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centrale syndicale de Polynésie française De Wikipédia, l'encyclopédie libre
A Tia I Mua (« debout et en avant » en tahitien) est la deuxième confédération syndicale représentative[1] en Polynésie française. Son siège est à Tahiti, elle compte 2 580 adhérents[2] et est liée à la CFDT par un contrat de coopération. A Tia I Mua est membre de la Confédération syndicale internationale.
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A Tia I Mua a été fondé en 1983 à l'initiative de fonctionnaires proches de la CFDT.
Son premier secrétaire général a été Hiro Tefaarere. En 1995, à la suite de la reprise des essais nucléaires par Jacques Chirac, A Tia I Mua a été associé aux émeutes du et ses principaux dirigeants emprisonnés. Hiro Tefaarere, lui-même en prison, a été contraint de démissionner et Bruno Sandras lui a succédé. Réélu en 1997, il a cédé sa place à Jean-Marie Yan Tu au congrès de .
Lors du congrès de 2010, Jean-Marie Yan Tu (dit Piko) a été réélu secrétaire général.
Le 10e congrès tenu en en présence de Laurent Berger a élu à ce poste Heifara Parker[3].
Lors du 11e congrès réuni les 23 et en présence notamment d'Yvan Ricordeau, secrétaire national chargé des DOM-TOM et de l’international de la Confédération française démocratique du travail, Jean-Marie Yan Tu retrouve ses fonctions, Avaiki Teuiau étant élue première secrétaire générale adjointe[4],[5].
A Tia I Mua publie un journal bimestriel Te manu afa’i parau (L’Oiseau porte-parole). Depuis 3 ans, il n'y a plus de publication du journal.
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