L'accès par la commune vers ce lieu touristique est le plus court depuis la vallée du Rhône et ses axes de transport (SNCF, autoroute A7).
Gras | Saint-Montan | Donzère (Drôme) | ||
Bidon | N | Pierrelatte (Drôme) | ||
O Bourg-Saint-Andéol E | ||||
S | ||||
Saint-Marcel-d'Ardèche | Saint-Marcel-d'Ardèche | Pierrelatte (Drôme) |
La superficie de la commune est de 4 374 hectares ; son altitude varie de 48 à 415 mètres[2].
En 2010, le climat de la commune est de type climat méditerranéen altéré, selon une étude du CNRS s'appuyant sur une série de données couvrant la période 1971-2000[3]. En 2020, Météo-France publie une typologie des climats de la France métropolitaine dans laquelle la commune est exposée à un climat méditerranéen et est dans la région climatique Provence, Languedoc-Roussillon, caractérisée par une pluviométrie faible en été, un très bon ensoleillement (2 600 h/an), un été chaud (21,5 °C), un air très sec en été, sec en toutes saisons, des vents forts (fréquence de 40 à 50 % de vents > 5 m/s) et peu de brouillards[4].
Pour la période 1971-2000, la température annuelle moyenne est de 13,4 °C, avec une amplitude thermique annuelle de 18,1 °C. Le cumul annuel moyen de précipitations est de 864 mm, avec 6,1 jours de précipitations en janvier et 3,5 jours en juillet[3]. Pour la période 1991-2020, la température moyenne annuelle observée sur la station météorologique de Météo-France la plus proche, sur la commune de Pierrelatte à 4 km à vol d'oiseau[5], est de 14,4 °C et le cumul annuel moyen de précipitations est de 795,2 mm[6],[7]. Pour l'avenir, les paramètres climatiques de la commune estimés pour 2050 selon différents scénarios d'émission de gaz à effet de serre sont consultables sur un site dédié publié par Météo-France en novembre 2022[8].
Mois | jan. | fév. | mars | avril | mai | juin | jui. | août | sep. | oct. | nov. | déc. | année |
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Température minimale moyenne (°C) | 2,3 | 2,5 | 5,2 | 7,7 | 11,5 | 15,4 | 17,6 | 17,4 | 14 | 10,7 | 6,2 | 3 | 9,5 |
Température moyenne (°C) | 5,8 | 6,8 | 10,4 | 13,3 | 17,3 | 21,4 | 24 | 23,7 | 19,4 | 15,1 | 9,8 | 6,4 | 14,4 |
Température maximale moyenne (°C) | 9,4 | 11,1 | 15,6 | 18,8 | 23 | 27,4 | 30,3 | 30 | 24,8 | 19,5 | 13,4 | 9,7 | 19,4 |
Record de froid (°C) date du record |
−12,5 06.01.1971 |
−9,2 13.02.1978 |
−8,7 07.03.1971 |
−3,5 06.04.1970 |
1,1 04.05.1979 |
4,8 03.06.1975 |
9,6 12.07.1993 |
8,7 30.08.1986 |
3 30.09.1974 |
−1,3 28.10.1973 |
−5,8 28.11.1972 |
−9,7 31.12.1970 |
−12,5 1971 |
Record de chaleur (°C) date du record |
20,6 10.01.15 |
22,5 24.02.20 |
26,6 18.03.1997 |
29,9 24.04.07 |
33,8 24.05.09 |
40,7 27.06.19 |
40,2 26.07.1983 |
41,1 12.08.03 |
37 09.09.1966 |
30 02.10.11 |
24,9 03.11.1970 |
19,7 18.12.1989 |
41,1 2003 |
Précipitations (mm) | 61,9 | 38,5 | 46,2 | 65,4 | 68,9 | 44,7 | 40,4 | 50,9 | 102,6 | 110,6 | 111,8 | 53,3 | 795,2 |
La partie orientale du territoire communal est bordée par le Rhône.
La commune est traversée dans l'axe nord-sud par la route départementale 86 (RD86), anciennement route nationale 86, qui relie Lyon à Nîmes, en longeant la rive droite du Rhône.
Au , Bourg-Saint-Andéol est catégorisée petite ville, selon la nouvelle grille communale de densité à 7 niveaux définie par l'Insee en 2022[9]. Elle appartient à l'unité urbaine de Bourg-Saint-Andéol, une unité urbaine monocommunale constituant une ville isolée[10],[11]. Par ailleurs la commune fait partie de l'aire d'attraction de Pierrelatte, dont elle est une commune de la couronne[Note 1],[11]. Cette aire, qui regroupe 17 communes, est catégorisée dans les aires de moins de 50 000 habitants[12],[13].
L'occupation des sols de la commune, telle qu'elle ressort de la base de données européenne d’occupation biophysique des sols Corine Land Cover (CLC), est marquée par l'importance des forêts et milieux semi-naturels (61,3 % en 2018), une proportion sensiblement équivalente à celle de 1990 (61,6 %). La répartition détaillée en 2018 est la suivante : forêts (54,2 %), cultures permanentes (14,2 %), zones agricoles hétérogènes (9,5 %), terres arables (7,3 %), milieux à végétation arbustive et/ou herbacée (7,1 %), zones urbanisées (4,7 %), eaux continentales[Note 2] (1,9 %), zones industrielles ou commerciales et réseaux de communication (1,1 %)[14].
