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L'attaque de Wanzarbé a lieu le pendant la guerre du Sahel.
Date | |
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Lieu | Près de Wanzarbé et Yatakala |
Issue | Indécise |
Niger | État islamique dans le Grand Sahara |
inconnues | inconnues |
5 à 7 morts[1],[2] 4 blessés[2] 1 pick-up détruit[1] |
inconnues |
Batailles
Coordonnées | 14° 45′ 16″ nord, 0° 22′ 04″ est |
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L'attaque est menée par des djihadistes tôt le matin du , dans la région de Tillabéri, dans une zone où trois gendarmes avaient déjà été tués en mars 2016[1],[3]. Un poste de la gendarmerie nigérienne est ciblé entre Wanzarbé et Yatakala, près des frontières avec le Mali et le Burkina Faso[1]. Les djihadistes ne parviennent cependant pas à s'emparer du poste et finissent par se replier en direction du Mali[1],[4]. Trois jours plus tôt, le gouvernement nigérien avait décrété l'état d'urgence dans les régions de Tillabéri et Tahoua[3],[4].
L'armée nigérienne commence alors des opérations de ratissage[1],[4]. L'armée française, engagée dans l'Opération Barkhane, fait quant à elle décoller deux Mirage 2000 depuis Niamey et trois hélicoptères depuis Gao[1].
L'attaque est revendiquée le par l'État islamique dans le Grand Sahara[5].
Dans un premier temps, une source sécuritaire de l'AFP déclare qu'au moins quatre gendarmes sont morts lors de l'attaque[3]. Puis finalement, le gouvernement nigérien annonce quelques heures plus tard qu'au moins cinq gendarmes ont été tués et un véhicule détruit lors de l'affrontement[1],[3],[4].
Voice of America indique cependant le même jour que selon un bilan non officiel, l'attaque aurait fait sept morts et quatre blessés graves parmi les gendarmes[2].
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