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architecte et urbaniste français De Wikipédia, l'encyclopédie libre
Alain Sarfati, né le à Meknès au Maroc, est un architecte et urbaniste français[1],[2], auteur de multiples réalisations et dont le travail a été récompensé par divers prix. Il a enseigné l’architecture à l’École des beaux-arts de Paris jusqu’en 2005.
Alain Sarfati | |
Alain Sarfati en 2014 | |
Présentation | |
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Naissance | Meknès, Maroc |
Nationalité | France |
Activités | Architecte Urbaniste Enseignant, conférencier Fondateur de la revue d'architecture AMC Cofondateur de l'École d'architecture de Nancy Fondateur de l'AREA (Atelier de recherches et d'études d'aménagement) |
Formation | École des beaux-arts de Paris Institut d'urbanisme de Paris |
Œuvre | |
Agence | Alain Sarfati Architectures / SAREA |
Réalisations | Ambassade de France, Pékin (Chine) Théâtre national de Toulouse Université Panthéon/Assas, Paris Centre polyvalent « le Scarabée », Roanne Palais des congrès, Perpignan Boulevard de l'Impératrice, Bruxelles Siège social SAGEP, Paris Complexes aquatiques de Béthune, de Quimper, de Bordeaux |
Projets | Musée de l'espace, Shanghai, Chine Résidence universitaire, Paris Réhabilitation du Centre des archives, Roubaix Réalisation du Learning Center dans l'Université Panthéon/Assas, Paris Réhabilitation de la Maison d'arrêt, Fleury-Mérogis Transformation de l'ancien siège de la SAGEP en logements sociaux, Paris |
Distinctions | Officier de l'ordre des Arts et des Lettres Chevalier de l'ordre national du Mérite Chevalier de la Légion d'honneur Lauréat de l'Institut de France Lauréat du Palmarès national de l'habitat Vice-président du Plan Construction jusqu’en 1992 Vice-président du Conseil national de l'ordre des architectes jusqu'en 1996 Membre de l'Académie d'architecture Membre de la MIQCP (Mission interministérielle pour la qualité des constructions publiques) |
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Architecte et urbaniste, Alain Sarfati s’est signalé par de multiples réalisations, de nombreux logements, des équipements publics et privés, des quartiers de ville en France et à l’étranger. Il a également réhabilité des sites et bâtiments anciens comme le Centre des Archives du Monde du travail, ancienne filature, le Théâtre National de Toulouse, ancien conservatoire, ou encore le Boulevard de l’Impératrice à Bruxelles dont il a conçu le réaménagement.
Il a œuvré dans le secteur du logement et de l’urbanisme et a mené quelques grands projets : ambassade, théâtre, collèges, palais des congrès, université, centres aquatiques et sportifs, musée de l’espace de Shanghai, son dernier projet en cours. Il a aussi été membre du jury international chargé, en 1983, de choisir l'architecte de l'Opéra Bastille.
Sa démarche est systématiquement axée sur l'insertion urbaine[3], une attitude bioclimatique et une attention marquée aux futurs utilisateurs. À la diversité des situations, il répond toujours par une diversité des réponses, en visant à faire jouer à l’architecture un rôle social, culturel, artistique et technique par la recherche de supports innovants et adaptés.
Sa vision de l’architecture a toujours été globalisante, dès le début de son activité avec la création de l'Atelier de recherches et d'études d'aménagement (AREA) formé à la fois d'architectes, d'urbanistes, de sociologues et de paysagistes, à une époque où la pluridisciplinarité était peu fréquente en architecture.
Diplômé de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris (DPLG) et de l’Institut d’urbanisme de l’université de Paris, Alain Sarfati a d’abord enseigné à l’École d’architecture de Nancy, qu’il a cofondée. Il a ensuite été professeur, chef d’atelier, à l’Unité pédagogique d'architecture no 4 de l'École nationale supérieure des beaux-arts de Paris jusqu’en 2005.
Il a créé la revue d’architecture AMC, toujours avec une perspective interdisciplinaire et l’idée de mettre en rapport théorie et pratique.
Il a été vice-président du Plan Construction, de 1988 à 1992, et vice-président du Conseil national de l’ordre des architectes, de 1992 à 1996. Il dirige aujourd'hui l’agence d’architecture SAREA.
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