L'évolution de l’occupation des sols de la commune et de ses infrastructures peut être observée sur les différentes représentations cartographiques du territoire : la carte de Cassini (XVIIIe siècle), la carte d'état-major (1820-1866) et les cartes ou photos aériennes de l'IGN pour la période actuelle (1950 à aujourd'hui)[Carte 1].
L'ensemble du territoire de la commune de Bourg-Saint-Andéol est situé en zone de sismicité no 3 (sur une échelle de 1 à 5), comme la plupart des communes situées à proximité de la vallée du Rhône, mais non loin de la zone no 2 qui correspond au plateau ardéchois[15].
Type de zone | Niveau | Définitions (bâtiment à risque normal) |
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Zone 3 | Sismicité modérée | accélération = 1,1 m/s2 |
Le premier nom connu de la ville est Bergoïata, nom d’origine celtique. Au début de l’ère romaine, ce nom devint Bergus ou Burgum.
Le nom actuel remonte au XVe siècle et perpétue la mémoire d’Andéol, sous-diacre de l’église de Smyrne venu évangéliser la région et qui fut persécuté et assassiné à Albes (Viviers) en l'an 208. Son corps fut jeté dans le Rhône puis vint s'échouer sur la rive de Bergoiate[17] où il fut recueilli et enseveli dans un sarcophage païen au nom de Julius Valérianus. Sur son tombeau fut édifiée une crypte qui donna lieu a l'élévation de deux basiliques dédiées à saint Polycarpe. Alors qu'on en avait perdu la trace, ce tombeau fut retrouvé en 1876 par l'abbé Paradis qui s'intéressait au martyre d'Andéol.
Sous la Révolution, la ville a porté le nom de Commune-Libre.
La ville a beaucoup souffert du bombardement américain du qui détruisit un tiers de la vieille ville et endommagea quelques-uns de ses plus beaux monuments, comme l’hôtel Nicolaÿ (XVe siècle), dont il ne reste plus qu’une tour octogonale.
Le bombardement initialement prévu pour détruire le pont suspendu qui traversait le Rhône entre l’Ardèche et la Drôme a fait 149 morts et 300 blessés, détruisant une partie de la ville. Ce pont a été construit par ordonnance royale du [18] et ouvert à la circulation le . Il s'agissait d'un ouvrage de la compagnie Mignot frères et des Architectes Bruno Plagniol et Marc Seguin et frères. Il sera détruit par dynamitage en 1971 lorsque le nouveau pont (toujours en service) sera officiellement ouvert.
Période | Identité | Étiquette | Qualité | |
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1944 | 1944 | Pierre Gleyze | ||
1944 | 1947 | Édouard Chapre | PCF | |
octobre 1947 | 27 mars 1971 | Pierre Piéri | SFIO puis DVG puis UNR | Commerçant Conseiller général |
27 mars 1971 | 26 mars 1977 | Gilbert Maurel | UDR puis RPR | Membre de cabinet ministériel Conseiller général |
26 mars 1977 | 18 mars 1983 | Georges Courtial | PS | Technicien |
18 mars 1983 | 17 mars 1989 | Yves Alméras | PS | Technicien |
17 mars 1989 | 18 mars 2001 | Jean-Marc Serre | UDF puis RPR | Attaché du groupe RPR-UDF au conseil général |
18 mars 2001 | mars 2009 | Serge Martinez | PS | Directeur administratif et financier |
17 mars 2009 | 2 mai 2009 | Claude Vincent[19] | Président de la délégation spéciale | |
2 mai 2009 | Serge Martinez | PS | Directeur administratif et financier | |
4 avril 2014 | 23 mai 2020 | Jean-Marc Serre | UMP puis LR | Assistant en entreprise |
En cours | Françoise Gonnet-Tabardel[20] | DVG | Fonctionnaire territoriale, suppléante du député Hervé Saulignac, Présidente de la Communauté de communes |
Les habitants de la commune sont appelés les Bourguesans ou Bourdésans[21] en occitan[22].
L'évolution du nombre d'habitants est connue à travers les recensements de la population effectués dans la commune depuis 1793. Pour les communes de moins de 10 000 habitants, une enquête de recensement portant sur toute la population est réalisée tous les cinq ans, les populations légales des années intermédiaires étant quant à elles estimées par interpolation ou extrapolation[23]. Pour la commune, le premier recensement exhaustif entrant dans le cadre du nouveau dispositif a été réalisé en 2007[24].
En 2021, la commune comptait 7 352 habitants[Note 3], en évolution de +2,1 % par rapport à 2015 (Ardèche : +2,22 %, France hors Mayotte : +1,84 %).
2017 | 2021 | - | - | - | - | - | - | - |
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7 116 | 7 352 | - | - | - | - | - | - | - |
La commune est rattachée à l'académie de Grenoble.
En 2014, la commune de Bourg-Saint-Andéol a été récompensée par le label « Ville Internet @@@ »[27].
La communauté catholique et l'église paroissiale de Bourg-Saint-Andéol (propriété de la commune) sont rattachées à la paroisse Saint Andéol d’Ardèche, elle-même rattachée au diocèse de Viviers. La maison paroissiale est située à Bourg-Saint-Andéol[28].
En 2010, le revenu fiscal médian par ménage était de 23 840 €, ce qui plaçait Bourg-Saint-Andéol au 25 183e rang parmi les 31 525 communes de plus de 39 ménages en métropole[29].
Le taux de chômage, en 2013, pour la commune s'élève à 20,2 %[30], un chiffre nettement supérieur à la moyenne nationale (10,2 %).
Bourg-Saint-Andéol est une ville touristique par excellence. Le visiteur averti y trouvera de nombreux monuments classés illustrant un passé historique et architectural majeur. La dimension religieuse de cette cité n’est également pas négligeable.
Aujourd’hui, on rencontre un ensemble de monuments dignes d’intérêt, la plupart concentrés dans le centre historique et ses abords immédiats :
En 2014, la commune obtient le niveau « deux fleurs » au concours des villes et villages fleuris[41].
La Cascade, maison des arts du clown et du cirque se situe dans le quartier du Dieu Mithra, à proximité immédiate des sources de Tourne.
L’ancienne école privée Saint-Joseph, réhabilitée autour d’un cloître intérieur, abrite aujourd’hui les activités de cette « Maison » consacrée aux arts du cirque et du clown, et par extension à la musique, la danse et le théâtre.
Pôle national des arts du cirque (12 en France, unique en Rhône-Alpes) inscrit dans le réseau « Territoires de cirque », ce lieu bénéficie d’équipements tels qu'une salle de spectacle, terrain de jeu pour les disciplines du cirque, salle de danse, théâtre d’été…
Porté par deux compagnies professionnelles, Les Nouveaux Nez (clowns musiciens) et Les Colporteurs (acrobates, funambules), ce lieu est géré par l’association de Gestion de la Cascade, en partenariats pluriannuels avec les organismes publics qui en financent l’investissement et le fonctionnement : l’Europe, l’État, la région Rhône-Alpes, le département de l’Ardèche et la commune de Bourg-Saint-Andéol.
Jusqu'au début du XXe siècle, le patois ardéchois est resté en usage et était notamment parlé par les paysans. Il y a plusieurs dialectes vivarois qui sont tous rattachés à l'occitan toutefois le dialecte parlé à Bourg-Saint-Andéol se rapprochait plus du provençal que celui parlé au nord de l'Ardèche[43].
La légende de Dona Vierna a été composée en patois et chantée par Paul Mazet, à Paris, à une réunion des bourguésans, le jour de l'inauguration de la statue à Bourg Saint Andéol le 24 septembre 1888. Premier couplet : Ami, quand descendrès su li bord de l'Ardecho, - Après qu'aurés passa en ba de Sant-Martin, - Veirès un viei chastéu basti de pèro secho, - Eis aqui que Vierna bruiè un bêu matin.
Refrain : Riviero cevenelo, el gorjo si proufoundo, Redis-nous au-jour-duei ce que tis aigo an vis. - Tu qu'as pourta Vierna si souvênt sus tis oundo. - Aido-nous à chanta li chansoun dou païs.
2e couplet : Simplo coum'uno réino, èro dès cop pu bello ; - Soun grand èr, soun bon cur emai sa majesta, - Si bras nu que sourtien de si mancho de telo, - Moustravon l'innoucènci e la serenita.
3e couplet : Philippo-Augusto alor regnavo sur la Franço, - Lorsque Dona Vierna partigué pér Paris; - À l'âge de sege an franchiguè la distanço, - Et intret à la cour puro coumo lou lys.
4e couplet :
Lou rèi brav'e pious emé quelo princesso - E pèr la desrauba ei galant de la cour, - La prenguè pèr la mann repectè sa jouinesso - Et ié douné lou Lau (Laoul) en souvenir d'amour.
5e couplet : Retournè humbl'e chasto dins sa bello countrado. - Lou Bourg e si grand bos la vesien bièn souvènt, - Anavo à Valloun (Vallon), sa terro preferado, - E parlavo dou rêi à tôuti sis avèn.
6e couplet : À la cimo de Retz, proche d'uno cabano, - Anavo countempla aquèu vast'ourizoun - Que s'estend vi lou Rose, dins qu'uno immènso plano, - En dessous di mountagno, dins qu'un riche valoun. -
Dernier couplet : Enfin, quand sentiguè arriva la vieiesso, - Dounè si bos au Bourg, soun amo à l'Eternel, - Pressè la man di pâuri, iour faguè la proumesso - Que pregarié pèr éli quand sarié dins lou ciel. -
Dans tout le Vivarais on employait un certain nombre de proverbes et dictons en occitan pour rythmer la vie quotidienne, mais certains ont été utilisés de façons spécifique au Bourg-Saint-Andéol :
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